La Cabine
La cabine
Cétait un samedi de juin, début des soldes dété. Isabelle a voulu ce jour là mentrainer pour un marathon dans les grands magasins. Javais plein de bricolage en retard, mais pour lui faire plaisir, je ferais nimporte quoi.
Me voilà donc embarqué pour un après-midi à fureter dans les rayons à la recherche de la bonne affaire pour elle, car pour moi cétait surtout un prétexte pour être avec elle et aussi pour mater les culs des femmes penchées dans les rayons de fringues. Je savais, et Isabelle aussi mais que ne ferait-elle pas pour m'exciter, que jallais me régaler à la vue de toutes ces cuisses et tous ces strings exposés à ma vue, surtout que la journée sannonçait chaude en température.
Depuis maintenant deux bonnes heures, on tentait de se faufiler parmi les robes dété, les jupes plus ou moins courtes et les maillots de bain proposés à la vente. Javais bien reluqué deux ou trois nanas pas trop mal foutues, mais rien de vraiment concret à me mettre sous la dent ou plutôt sous lil.
À un moment, nous sommes entrés dans un magasin qui proposait toute sorte darticle de plage, des tongs au matelas pneumatique en passant par les maillots de bain hommes et femmes.
-Tiens! Ce serait bien que tu ten rachète un. Le tien est plutôt ringard
-Si tu veux!
-Viens avec moi, je vais le choisir pour toi
Elle se dirigea alors vers le rayon qui proposait toutes sortes de maillots, du plus tarte au plus moulant et choisi bien sur celui qui mettrait le plus en valeur la partie de mon anatomie qui la faisait mouiller.
-Essayes ça! dit-elle avec déjà un brin denvie dans le regard Et surtout montre-moi
Nosant dire non à un tel ordre, je mexécutais avec bonnes grâces, sachant que jallais lexciter et que le retour à la maison allait être mouvementé.
Jentrais donc dans la cabine, enlevais ma veste et mon pantalon, mon slip aussi tomba et jenfilais le maillot.
Cest alors quelle me rejoignit pour, dit-elle, constater delle même.
En entendant le rideau souvrir et se refermer, je fis demi-tour et me retrouvais face à elle.
Son regard sétait déjà fixé sur ma queue qui se dessinait derrière le fin tissu du maillot et une lueur denvie brillait dans ses yeux. Sa main ne pu sempêcher de saisir le gourdin qui commençait à enfler et ses caresses finirent de faire monter la bête.
Elle sorti alors ma queue du slip et commença à la branler doucement tout en caressant mes couilles. Ne voulant pas être en reste, je lui glissais une main sous la jupe, et constatant quelle ne portait rien en dessous, lui enfonçais deux doigts dans la chatte qui commençait à couler. De son coté, elle avait porté ma queue à sa bouche et commençait à me sucer le gland qui finissait denfler sous ses coups de langue experts. Voulant profiter au mieux de mon branlage, elle se mit de côté de façon à toujours avoir ma queue dans la bouche tout en ayant une meilleure position pour sentir mes doigts aller et venir dans sa moule qui en redemandait.
De lautre côté du rideau de la cabine, on entendait les clients qui étaient très nombreux à attendre quune place se libère et de savoir quon pouvait se faire gauler à nimporte quel moment mettait un piment supplémentaire à la chose.
Sa bouche était chaude et douce et montait et descendait le long de mon sexe, du gland jusquà la base en prenant bien soin de titiller les couilles au passage. Mon sexe était au bord de l'explosion tellement était forte mon excitation. Ma main était toujours fourrée entre ses cuisses et branlait tantôt fort, tantôt doucement, le clitoris dressé entre les lèvres dégoulinantes de plaisir. Des gouttes de cyprine commençaient à tomber sur le sol de la cabine.
Abandonnant sa position, elle se mit accroupie devant moi et, tout en gardant mon gland entre les lèvres, entreprit de me branler avec vigueur.
Elle me pompait maintenant le dard dune façon qui ne laissait pas de place au doute : elle avait envie de boire mon jus! Une main qui caressait mes couilles et lautre entre les jambes pour se faire plaisir, je regardais sa tête faire des allers-retours sur ma bite et cela mexcita au point que je ne pu retenir un long jet de foutre.
Surprise par la puissance et la quantité de sperme qui arrivait dun seul coup, elle eut un léger mouvement de recul et prit le reste de ma semence sur le visage.
Jétais épuisé, autant par cette pipe fabuleuse que par la chaleur moite quil faisait maintenant dans la cabine.
Isabelle se releva, prit un pan de sa jupe pour sessuyer le visage, ce qui me permit de voir qu'elle continuait de caresser sa chatte épilée soigneusement, et se lécha les doigts sur lesquels perlaient encore quelques gouttes de jus tout en me glissant un regard des plus vicieux qui en disait long sur notre retour à la maison.
Après sêtre rajustés tous les deux, nous sommes sortis de la cabine sous les regards ébahis, mais je crois envieux, de deux vendeuses qui navaient aucun doute sur ce que nous venions de faire. Isabelle sen dirigea vers elles et, avec un regard sans équivoque, leur dit :
- on le prend, mon mari est trop excitant là-dedans!
Gilbert
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