Première Surveillance Avec Ma Bosse

Première surveillance avec ma bosse


Je viens d’être muté dans une nouvelle agence de sécurité de proximité dans le sud de la France. Pour mon premier jour de boulot, je passe une entrevue avec mon nouveau boss pour que je sois au parfum sur la « faune » locale comme on dit. En fait de boss, c’est une superbe bombe atomique qui me reçoit. Anna, belle brune méditerranéenne environ 1m70 pour 60kg à vue de nez et un bon 95C. Elle porte un tailleur pantalon, parfaitement ajusté qui met largement ses splendides formes en valeur. Anna m’explique que dans se secteur, notre société vient assister les services de police dans la surveillance de certaines zones dans lesquelles ils ne peuvent pas accéder par manque de moyens. Elle me donne mon planning et m’informe que je ferai ma première surveillance avec elle le soir même. Elle m’indique qu’ici on travaille en combinaison la nuit, histoire d’être plus discret et à l’aise. Elle me donne rendez-vous à minuit au bureau après m’avoir orienté vers l’équipementier avec lequel sa société travaille.

23 heures, je mets ma combinaison acheté l’après-midi même, mes rangers, mon ceinturon équipé de la traditionnelle maglight, d’une bombinette de lacrymogène, mon porte téléphone et l’essentiel, une paire de serflex (pour maintenir d’éventuel délinquant dans l’attente de l’arrivée de la police). J’arrive au bureau avec un peu d’avance histoire de faire bonne impression pour la première nuit. Anna arrive quelques minutes après moi, bien-sûr équipée de la même manière, sauf que sa combinaison met ses formes généreuses encore plus en valeur, ce qui déclenche chez moi un début d’érection. Elle m’indique que nous allons prendre le 4x4 qui est plus confortable avec ses 7 places pour nos 6h de service de surveillance, ce qui m’interpelle un peu vu que nous ne sommes que deux. Anna prend le volant vu que je ne connais pas encore le secteur. Nous discutons de choses et d’autres, nos expériences, nos cursus, et elle me montre les zones à risques et les emplacements des locaux de nos clients.

Au bout de deux heures de conduite et de découvertes, elle m’indique que nous allons faire une petite pause dans une clairière où il y a régulièrement du trafic en tout genre. Elle tourne dans un petit chemin, et nous arrivons au bord d’un lac. Elle fait quasiment le tour et se gare en marche arrière dans un autre petit chemin qui ne débouche nulle part mais qui nous donne une excellente vue d’ensemble sur le lac et le chemin d’entrée, tout en restant cachés des badauds.

Anna me propose de rester là un moment et m’invite à passer à l’arrière histoire d’être plus à l’aise pour discuter. Les banquettes étant placées face à face, je prends place sur celle du fond et ma nouvelle patronne s’installe juste devant moi, dos au lac. Nous continuons à discuter un peu, quand soudain ma boss retire son ceinturon, ses chaussures et ses chaussettes. Elle m’explique qu’elle ne les supporte plus et que de toute manière si quelqu'un arrivait elle aurait largement le temps de les remettre. En plus en ce mois de Juin, il fait une chaleur atroce, et vu que nous ne roulons plus, la climatisation ne fonctionne plus. La porte latérale ouverte laisse entrer un peu d’air mais malgré qu’il soit 2h30 du matin, le climat reste lourd. La combinaison de ma patronne est ouverte jusqu’à la naissance de ses seins, me laissant apercevoir son décolleté très généreux. La vue d’Anna dans cette tenue m’excite au plus haut point, mais j’ignore tout de ses intentions, si c’est volontaire ou non. Je ne pouvais pas me permettre de gestes déplacés envers elle au risque de perdre mon job.
J’observe ses pieds, petits, parfaitement entretenus, ongles vernis au bout de mignons petits orteils sans défaut. C’est vrai que sans être fétichiste, j’adore les jolies pieds.
Mon ignorance sur ses intentions est vite dissipée quand elle pose un pied entre mes cuisses et me caresse le sexe au travers de ma combinaison. Je lui demande si elle est sur de ce qu'elle fait, ce à quoi elle me répond qu'elle avait eu envie de moi à l'instant même où elle m'avait vu cette après midi dans son bureau.
Je ne réponds pas et me dis « si tu veux jouer, on va jouer ». Elle continue de me caresser à travers la combi et ouvre encore plus la fermeture de la sienne, jusqu’à libérer ses deux superbes seins de leur emprise. Elle ne porte pas de soutien-gorge, encore une surprise pour moi. Je ne tiens plus. Je me redresse, m'approche d'elle, l'att et lui hôte sa combi sans plus de formalisme, tirant les épaules vers le bas, lui bloquant momentanément les mains dans le dos, juste le temps pour moi de lui bouffer les seins. Des seins ronds, bien pleins, fermes et souples à la fois avec des petits tétons au cœur d’aréoles bien dessinées, des seins parfaits. Juste la bonne taille pour mes mains. Un instinct bestial me prend et mes gestes sont secs, vifs et sans tendresse. Elle émet quelques gémissement quand je lui mordille les bouts. Gémissements qui me laissent penser qu’elle aime ce traitement.
Je lui retire complètement sa combi, histoire de voir quels autres trésors elle me cache. Elle est maintenant totalement nue, aucun sous vêtement. Décidément, cette femme est surprenante. Je me demande si cette après-midi elle était aussi nue sous son tailleur. Je la positionne sur la banquette, lui écartant largement les cuisses et j'approche ma tête de son sexe, qui vu l'odeur devait déjà bien mouiller depuis un moment. Je plante ma langue directement entre ses lèvres, lui aspirant le jus qui coule, je la lèche avec fougue et envie. Son goût est fort, doux, âpre mais agréable et me rend dingue. Je lui remonte les cuisses sur le ventre les maintenant bien écartées, ce qui fait remonter ses fesses et me donne tout le loisir de lui introduire la langue dans toute sa raie, de son cul à son clito. Anna gémie, crie fort, mais après tout, il n'y a personne autour. Je lèche sa rondelle, introduit ma langue puis remonte et aspire son clito, allant et venant de l'un à l'autre, m'arrêtant sur ses orifices, la pénétrant tantôt de ma langue, tantôt lui introduisant un doigt. Elle hurle comme une dingue, mes caresses la font vibrer de manière plutôt intense et je n’ai de répit qu'une fois son orgasme atteint.
Jamais je n’avais entendu une femme hurler comme ça en jouissant.

Je me redresse, j'enlève ma combi et me retrouve nu à mon tour. Mon excitation est si forte que je ne réfléchi pas à ce que je fais et je lui plante ma queue directement dans le cul, sans plus de préparation que sa mouille et la salive que j’y ai laissé avant. Heureusement que j’ai légèrement assoupli celui-ci avec mon doigt avant mais la différence de taille fait qu’Anna pousse d'abord un cri de douleur accompagné de quelques insultes, mais après quelques va-et-vient, sa douleur se transforme en plaisir et ses insultes deviennent gémissements de plaisirs. Elle a le cul si serré que je pense qu'elle n'est pas habituée à cette pratique, mais à force de va-et-vient, elle devient de plus en plus souple et trempée. Mon sexe glisse maintenant avec une facilité déconcertante. Je marque un rythme assez rapide puis je fais une pause avec quelques mouvements plus lents et je remets le paquet, si bien qu'elle ne tarde pas à jouir de nouveau.

N'ayant pas encore eu d’orgasme, je ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle et je la pénètre maintenant par son vagin. Celui-ci est si chaud que mon excitation s’est décuplée. Je la pistonne de plus en plus sauvagement, lui arrachant un dernier cri d'orgasme quand je percute son utérus et qui déclenche mon éjaculation, au fond de son ventre. Les soubresauts de ma queue dans ses chairs furent une délivrance telle que je m'écroule sur elle. Lorsque je me retire, Anna coule littéralement, mélange à la fois de sperme et de cyprine. J'att un mouchoir dans une de mes poches pour m'essuyer et je me rhabille. Anna s'essuie elle aussi, se rhabille également avant de me remercier pour ce moment magique. Elle m'informe qu'elle fera en sorte que nous soyons le plus souvent possible en surveillance ensemble.
Il est 5 heures 30 quand on rentre au bureau pour remplir les dossiers, puis chacun retourne chez soi. Une première nuit dans cette nouvelle agence que je n'oublierai pas de si tôt et qui fût le début d’une longue suite de jouissances qui s’est soldée par un mariage.



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