Ma Rencontre Avec Cléïa
La première fois que jai vu Cléïa, je venais de fêter mes 18 ans, et comme tous les garçons de mon âge, je ne pensais quaux
filles. Un après midi que jattendais mes amis à notre lieu de rendez vous habituel, je vis sarrêter vers moi une fille magnifique,
dans un superbe cabriolet de sport. La jeune conductrice cherchait une rue du quartier, et tournait en rond depuis un moment,
elle avait oublié on GPS. Je connaissais bien cette rue, mais pour lui indiquer le chemin, ce nétait pas très simple. Après plusieurs
minutes dexplications, auxquelles elle ne semblait rien comprendre, elle me proposa de monter dans sa voiture pour la guider.
Loccasion était trop belle, pour un peu que je voie quelquun que je connaisse, jaurais pu frimer un max devant les copains.
- Je mappelle Cléïa, me dit-elle.
- Et moi Raoul, bredouillais-je, intimidé.
Arrivé à destination, elle me demanda si je pouvais lattendre, elle ne resterait que quelques minutes, et quelle me ramènerait
ensuite à mon point de départ. Jeus à peine le temps de répondre quelle avait déjà quitté la voiture. Sur le trajet du retour, jen
appris un peu plus sur elle, Cléïa avait 25 ans, étudiante et photographe à ses heures perdues. A voir sa voiture et sa tenue, très
sexy dailleurs, je suppose que ses parents devaient être assez aisés pour lentretenir ainsi. Lorsquelle me déposa, plusieurs
copains étaient là, à me regarder les yeux ébahis.
- A bientôt Raoul, me dit elle, en membrassant, assez tendrement selon moi. A mon âge on se fait vite des illusions.
Les copains me pressèrent de questions sur cette divine inconnue, mais ne voulant garder ce rêve que pour moi, je leur répondis
le plus évasivement possible. Son souvenir hanta nombreux songes de mes nuits suivantes, je ne pensais plus quà elle.
Quelques jours après, alors que je faisais du stop pour rentrer chez moi, cest Cléïa qui sarrêta en me reconnaissant.
- Si tu nes pas pressé, je toffre un verre pour te remercier de mavoir guidé lautre jour.
Jétais aux anges. Notre halte dura plus dune heure, et il me sembla que malgré mon plus jeune âge, je ne lui étais pas indifférent.
Josai lui demander :
- Jaimerais beaucoup te revoir.
- Si tu veux, je passerai te chercher samedi après midi chez toi, si tu es libre.
Jaime autant vous dire, que les trois jours que javais à lattendre ont été très longs, trop longs. Le jour dit, jai passé le plus bel
après midi de ma vie. Nous nous sommes revus plusieurs fois par la suite, avant que je ne lui avoue mon amour pour elle. Je lui
demandais alors, si elle acceptait de sortir avec moi.
- Tu sais, je nai plus quinze ans, me dit-elle. Je naime que la douceur, et ne sors avec un garçon que sil naccepte de faire que
ce qui me fait plaisir. Ne me dit rien pour linstant, prends quelques jours pour bien réfléchir, tu me donneras ton avis lors de notre
prochaine rencontre.
Lorsque je lui parlais au téléphone le lendemain, ma décision était prise : « Je ferai volontiers tout ce que tu désires. »
- Tu sais que jaime la douceur, et que je naime pas être contrariée ; Tu es sûr de toi ? Tu ne sais pas à quoi tu tengages. Me
demanda-t-elle.
Je lui confirmai ma décision.
- Alors pour prouver ce que tu viens de me dire, et comme jaime la douceur, je ne veux plus tu aies un seul poil. Tu as bien
compris ce que cela signifie ?
Je mempressais daccepter, bien que cette demande me surprenne beaucoup. Jusquà présent nos conversations avaient porté
sur des choses plus futiles, jamais sur la sexualité.
Lorsque je lai revue, elle était plus sexy que jamais dans sa très courte mini jupe, et avec un chemisier largement échancré
laissant apparaître une poitrine bien bronzée. De mon côté, javais bien évidemment accédé à sa demande, même si javais été
assez gêné lorsque je lavais fait.
- Monte vite en voiture, que lon trouve un petit coin où nous serons tranquille tous les deux.
Je la guidais alors vers une clairière assez isolée, où jemmenais parfois mes petites amies. A peine arrivés, elle me demanda de
me mettre entièrement nu. Surpris par cette demande si abrupte, je mexécutais tout de même pour ne pas la décevoir. Elle prit
son temps pour mexaminer sous toutes les coutures, et vérifier que sa demande était parfaitement exécutée.
Elle prit alors un appareil photo, et pour immortaliser cet instant, me demanda de prendre des poses plus que sexy. Cela tranchait
avec lattitude quelle avait eue jusquà présent avec moi. Je dus me mettre debout, assis, couché, à genoux, les cuisses écartées,
les mains derrière la tête et bien dautres encore.
- Tourne-toi à présent, je veux te prendre de dos.
Là encore, de nombreuses photos de moi vinrent remplir son appareil. Couché les bras écartés ou encore à quatre pattes, de loin
ou en gros plans, je ne pense pas quune seule partie de mon corps ne lui ait échappé.
- Cest très bien, je suis fier de toi, comme tu as été très gentil avec moi, tu as droit à une récompense.
En moins de temps quil ne faut pour le dire que pour le faire, elle se mit nue à son tour, et me sauta littéralement dessus.
Cest ainsi que je devins officiellement son chéri, et que je perdis mon pucelage.
Avant de nous quitter, elle mannonça très sérieusement.
- Tu as maintenant une idée de ce que je veux, et de ce que jaime. Si tu es prêt à continuer à me satisfaire, tu seras alors le plus
heureux des hommes !!!!!
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!