Chantage... Agréable

Comment j’ai fini par apprécier la bite, alors que j'aimais les filles.

J’étais jeune prof dans un lycée de province lorsqu’un jour le directeur de l’établissement me propose d’aller après les cours chez lui en compagnie du proviseur.

J’étais ravi de cette invitation. Je m'y rends. Je suis accueilli par le directeur avec grande amabilité et courtoisie. On s'assoit autour d'une table basse et on commence à boire des apéros. Je commence à vouloir m'en aller, mais derrière leur insistance je cède et on me verse de plus en plus à boire. Je crois qu'à un moment donné j’ai du perdre connaissance puisque je me retrouve mi-endormi tout nu une bite sur le visage et une presque dans mon cul. Alors qu'une main me caresse la queue... J’entends Monsieur le directeur qui me demande d'ouvrir la bouche, il pénètre son sexe dans ma bouche et m'ordonne de sucer. Ce que je fais. Mais lorsqu’à la fin de cette pipe "commandée" je reçois des jets de sperme dans la gorge je me réveille complètement et me révolte pour refuser de continuer cette orgie. Alors il sourit et me demande de continuer tranquillement autrement tout le monde aura connaissance de mes cochonneries et me montre un appareil de photos... Le salaud : il avait pris des instantanés et son visage comme celui du proviseur étaient cachés...

Il m'oblige à sucer son compère, au fond j'prenais gout et je me mis à la tache avec en peu plus de passion. Sauf que, à la fin, il me propose un marché. Je serai obligé de venir encore 36 fois pour participer à ses envies et à chaque fois il me rendrait une photo avec son négatif.

J'accepte, d'autant plus que je ne voulais pas perdre la confiance de ma fiancée et de mon entourage.

Pratiquement chaque semaine, une fois par semaine il me demande d'aller chez lui. A chaque fois avec un autre de ses compères, ou parfois tout seul. Dès que j'arrive il m'offre à boire et puis il me demande de le déshabiller, de sortir sa bite de me mettre à genoux et de sucer doucement, lentement délicatement, avant qu'il jouisse il me passe comme un objet à son ami qui m'offre également sa queue, pendant que lui après avoir lubrifié mon cul il commence à m'enfiler comme une chèvre.

Au début j'avais mal, ça me dégoutait même, mais petit à petit je commençais à apprécier. J'avais envie de ces odeurs de bite de couilles bien mures. J'adorais lécher des bites, j'adorais me laisser enculer comme une pute. A chaque séance monsieur le directeur me rendait une photo et son négatif et moi je commençais même à craindre de ne plus pouvoir y aller, de ne plus pouvoir sucer ces belles bites, parfois d'ailleurs difficile à faire bander complètement. Mais j'étais devenu un expert en la matière, je savais les exciter, je savais les caresser pour l'endurcir et ensuite bien les avaler. MA LANGUE LECHAIT AVEC DELECTATION CES VIEILLES BITES qui ne demandaient qu'à durcir jour dans ma bouche ou dans mon cul... Le 36ème jour arrivait et lorsque j'avais rendu heureux mon directeur qui pour l'occasion avait acheté du champagne qui versa sur sa bite de façon à m’imbiber pendant que je le suçais, je lui demandais de pouvoir poursuivre notre relation.

Il me dit d'abord fais moi jouir sur ton visage, après on verra. Aussi dit aussi fait. Au moment de jouir pendant que je le suçais il sortit sa bite et m'arrosa en me traitant de sale pute... C'était un plaisir fou pour moi. J’en voulais encore. Je me jetais sur sa bite mouillée de son sperme pour tout nettoyer tout lécher... dernier souvenir de 36ème séance de bonheur.

Mais il me permit de retourner la semaine d'après pour une dernière séance de pipes. Après il m'interdit sa maison. Depuis je cherche un homme mur à sucer... et quelquefois je trouve... avis aux amateurs....