Mon Meilleur Ami Et Ma Femme
Guillaume était déjà lan dernier, et est toujours, mon meilleur ami. Nous avons fait nos études ensemble, il vit près de Paris alors que ma femme Hélène et moi vivons désormais à Lille. Il est marié, et sa femme était enceinte depuis plusieurs mois lorsquil est venu passer deux jours à Lille pour une formation professionnelle. Evidemment je lui ai proposé de lhéberger.
Hélène a 2 ans de moins que moi, cela lui faisait alors 26 ans et moi 28. Elle est plutôt jolie, 1m68, mince, et surtout des seins magnifiques (100 bonnet D !!) qui font toujours se retourner les hommes dans la rue. Elle a beaucoup de tempérament, alors que je suis plutôt réservé. Guillaume a mon âge et il me ressemble pas mal : brun, mignon, 1m75. Mais il fait plus de sport que moi, il est beaucoup plus sociable, et il sest toujours vanté devant moi dêtre capable de pouvoir faire lamour 7 ou 8 fois dans une nuit, et dêtre mieux monté que moi. Ce qui est vrai, en tout cas son sexe au repos est franchement gros, le genre de queue qui pend lourdement entre les jambes, et je ne lavais jamais vu en érection.
Il faut dire que notre amitié est forte, mais quelle a toujours été teintée dune sorte dinégalité, de supériorité de sa part : il me traitait parfois de sous-homme en plaisantant, il ma souvent chambré en disant que je rêvais sûrement de lui sucer la queue, et devant les filles, pendant nos études, il me vannait sur nos performances sexuelles respectives. Il a été surpris quand jai épousé une bombe sexuelle, il y a 4 ans maintenant
Moi, de mon côté je me suis toujours senti inférieur à ce genre de type, sûr de lui, fier de sa queue et toujours prêt à des prouesses sexuelles, alors que je narrive pas à faire lamour plus dune fois par nuit
Mais malgré cela, nous avons toujours été très liés, très amis, il ma rendu pas mal de services dans le cadre professionnel et moi aussi.
Quand il est arrivé à Lille, il devait être 18h ; jétais allé le cherche à la gare, et je lai amené jusquà notre appartement, où Hélène nous attendait.
Après le dîner, on sest installés au salon, devant la télé, Guillaume et moi sur un canapé, Hélène sur lautre canapé. Comme il ny avait rien dintéressant à la télé, on a commencé à discuter de tout et de rien. Pendant la discussion, jai commencé à remarquer les regards de plus en plus fréquents que Guillaume posait sur les seins de ma femme. Elle portait un tee-shirt blanc et une jupe beige à mi-cuisses : des vêtements pas faits pour être sexys, mais un tee-shirt sur des seins de taille 100 D, cest ment sexy pour un homme, surtout un queutard comme Guillaume, et surtout quand il na pas pu coucher avec sa femme depuis pas mal de temps. Ses regards mont excité, et cest moi qui, sans doute avec une arrière pensée perverse mais pas encore bien nette dans mon cerveau, ai proposé un poker. Comme Guillaume faisait remarquer quil navait pas beaucoup dargent sur lui, jai donc ajouté, encore poussé par ce début de désir un peu masochiste et pervers de voir leffet des seins de ma femme sur lui : « bon alors on fait un strip-poker ! ». Immédiatement les yeux de Guillaume se sont mis à briller et son visage sest éclairé. Hélène ma plus surpris en disant criant presque « daccord ! ». Je pense quelle navait pas été insensible aux regards de Guillaume sur son tee-shirt
et peut-être quelle-même avait apprécié la carrure de mon meilleur ami, qui portait lui aussi un tee-shirt clair, et un jean.
Très vite Guillaume sest retrouvé torse nu ; un torse plus dessiné que le mien, avec des épaules bien larges.
Cest quand Hélène a encore perdu que les choses se sont précipitées. Elle devait logiquement ôter son soutien-gorge et dévoiler enfin ses très gros seins devant mon meilleur copain en rut. Mais jai eu peur, tout en en ayant envie. Jai donc proposé quelle garde son soutien-gorge, mais que la prochaine fois quelle perdrait, elle lenlèverait et aurait en plus un gage. Guillaume qui commençait à craindre que les choses tournent moins bien que prévu, sauta sur loccasion et décida que le gage serait que celui qui lui ferait perdre son soutien-gorge, serait chargé de le lui enlever lui-même. Dun ton résigné, je dis « daccord », mais cest Guillaume qui a perdu le coup suivant. Il du donc enlever son caleçon, ce qui na pas semblé le gêner : assez fièrement, il se leva, baissa son caleçon, et Hélène et moi avons donc eu droit au spectacle dune énorme queue en érection, dressée devant nous. Puis il revint sassoir à côté de moi, en laissant bien son membre en évidence, raide et dur comme un pieu en bois. Hélène dissimulait mal létat dexcitation dans lequel elle était, et Guillaume était limage même du mâle très fier de sa virilité, sourire narquois aux lèvres, pas gêné du tout.
Puis je lui fis remarquer que le gage était terminé, et il sarrêta gentiment de caresser les seins de ma femme, et elle retournée sur lautre canapé, très troublée visiblement. Elle portait toujours sa culotte, mais perdit encore le coup suivant, et je me retrouvais comme dans un état de somnambulisme, ne sachant plus si je voulais tout arrêter ou au contraire les pousser dans les bras lun de lautre. Cette fois-ci elle enleva elle-même sa culotte, et Guillaume se leva très naturellement, avec son énorme trique, et vint sasseoir à côté delle. Il me demanda « on continue ? », ce qui semblait sappliquer au strip-poker (ou à autre chose ?), et je répondis « oui » dune voix tremblante, Hélène ajoutant un « oui » aussi. Visiblement les choses étaient allées trop loin pour revenir en arrière. Je perdis le coup suivant et Guillaume décida que mon gage serait quil embrasse ma femme, ce qui nétait pas un gage normal dans la mesure où javais encore mon caleçon que jaurais donc du enlever. Je répondis « ok », et Hélène vint sasseoir sur ses genoux, « en amazone », et il lembrassa à pleine bouche en lui caressant les hanches, les cuisses et de nouveau les seins.
Pendant un gros quart dheure, Guillaume fit lamour à ma femme, de façon très vigoureuse, comme un macho en rut fait lamour à une femme dont il a envie depuis un moment. Clairement, il lui bourrait la chatte et voulait tirer un coup, pas commencer une histoire damour. Cependant, ils sembrassaient, se caressaient, leurs gestes nétait pas tendres, pas violents non plus, cétait les gestes dun couple qui baise, un homme en rut et une femme en chaleur. Ils sont restés dans la position « du missionnaire » pendant tout le temps où ils ont fait lamour. Hélène murmurait des « encore, encore
! », des « cest bon, prends-moi fort », et Guillaume ne répondait rien, sauf à un moment où il lui murmura « je vais te baiser toute la nuit » et Hélène soupira un long « oui
». Hélène avait vraiment les gestes, les gémissements et lair dune femme qui prend un plaisir incroyable. Ses gémissements devenaient des cris rauques de plaisir quand Guillaume poussait sa grosse queue large tout au fond de son vagin, tout en lui léchant les seins ou le cou. Guillaume navait pas mis de préservatif, mais cela ne lempêcha pas déjaculer dans le vagin de ma femme, sans aucun scrupule. Ils restèrent ensuite enlacés quelques secondes, se roulèrent une pelle, puis Guillaume se retira, sassit sur le canapé sans rien dire, et Hélène se leva pour aller à la salle-de-bains.
Après quelques secondes de silence, Guillaume me regarda, il navait pas lair honteux du tout, mais il me dit quand même : « désolé », et moi, sortant de mon hébétude, je lui répondis quelque chose comme « ne sois pas désolé, tu avais envie delle, elle avait envie de toi, je nai pas à me mettre entre vous ». Il me répondit, en souriant gentiment « tes un peu lopette, quand même, franchement ! ». Guillaume restait nu, assis, sa grosse queue débandant lentement. Quand Hélène revint, avec une culotte et un tee-shirt, elle évitait mon regard. Guillaume hésita quelques secondes puis se leva, la prit par la taille, lembrassa de nouveau, et lui dit « on va dans la chambre, jai encore envie de toi ». Sa queue recommençait à grossir. Hélène sembla gênée, mais Guillaume lui dit « tinquiète » et pour lui prouver que tout allait bien il se tourna vers moi et me dit « tu dors sur le canapé cette nuit » dun ton certes autoritaire, un peu supérieur, mais pas méchant. Comme Hélène se dirigeait vers la chambre, visiblement ravie de passer la nuit dans les bras dun amant aussi vigoureux, je dis « Guillaume », il se retourna, revins vers moi, son membre cette fois-ci complètement gros et raide, et je lui dis « tu ne veux pas mettre un préservatif, quand même ? » en désignant cet énorme bite avec ma main. Il me répondit en souriant gentiment « non, cest plus agréable sans, ça donne plus de sensations à ma bite » ; il sinterrompit et ajouta « franchement, tu ne veux pas que je raconte à des potes que tu es allé me chercher des préservatifs pour que je baise ta femme ? » et ma voix redevint mourant quand je répondis un timide « non
».
Ils ont passé la nuit à faire lamour, jai entendu le lit grincer presque sans interruption, leurs gémissements, les paroles étouffées
cétait pour moi à la fois un enfer brûlant et une scène dun érotisme torride. Jai dormi sur le canapé en me réveillant souvent et à chaque fois jentendais leurs ébats de lautre côté de la cloison. Franchement, Guillaume est aussi endurant au lit quil me le disait en se vantant, et Hélène était visiblement au 7ème ciel, en tout cas elle le criait. Cétait très étrange de me faire cocufier par mon meilleur ami, dans mon lit et avec mon consentement, mais sous son emprise, et de le voir me parler avec ce mélange de supériorité et de gentillesse, en sentant bien de toute façon que son amitié pour moi seffaçait complètement devant son envie irrésistible de baiser ma femme, de la posséder sans que je me sente même me droit de my opposer
Au matin, Guillaume en caleçon dans la cuisine était visiblement le maître des lieux. Je lui ai proposé un bol de lait, quil a accepté, à un moment il ma passé la main sur lépaule sans rien dire, en me regardant dans les yeux : encore cette amitié et cette supériorité, mélangées, indissociables. Il est parti pour suivre sa 2ème journée de formation, sans caresser Hélène, sans un geste montrant quil lavait possédée toute la nuit, juste un léger baiser sur les lèvres en se disant au revoir, une poignée de mains pour moi, et il franchit la porte. Hélène est partie se doucher avant sa journée de travail, et nous navons jamais reparlé de cette nuit. Guillaume est toujours mon meilleur ami, je ladmire encore plus quavant, on se voit souvent, parfois avec Hélène et avec Virginie, sa femme, mais à ma connaissance il ne sest jamais rien repassé entre eux depuis un an, même si je surprends toujours fréquemment des regards insistants de Guillaume sur les seins de ma femme.
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