Je Veux Que Ce Pervers Me Baise...
Dans la région des Herbiers pour mon travail, je décide de passer la nuit dans un petit hôtel pas cher au bord de la route. En prenant les clefs de ma chambre, je suis intriguée par l'homme qui tient l'hôtel. Il est grand et inquiétant, plus de cinquante ans, le haut du crâne dégarni, le visage ruisselant de sueur. Son look est improbable et rétro, ses lunettes anciennes lui donnent un regard pervers. Il a tout de repoussant, et pourtant, je veux qu'il me baise.
Je dîne seule dans le restaurant de l'hôtel, il n'y a aucun client dans l'hôtel. Vu la saison, je ne suis pas étonnée. Le type de l'hôtel fait également le service, j'imagine qu'il s'occupe également de la cuisine. Après avoir terminé mon dessert, je me dirige vers la cuisine et écoute à la porte, j'entends des bruits de vaisselles, il est donc là. Je rentre et me tiens face à lui. Il me regarde sans expression, saisissant un torchon pour s'essuyer les mains. Il s'approche de la table et s'assoit. Je m'approche à mon tour et m'agenouille devant lui, lui mordillant l'entre jambe au travers de son pantalon. Il alluma une cigarette, et posa sa main sur mes cheveux. Je baissais sa braguette et sortie sa bite déjà dure que je branlais doucement, ne le quittant pas des yeux. J'enfourne sa queue dans ma bouche et le suce avec vigueur. Il me repousse au bout d'une dizaine de minutes et me fait tomber sur le sol.
" Touches toi"...
Je commence à me masturber devant lui, qui termine sa deuxième cigarette, durant quelques minutes quand d'un coup, il quitte sa chaise et se met à quatre pattes au dessus de moi, m'embrassant la poitrine et descendant le long de mon corps jusqu'à ma chatte. Après quelques coups de langue, il me mit un, puis deux doigts, et continua de me regarder droit dans les yeux avec froideur.
Il me retourna et me prit en levrette avec force. Je me mis à crier de plaisir, je sentais ses couilles battre contre mon cul.
Je lui criais d'y aller plus fort, plus vite, il me défonçait avec rage.
Il se ralluma une cigarette, la bite à l'air, goutant de sperme. Je me redressais et me déshabillais entièrement. Je me dirigeais vers lui à quatre pattes et lui saisit la bite, le suçant à nouveau. Vite, sa queue redevient dure, il gémissait. Il me tira les cheveux vers le haut, je me relevais. Il saisit ma taille et me plaqua contre la table, dos à lui. Il me fendit la chatte d'un grand coup de reins et me laboura quelques instants avant de ressortir de mon trou pour m'enculer sans ménagement. Je criais de plaisir et pris mon pied comme je le souhaitais.
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