Ma Voisine (2)

Ce matin, c’est encore elle qui a fixé le r.d.v, même heure, même lieu, même déguisement. Mais cette fois-ci, le baiser est plus spontané et plus gracieux, et le pli de jambe que j’avais demandé est ce matin comme un réflexe.
En prenant place derrière moi, sur la selle du vélomoteur, elle me serre plus fort et ses caresses sont moins timides, et plus osées. La veille, j’avais tout prévu pour éviter de sortir.
Sitôt dans la chambre, c’est un baiser fougueux qui nous emporte alors que ses petits seins pointent contre mon torse et que ses fesses frétillent sous mes mains glissées dans les poches arrière de son jean.
Quand elle sentit le degré de mon érection, elle retira fermement mes mains, se retourna et retira très vite pantalon et culotte.
-tu les retires toujours aussi vite ?
-une culotte humide, ça me dégoûte…
Quand elle se retourna en levant les bras, je vis qu’elle s’était rasée les aisselles et je témoigne de mon admiration en sifflant, elle laisse alors descendre une main pour m’indiquer son pubis.
-waw, c’est très beau !
-tu aimes ?
-oh, oui dis-je en le caressant timidement…
-on ne dirait pas, moi quand j’aime quelqu’un que je trouve mignon, je l’embrasse très fort…
-s’il accepte, oui…
-il le demande…
Je la pousse sur le lit et commence par des petites bises sur son pubis, alors qu’elle pose un oreiller sous sa tête pour me voir agir. Elle relève un peu ses fesses, et je glisse mes mains dessous. Elle pousse des petit soupire en appuyant sur ma tête qu’elle pousse vers le bas. Quand mes lèvres atteignent celle de son minou, elle me releva la tête, me fit un clin d’œil encourageant, et un sourire amoureux presque apitoyant, avant d’appuyer sur ma tête.
-je croyais que les hommes aimaient faire jouir les femmes en léchant leur clitoris, pas toi chéri ?
-bien sur chérie, bien sur répondis-je alors que je ne l’avais jamais fait. Je léchais d’abord ses lèvres puis son clitoris que j’ai un peu mordillé, me laissant guider par ses soupirs, puis par ses cris de jouissance.

Sa liqueur ruissela jusqu’à son petit trou y laissant glisser le bout de mon majeur, mais la faisant réagir.
-non, n’essaie plus de toucher à mon cul, JAMAIS. Elle se tordit violemment et se releva. L’air fâchée elle sort le paquet de cigarettes, alors que je n’osai rien dire. Quand elle mit deux cigarettes entre ses lèvres et les alluma, je compris qu’elle n’était pas fâchée… elle me sourit même, en me tendant la mienne… Quelques minutes plus tard, nous reprenons ce fameux baiser infini qu’elle aime tant comme au premier jour, puis elle s’empale violemment sur ma bite d’une manière plus sauvage que la première fois, alors que son pubis rasé me mène dans une jouissance infinie et commune. Alors que je la retiens par les épaules pour maintenir ma pénétration, c’est elle qui me dit :
-serre mes fesses, chéri, mais pas mon cul stp
Quelques temps après, assise sur ma cuisse, elle fume une cigarette en caressant mes cheveux. En tenant son pubis d’une main, et un sein dans l’autre, je lui murmure des mots d’amour qui la font sourire. Elle me donne une taffe de sa cigarette et pose sa tête sur mon épaule :
-je rêve d’être avec toi sur une île déserte ma chérie…
-et me baiser tout le temps, c’est ça ?
-t’aimer, mais te voir tout le temps, te parler tout le temps et t’avoir tout le temps… t’aimer tout le temps, et ne dis plus baiser entre nous deux, ma chérie.
-tu as bien baisé dernièrement ?
-il fallait bien, puisque tes désirs son des ordres…
-Rachida ? Déjà ?
-c’est vrai qu’elle adore la bite, mais les caresses la fondent : c’est l’esclave de son plaisir…
-tu as été rapide… moi, je n’oserais jamais commencer…
-tu veux qu’elle commence ?
-ce serait trop beau, arrêtes
-puisqu’elle devra te préparer, ce sera bien à elle de commencer
-me préparer pour quoi ?
-pour mon arrivée, mais comme je ne viendrais pas, tu te contenteras d’elle… enfin tu t’en régaleras…
-j’ai rien compris.
-laisses venir… tu la veux, tu l’auras.
-humm… en reconnaissance, elle se jette à mon cou et c’est encore reparti pour une nouvelle extase.
A suivre (Le piège)