Collection Black. La Sacristaine (1/1)
Je mappelle, Isabelle, avec un prénom comme le mien, on sattend à tous sauf à être sacristaine.
On sattendrait à une, Lucette, Lucienne ou autre Agathe, prénom ancien pour une femme soccupant de léglise,
Je suis une sacristaine des temps modernes.
Monsieur le curé ayant délaissé le village, il ma été demandé si je voulais bien aider celui qui vient soit le samedi, soit le dimanche dans cette commune de Côte-dor.
Tous les prêtes viennent de la capitale des Duc de Bourgogne pour assurer loffice au moins une fois par mois.
Il faut principalement ouvrir léglise le matin et la fermer le soir.
Je suis veuve depuis deux ans, la dernière personne ayant été bonne de curé avant que lui aussi décède sest retiré dans un couvent.
À la demande de notre maire responsable de notre édifice, comme jallais à la messe tous les dimanches, un responsable dijonnais ma demandé si je voulais assurer ce travail.
Louis, mon mari ma aussi laissé seule pour aller manger les pissenlits par la racine.
Ça ma obligé à cinquante-cinq ans à trouver un emploi à la boulangerie, grâce au maire là encore, jai accepté.
Ce matin, cest ma grosse clef en main que je vais faire mon office.
Ce sera la seule chose que jaurais à faire de la journée avant de fermer ce soir.
Les boulangers sont en vacances pour quinze jours, entraînant la même chose pour moi.
Je suis toute guillerette ce matin, il fait beau.
Jai déjà préparé ma chaise longue, mieux même jai déjà enfilé mon maillot de bain rose, je vais bronzer sur ma terrasse.
Depuis la mort de Louis, cest la première fois que je fais une telle extravagance.
Jai pris lhabitude de ma solitude surtout sexuelle.
Au début, il marrivait de me masturber avec mes doigts.
Cette pratique est vite devenue frustrante et petit à petit la prière a remplacé ces petites décharges me laissant sur ma faim.
Ce que lopinion publique ignore, sauf notre médecin qui est intervenue à mon appel, cest que Louis est mort en mhonorant.
Ma position favorite étant la levrette, il était derrière moi quand il sest affalé sur mon dos.
Jai cru quil avait déchargé sans que je sente son sperme gicler au fond de mon vagin.
Il a poussé un grand cri, mais très vite, jai compris quil y avait une chose anormale.
Je lai poussé sur le côté, il est tombé dune masse, atterrissant sur la descente de lit.
Cest morbide, mais, hélas, cest ce que jai subi.
Jai appelé les secours, la caserne des pompiers de mon village étant proche, ils étaient là en trois minutes.
Hélas, rupture au niveau du cur, infarctus fulgurant, lui qui était une force de la nature.
Nous lavons enterré et je vais régulièrement entretenir sa tombe les lundis jour de fermeture de la boulangerie.
Ce matin donc, jouvre léglise et je fais un tour jusquà la sacristie lieu où sont rangés les divers objets du culte.
Jai la clef sur le trousseau, tout étant en place, sans office aujourdhui, je ressors et je referme.
Dans le soleil commençant à monter, je vois une ombre vers lorgue qui se trouve sur la mezzanine à hauteur des vitraux de notre église de style Roman.
Je prends peur, une personne serait-elle entrée derrière moi !
Derrière moi, oui, mais pourquoi être monté à cet endroit ?
Je prends mon courage à deux mains.
Jattaque lescalier et jarrive près de lorgue.
Je connais bien le chemin, car lorsquil fait mauvais, je viens jouer, il faut dire que Louis était lorganiste et mavait appris comment ça fonctionnait.
Que faite-vous là, je vais appeler la police.
Non, la dame, moi, je cache de la police, jai dormi là cette nuit.
Jétais caché quand vous êtes venue fermer léglise hier au soir, jétais tranquille.
Lhomme parle dans une voix incertaine en Français.
Je vois assis sur un sac de couchage, un noir plus imposant que Louis qui sur ce plan était plutôt balaise dans son genre.
Il me dépasse de quarante bons centimètres, je ne vois que ses mains, sil cherche à me taper, je suis morte.
Je décide déviter de lui faire voir ma peur.
Je mets en pratique ce que mon père ma appris avec les chiens, or ce garçon semble être un chien fou, mais surtout déraciné.
Ramassez vos affaires et descendez, vous navez rien à faire ici.
Il nest pas agressif, replis son sac de couchage, le replace sur le haut dun sac à dos et me suis.
Il passe devant moi, jai lair dune puce, mais il descend sans rechigner.
Nous allons passer le portail quand il me montre une grande frayeur.
Police, madame, cachez-moi.
Je manque déclater de rire, il en faudrait trois comme moi pour le cacher.
Il se place derrière le portail, devant nous passe une camionnette de la gendarmerie.
Il cherche-moi.
Je vois la camionnette reculer jusquà ma hauteur.
Salut Isabelle, tu naurais pas vu un grand noir dans le coin ?
Non, pourquoi ?
Cest tout naturellement que je fais ce pieu mensonge.
Cest un immigré du Congo et il doit être renvoyé dans son pays, nous lavions arrêté et Robert la laissé filer.
Nous voulons le retrouver pour éviter de le dire à nos chefs, car sinon, Robert aura des ennuis.
Non, si je le vois je vous appèlerais !
Si lon connaissait ma vie, on pourrait dire que je me venge.
Le dénommé Robert a été mon premier homme, nous avions vingt ans lors du bal du 14 Juillet sur la place du village.
Il ma fait un que Louis a élevé, car lorsquil la appris, il sest engagé dans la marine.
Dans un premier temps, il a quitté cette arme, pour se faire muter dans la gendarmerie après que le scandale de son abandon se soit calmé.
Les gendarmes repartent.
Suivez-moi, venez jusque chez moi dans la rue voisine, vous serez en sécurité.
Toi avoir des ennuis à cause moi.
Je connais ce gros con de Robert, aujourdhui il fait du zèle, demain il retournera à ses vieux manis.
Je peux te le dire, je suis sûr que ton français tempêche de comprendre.
Il aime de plus en plus une boisson jaune.
Oui, je comprends, cest grâce à bouteille que je suis échappé.
Isabelle.
Samuel, Sam, oui.
Il est plus malin que penser, je lui tends la main, le courant passe.
Nous nous faufilons jusque chez moi et je linstalle dans la chambre dami.
Depuis combien de temps est-elle vide, des lustres.
Depuis combien de temps, suis-je aller dans larmoire du couloir chercher des linges de toilettes pendant que je le laisse dans la salle de bain.
Oh ! mon dieu, Sam excuse-moi !
Non, entre, chez nous on vit nu souvent.
Ce oh, cest un oh ! de surprise quand je vois lengin qui pend au bas du ventre de mon invité.
Ça fait clicher, javais une amie vivante avec un noir de la Réunion et qui se vantait que son homme était monté comme un âne.
Devant moi, jen ai un.
Impudeur de ma part, javance ma main tout en posant les serviettes sur la chaise à ma portée.
Moi toujours si prude pour éviter de dire chaste, je suis la sacristaine, je le masturbe tout en magenouillant pour essayer de le prendre dans ma bouche.
Peine perdue alors je fais courir ma langue tout en lui pressant les bourses ayant du mal à entrer dans une seule de mes mains.
Ce qui se détend est phénoménal, je parlais dâne, quand il me porte sur le lit tel un fétu de paille, je jouis déjà dêtre prise par un tel membre.
Jai beau avoir 55 ans et des heures de vols côté sexe, sil essaye de me la mettre entièrement jusquaux couilles, il me rend difforme.
Je suis dans limpossibilité de dire sil y arrive au moment où je tourne de lil.
Moment idyllique, moi qui étais persuadé que seule la prière égayerait mes jours et surtout mes nuits.
Ça fait quinze jours que lorsque je rentre chez moi, il méclate.
Par chance pour mon âne, la sodomie, il évite, je suis sûr dêtre obligé de me faire mettre une prothèse.
Sa frappe à la porte.
Robert que veux-tu ?
Remets-le-moi, on sait que tu le caches.
Si tu lemmènes, dès ce soir, les autorités sauront que tu es un poivrot qui conduit bourré la camionnette des gendarmes.
Salope.
Et jen suis fière même si je suis loin dapprécier de tavoir donnée ma virginité et que nous ayons eu un .
Continu à nous emmerder et ta retraite, tu verras ou tu te la colleras.
Robert me quitte, Sam qui était derrière moi me prends dans ses bras et me cloue littéralement sans avoir lair de forcer sur la porte dentrée.
Sortant sa trompe déléphant, il me pénètre.
Depuis que je lai récupéré chez moi, je vis la chatte, épilée et nue, aimant quil me prenne à des endroits toujours insolites.
Les autorités ont été prévenues par le maire sétant porté comme garant.
En attendant sa régulation définitive, Sam a été assigné à résidence dans notre ville et plus précisément dans mon lit pour mon plus grand bonheur.
Cest moi qui lui ai trouvé du travail.
Apprenti boulanger.
On a même baisé à deux endroits insolites.
Dans la sacristie, car je reste la sacristaine à genoux sur le prie-dieu dont se servait le vieux curé.
Il vient chaque soir maccompagner pour fermer de peur dun intrus sétant faufilé.
La deuxième, le fournil, le cul dans la patte que Sam venait de pétrir en labsence des boulangers partie pour acheter une maison en Bretagne avant de prendre leur retraite.
Mon homme est capable, maintenant de moffrir mes propres petits pains au chocolat comme il est dit ici en Côte dOr.
Il est capable de tenir ce commerce que je viens dacheter avec lassurance-vie, suite au décès de Louis, la compagnie contestant certains points du contrat.
Dernière chose avant de le retrouver qui peut dire une nouvelle fois le cul dans la patte !
Un curé va venir de Dijon marier Isabelle, la sacristaine à un dénommé Sam boulanger de son état.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!