Le Cadeau De Mon Mari ( 1 )

Après cette soirée pleine de découverte nous sombrons dans un sommeil réparateur.
Le matin, des lèvres gouttant mon minou me réveillent. Mon sexe est en feu sous la bouche, la langue de Kim. Je m'étire très chatte, écarte mes cuisses pour livrer le plus profond de moi. Sa langue fait des ravages en moi, mon bassin frémissant monte vers cette bouche gourmande. Un de ses doigts frôle mon sillon, tourne autour de mon anneau secret. Ma main appuie sur sa tête lui signifiant mon plaisir proche. Ma respiration devient saccadée, haletante. Son doigt énerve mon bouton puis plonge en moi. Sa langue trempée de ma cyprine se pose sur ma rosette qui semble l'attirer. Je serre les cuisses gardant très fort son doigt en moi. Sa langue titille mon anneau strié quand dans un long râle mon corps explose.
Kim monte vers moi, flatte mes seins à peine voilés de soie. Je découvre qu'elle porte une fine guêpière noire seins nus tenant des bas résilles noirs.
Nos bouches se trouvent, je goutte le reste de mon désir. Contre ma cuisse se colle son sexe tendu.
- Kim tu veux que je t'offre ma bouche ?
- Sylvie je voudrais te faire connaitre ce que ton mari va découvrir.
- Tu veux me prendre derrière?
- Si tu le veux bien oui, j'ai envie.
- Mon cœur, je suis trés étroite tu sais, j'ai peur d'avoir un peu mal.
- laisse moi faire je vais te préparer.
Kim se lève, prend un petit pot de crème qu'elle me tend.
Je saisie son sexe magnifiquement tendu, ne résiste pas à lui poser un long baiser sur le gland lisse. Ma langue suce cette prune violette, mes doigts entourent facilement sa longue tige étroite. Puis doucement j'enduis ce long corps de cette crème onctueuse. Je masse le gland de mes doigts huilés.
- Kim je crois que tu es prête.
- Merci du cadeau que tu m'offres.
Elle s'agenouille entre mes cuisses, son doigt pose une noisette de crème devant mon anneau serré. Il ondule devant cette porte fermé puis doucement force.

Je sens ma chair céder sans douleur et accueillir le doigt qui entame un lent va et vient. Le doigt ressort et de nouveau huilé glisse facilement.
Elle se penche au dessus de moi, prend ma bouche.
- Tu n'as pas mal mon cœur ?
- Non tu es très douce, je ressens même un léger plaisir.
Une légère douleur me fait tressaillir
Kim prend mes lèvres d'un tendre baiser, Je ressens la présence d'un deuxième doigt. Puis mon écrin accepte ces deux corps ondulants en moi. Lentement, ils ouvrent ce passage désiré par Kim.
Elle retire ses doigts, me fait replier les cuisses allongeant son corps sur le mien. Nos bouches se trouvent.
-Sylvie quand tu te sens prête, guide moi en toi.
Mes doigts entourent la longue tige et posent le gland devant ma grotte encore ouverte.
- Vient j'ai envie.
Le bassin de Kim ondule doucement, le gland avance dans cet étroit chemin.
Ma main abandonne son sexe qui doucement disparait en moi. Mes cuisses entourent ses reins, nos mains s'enlacent sur l'oreiller. Sa langue flatte la mienne, je m'offre entièrement amoureuse de son corps tout entier. Le sexe se retire puis de nouveau entre en moi plus loin plus fort. Mon puits d'amour prend la mesure de ce sexe frémissant s'offrant à chaque venu un peu plus.
Maintenant Kim lovée à moi ne bouge plus. Nos mains, nos bouches, nos seins son collés par le désir profond.
Mon bassin bouge lui montrant que je suis offerte au plaisir naissant.
Son sexe entame un lent ballet déclenchant en moi des ondes qui m'affolent. Ce corps brulant me fait vaciller vers des instants sublimes. Ma tête roule sur l'oreiller sous la chaleur de cette chose en moi.
Ma bouche a du mal à trouver de l'air, mon corps se gave de ce long pieu de chair brulante, Je pousse de petits cris étouffés par les lèvres de Kim. Ce tison frémissant met le feu en moi.
- Kim ho ouiii... c'est sublime... don..donne moi ta sève.
- Humm Sylvie oui je viens
Je devine une petite boule monter le long de la tige et violemment mon coquillage est inondé d'une liqueur brulante. Kim plonge tout au fond de moi secouée de longs frissons.
- ho amour comme j'aime sentir ton corps en moi, je voudrais que cela ne cesse jamais.
- Sylvie tu me rends folle de désir, tu es tellement belle dans le plaisir.
Lentement son sexe me quitte, nos corps se lovent gouttant ces instants.


A suivre