Au Gymnase

Au mois de septembre, j'ai été accepté pour faire partie d'une équipe de basket. Une ambiance super et un jeu donné à fond, m'ont enthousiasmés. Sur les dix de l'équipe, nous formions des minis groupes de trois. A la fin du match nous nous retrouvions sous la douche toujours avec les mêmes.
Un soir d'entrainement, nous avions traîné à discuter et notre coach nous demanda de fermer le gymnase et d'éteindre la lumière en partant. Nous nous retrouvâmes donc tous les trois Vincent, Damien et moi. Nous nous dirigeâmes vers les douches, et je vis Vincent, sous la douche, enduit de mousse, qui caressait sa queue tendue. Avec Damien, nous le regardions. Ses yeux étaient fermés et l'eau coulait sur son crâne. Nous nous rapprochâmes et au fur et à mesure que nous nous avancions nos bites avaient pris une bonne consistance. Arrivés près de Vincent, qui ne nous avait pas entendus, nous approchions notre main pour saisir ce sexe tant désirable. Il rouvrit les yeux et nous laissa faire.
Je caressais les petites boules de Vincent, alors que Damien passait la paume de sa main sur le gland rouge. Je me mis à genoux, écarta la main de Damien et pris le gland dans ma bouche.
C'était délicieux, celui-ci ondula du bassin et allait et venait dans ma bouche pleine de salive. Damien n'était pas en reste, et s'était couché sur le carrelage en prenant ma queue dans sa bouche. J'ai cru que j'allais décharger immédiatement mais Damien était doué et a su me calmer pour que notre plaisir dure.
La douche coulait toujours... Vincent se détacha et se mit à genoux derrière Damien et commença à le sodomiser. Ils avaient l'air de s’y connaître, Vincent le tenait par les hanches et le regardait en train de me sucer... Je demandais à Vincent d'échanger nos positions et il me laissa prendre ma place derrière Damien que j'enculais directement. Je n'avais aucun mal car il mouillait bien du cul et mon sexe allait et venait allègrement. Je sentis la sève monter et me cramponnât aux hanches de Damien.

Je lâchais tout mon jus dans le fond de son ventre. J'étais épuisé... Mais Vincent vint se mettre derrière moi et m'encula d'un seul coup. J'eus un mal de chien, mais mon homme me tenait bien, et je ne pouvais pas me dérober. La douleur fit place à un plaisir immense. J'aurais voulu qu'il ne s'arrête pas mais rapidement à son tour il lâcha sa semence dans mon ventre me serrant avec force comme pour aller au plus loin.
Après les entrainements qui suivirent, nous restâmes souvent les derniers, pour fermer le gymnase.