Initiation De Christophe Intermede

Le lendemain matin Arielle m'appelle pour prendre rendez vous pour déjeuner. Je la retrouve dans un café à midi. Elle n'est pas seule, accompagnée par un couple d'amis étudiant. Sophie, blonde, yeux très clair a une petite poitrine mais ferme qui pointe sous son haut. Pierre son petit ami est assez musclé, on devine un torse épilé avec son t shirt échancré. Ils ont 19ans tous les deux.
Nous commandons rapidement un croq et des salades. Je suis un peu frustré de ce déjeuner tranquille, m'attendant depuis le matin à une nouvelle aventure. Je reçois tout à coup un texto d'Arielle "va enlever ton caleçon aux toilettes et glisse le dans mon sac en revenant".
Je deviens rouge et prétextant une envie pressante - Arielle me décroche un énorme sourire et clin d’œil - je m’absente.

Je reviens le caleçon dans ma poche mais ne trouve pas d occasion pour le déposer dans le sac d Arielle. Je la vois très contrariée de ne pas savoir si j ai relevé le défi.
Pendant que je parle avec Pierre, Arielle glisse un mot à Sophie qui fini par me demander de lui indiquer le chemin des toilettes. Je lui propose de l'accompagner m'étonnant moi même. Je la laisse dans les toilettes des femmes et m’enferme dans celle des hommes. Je me caresse machinalement en imaginant son petit cul ferme sous sa jupe très courte et ses jolis pieds - du 36 environ - dans ses escarpins. Soudainement, on frappe à la porte, je réalise que mon sexe est bien plus dur que prévu et qu'il me sera difficile de sortir. Sophie souffle ouvre moi, j'ai quelque chose à te demander.
Je lui ouvre, elle rentre et devine aisément la bosse que j ai du mal à dissimuler.
Elle me tend son string et me dit qu'elle doit l'échanger avec mon caleçon pour le mettre dans le sac d Arielle (elle en est plus proche). Ce faisant, elle dit vouloir vérifier que je n'ai rien d’autre sous mon jeans et me déboutonne. Je sens ses mains glisser sur ma hampe et très rapidement sa bouche.

Humide, douce ce qui contraste avec une langue très active. Je suis sur le point de jouir mais elle me demande alors de lui sucer les orteils car elle avait remarquée que je scotchais sur ses pieds. Loin de la détendre mes caresses l’excitent et elle fini par prendre mes cheveux pour diriger ma tète sous sa jupe. Une belle petite chatte complètement lisse, un filet de mouille coulant déjà sur le haut de ses cuisses.
Je m'applique à lui donner le meilleur cuni possible, mes doigts s'égarent contre son petit trou pour le masser et je rentre difficilement. Cela la faire jouir très rapidement.
Elle s'accroupi de nouveau devant moi et je jouis assez rapidement dans sa bouche.

Pour éviter les malentendus je sors le premier et rejoins la table. Pierre me dit qu'il va aux toilettes et qu'ils sont pressés avec Sophie. Arielle en profite pour me glisser que Pierre ne doit pas soupçonner ce qui vient de se passer et qu'elle a hâte de savoir comment Sophie a relevé le défi qu'elle lui avait glissé à l oreille.
Sophie revient mais ne dit mot, elle fini par rouler une énorme pelle à Arielle et j’aperçois un petit filet couler au bord de leur lèvres... pas de la salive visiblement. C'est à ce moment que Pierre revient. Il n'a pas vu Sophie et Arielle. Nous prenons un café rapidement. J'ai encore le gout de Sophie dans ma bouche et ses pieds déchaussés qui me caresse sous la table. Je ne peux me lever lorsqu'ils partent pour les saluer.
13h, cela fait une heure que nous sommes dans ce café, Arielle propose de me raccompagner après un passage aux toilettes. Je l’accompagne et suis très excité lorsque je me retrouve avec elle. Elle me retourne face à la porte et me caresse et se plaquant dans mon dos. Je sens un de ses doigts contre mon petit trou, c’est froid elle a du mettre du gel. Je suis sur le point de jouir et là elle m’enfonce un tout petit plug dans la raie. "C’est un truc pour débutant, j aimerai que tu te promènes dehors avec moi et ce petit jouet". Elle remonte mon jeans et nous sortons. J'ai débandé mais je sens cet objet en latex bouger légèrement en moi à chaque pas. Au bout de 500 m, après une marche un peu difficile pour moi, un taxi semble nous attendre... et je reconnais notre ami de la dernière fois. Cela ne peut être une coïncidence et je devine rapidement que quelque chose se trame, Arielle me demande de passer devant. Elle passe derrière moi et glisse ses doigts sous ma chemise en route. Me caresse, me pince les tétons. Je bande énormément. Une fois sur le periph, elle nous demande de baisser nos pantalons.je suis cul nu sur le fauteuil et regarde Arielle dans le rétroviseur qui s’est mise au milieu, jambes relevées doigts affairés.
Elle nous fait sucer ses doigts mouillés et entreprend de nous branler chacun avec une de ses mains. Je remarque que nos deux queue sont bien lisse, rasées de près. Rapidement mes mains viennent aider Arielle à me masturber.
Arielle nous dit qu’elle a très envie de jouir lors de ce tour de périph. et qu’elle aimerait se doigter en nous regardant. Elle reprend sa position provocante. "Le chauffeur a besoin d’un coup de main s'il veut rester concentré sur la conduite" me dit-elle. Je comprends et pour lui faire plaisir me met à branler sa belle queue. Cela m’excite terriblement et je me repasse les images de nos précédentes rencontres où ses superbes femmes suçaient avec avidités de belles queues. Le chauffeur prend ma tête et l’attire sur sa bite me faisant comprendre qu’il a très envie... j’hésite et un encouragement d Arielle me convint. Elle guide ma bouche, ma langue de ses paroles et je me sens très excité... peut être un peu comme ces femmes qui se sentent salope dans le feu de l’action.
Je caresse ses couilles et sa queue lisse, je sens comme un petit gout au bout de sa queue... il fini par jouir dans ma main. J'avais complètement oublié le plug dans le feu de l’action mais en me remettant contre le fauteuil il se rappelle à moi. Je n’ai toujours pas joui et suis sur le point d exploser.
"Tu me sembles à point et cela tombe bien nous arrivons chez Christine" me lance Arielle. Nous laissons le chauffeur et je suis Arielle dans les escaliers. Devant la porte, elle s accroupi sors ma queue et la restimule du bout de sa langue. Des pas se rapprochent dans les escaliers. Elle se redresse et dissimule ma queue juste à temps. Nous sonnons. Arielle me dit "nous allons prendre le café chez Christine". Nous entrons.
Dans l'entrée Christine me lance un "déshabille toi et pose tes vêtements sur la console, tu n’en auras pas besoin pour le café avec mes amies". Une fois nu, Arielle me passe un bandeau sur les yeux et m’attache les mains dans le dos. Une main que je devine être celle de Christine me prend la queue et m’entraine dans le salon où je reste debout pendant qu'Arielle raconte dans les détails notre déjeuner. J'entends quelques voix et réactions. Quelques compliments sur mon état. On me guide devant chaque fauteuil pour dire bonjour. Je sens des mains glisser sur mon corps. Puis on m allonge sur la table basse, bras relevés au dessus de la tête cuisses écartées, sexe dressé. Je sers de plateau pour les mignardises du café. Quelques mains s’attardent sur ma queue en en attrapant une parfois. Parfois ce sont des pieds qui viennent me caresser. Les conversations vont bon train. Amants, fantasmes, aventures... J'écoute, silencieux et apprend.
Christine revient sur mes talents "linguistiques" et propose à celle qui le désire de s’essayer à ma bouche avant de partir. J'ai du lécher et sucer 5 ou 6 chattes au moins. Parfois de plus petits trous se sont aventurés sur ma bouche. Propres et excitants.
13h30 une ou deux convives partent. Il me reste 15 minutes avant de repartir pour mon boulot me glisse Arielle à l oreille. "Nous sommes encore 5 dans la pièce et allons te remercier de ta diligence". Des bouches s approchent de mon corps et le couvre de caresses, mordillements. Les bouches s’empressent sur ma queue et je dois élire la plus talentueuse. Mes doigts, ma bouche sont pleins de cyprines et ma queue fini par exploser dans la chatte de celle que j ai élue.
Toutes repartent et Arielle me débande les yeux. "Rhabille toi, tu vas être en retard".

Tout chancelant je repars. Une fois dans la rue, je croise une femme très bcbg la 40aine, qui semble coincée mais avec de beaux talons aiguilles. Elle s approche et me glisse à l oreille "merci de m avoir élue, jeune homme". Un sourire, elle se retourne et s en va.

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