Cléïa Ii
Bien sûr que je voulais lui faire plaisir, je lavais dans la peau. Et sa promesse dêtre le plus heureux des hommes, ne pouvait que
me ravir.
Plusieurs fois de suite je lai rappelé au téléphone, et chaque fois nétait pas libre ou avait du travail pour ses études, me disait elle.
Elle me faisait languir.
Un samedi, elle me donna rendez vous chez elle, jétais excité comme une puce rien quà lidée daller chez elle pour la première
fois, mais principalement de la revoir.
Arrivée chez elle, Cléïa nétait pas seule, une autre fille splendide était avec elle, penchée sur un ordinateur.
- Alors, voilà ton petit puceau. Annonça la nouvelle venue en guise de préambule.
- Je te présente Jeanne, me dit Cléïa, cest ma meilleure amie, avec laquelle je partage absolument tout. Mais avant daller plus loin,
je pense que tu nas pas dû voir le panneau affiché.
Ce disant, elle me montra un tableau encadré, juste à lentrée de son appartement. Je mapprochai pour le regarder, et lus le texte
qui y était inscrit dessus :
« Seuls les hommes entièrement nus ont le droit dentrer ici. »
Je pensais que cétait une blague, mais les paroles de Cléïa me démontrèrent le contraire.
- Quattends-tu pour te déshabiller.
Comme je ne voulais pas passer pour un idiot devant les deux filles, je commençais à me dévêtir doucement. Lorsquil ne me resta
plus que mon boxer, jhésitais à continuer.
Cléïa enchaîna :
- Ce nest pas la peine de faire ton timide devant Jeanne, je tai déjà dit que nous navons aucun secret lune pour lautre. De plus,
je lui ai déjà montré toutes les photos que jai prises de toi lautre jour, et elle veut voir si tu es aussi bien fait en vrai.
Je navais plus quà mexécuter, devant les sourires concupiscents des deux amies. Une fois nu, jessayais de cacher mes attributs
du mieux que je pouvais.
- Cest une habitude quil te faudra prendre que dêtre nu chez moi. De plus, jai été magnanime parce que cétait la première fois
que tu venais, mais dorénavant tu te déshabilleras entièrement devant la porte avant dentrer. Et tu resteras intégralement nu tout
le temps que tu resteras ici, que je sois seule ou non.
Alors que cette phrase me laissa assez perplexe, elle enchaîna immédiatement :
- Comme tu as beaucoup à apprendre sur les femmes, Jeanne va maider à faire ton éducation, et à corriger les quelques petits
défauts que tu as. Viens donc ici tout près de nous maintenant, quelle me dise ce quelle pense de toi.
- Mets toi à genoux sur le lit, les jambes écartées, et ne bouge plus.
Une fois en position, Cléïa et Jeanne mobservèrent quelques instants. Puis elles me firent mettre dans toutes les positions, pour
terminer à quatre pattes. Elles se tournèrent ensuite vers leurs ordinateurs pour reprendre leur travail, sans plus soccuper de moi.
Cléïa me demanda de garder cette dernière pose sans bouger.
Après de nombreuses longues minutes, pendant lesquelles javais essayé de rester le plus immobile possible, Cléïa dit à son amie
:
- On pourrait peut être faire une pause ?
Celle-ci acquiesça, et répondit :
- Jai hâte de revoir ton puceau de plus près.
Comme ma maîtresse lavait exigé, désormais à chaque fois que je la rencontrerais, je devrais me passer un petit coup de rasoir
avant daller la voir. Les deux filles sapprochèrent alors de moi, et me firent reprendre une nouvelle fois toutes les poses comme
celles de la séance de photos. Elles ne gênèrent pas pour faire des commentaires les plus crus sur mon anatomie.
Dautant plus que cette fois, leurs mains nhésitaient pas à me palper sans vergogne. Après avoir été observé de partout lors de la
séance photo, cette fois cest à leurs attouchements que toutes les parties de mon corps furent soumises.
évidemment, dans tous mes états, gêné au possible de montrer mon excitation à une inconnue.
- Cette petite séance ma trop excitée, annonça Jeanne. Tu sais ce qui me ferait plaisir, dit-elle à Cléïa.
- Il ny a pas de problème, répondit ma maîtresse qui connaissait bien son amie, Raoul est ici pour notre plaisir. Mets-toi en position
Jeanne.
Cléïa me demanda alors de libérer le lit, et de mettre à genoux par terre à côté. Pendant ce temps, Jeanne se mit entièrement nue
et à quatre pattes, présentant son postérieur à quelques centimètres de mon visage.
- Ce que préfère Jeanne, cest quune langue curieuse vienne caresser son petit trou.
Moi qui navais jamais encore exploré le minou dune fille avec ma langue, il était hors de question de maventurer de ce côté. Ma
maîtresse dut sentir ma réticence, car avant que mon trouble ne se fasse sentir, elle avait déjà enserré mes bourses, et
commençait à les presser doucement.
- Rappelle-toi que tu as promis de faire tout ce que je te demanderais, me dit-elle. Resserrant son étreinte, elle ajouta :
- Et puis, je serais désolé de te faire du mal.
Nayant pas le choix, javançai timidement ma langue vers lorifice qui nattendait que cela. Je commençai par lécher maladroitement
les fesses tendues, en évitant au maximum leur centre. Cléïa me serra davantage, en me suggérant de commencer mes caresses
linguales par le minou, puis de remonter doucement. Une nouvelle fois, je neu pas dautres alternatives, et fit ce que me
commandait ma maîtresse.
La première approche, que je redoutais un peu, ne savéra pas si terrible que ça. Je pensais que cela me rebuterais, mais sentir
Jeanne se trémousser, mincita à continuer. Ma langue remonta alors tout doucement, jusquau point névralgique.
- Cest bien, mencouragea alors Cléïa, à présent tu tournes tout autour, avec des petits mouvements très doux.
Je suivi ses conseils, et constatai que Jeanne était de plus en plus excitée.
- Maintenant tu vas lui faire un énorme bisou, de plus je veux voir ta langue aller et venir, et senfoncer le plus possible pour la
fouiller profondément, comme elle laime tant.
Disant cela elle avait étranglé un peu plus mes bourses. Ne tenant pas à ce quelle serre davantage, et malgré mon dégoût, je me
mis à luvre. Le nez contre la partie la plus charnue de Jeanne, javais peine à respirer. Je mexécutai tout de même du mieux
possible, en essayant de lui faire rapidement plaisir. Javais hâte de me libérer de cette corvée. Ma langue finit par pénétrer au plus
profond de Jeanne, jétais meurtri au possible.
Je sentis que Jeanne appréciait de plus en plus ce que je lui faisais, jusquà ce quelle se contracte une ultime fois, en écrasant
mon visage entre ses fesses. Jétais à la limite de la suffocation lorsquelle jouit, et quelle libère enfin son étreinte. Elle resta
ensuite sans bouger pendants plusieurs secondes.
Cléïa me caressa les fesses comme à un petit animal domestique, elle semblait contente de moi.
Lorsque Jeanne quitta le lit, ma maîtresse totalement dévêtue elle aussi à présent, prit immédiatement la place encore chaude en
se mettant sur le dos, et en mannonçant :
- Pour moi, ce sera plus classique.
Et elle ouvrit alors la fourche de ses cuisses, en attirait mon visage sur son minou. Je maperçus alors que, comme son amie, Cléïa
était totalement dépourvue de poils pubiens.
- Tu as lair assez doué avec ta langue, montre moi ça.
Ce fut une nouvelle séance de broutage, mais de minou cette fois. Ma maîtresse mindiquait à chaque fois ce quelle voulait, et je
mactivais à donner le meilleur de moi-même. Après la séance quil mavait fallu subir avec Jeanne, cétait un vrai plaisir pour moi,
que de contenter Cléïa.
Celle-ci me guidait pour alterner douceur et assauts plus fermes, et laissait entendre des petits gémissements lorsque ma langue
remplissait correctement son office. Elle sagitait de plus en plus frénétiquement sous mes caresses, je voyais quelle ne
résisterait plus très longtemps. Malgré linconfort de ma position, jaurais aimé pouvoir la lécher ainsi pendant des heures, juste
pour le plaisir de la voir heureuse grâce à moi.
Comme je lavais pressenti, son plaisir vint rapidement, et comme son amie, elle me retint contre elle pendant de longues
secondes. Jaurais pu moi aussi jouir en même temps quelle, pour un peu quelle ait laissé vagabonder ses mains sur ma virilité.
Malheureusement, cela navait pas lair dêtre à son programme.
Elles se remirent au travail en riant effrontément de létat dans lequel jétais.
- Tu auras une récompense un peu plus tard, me dit Cléïa. Pour linstant tu tassois sur cette chaise le temps de te calmer, et
noublie pas de garder les cuisses bien écartées. Cest une autre habitude quil ne faut pas que tu oublies, ton sexe doit toujours
être bien visible pour toutes celles et ceux qui sont autour de toi.
Je pris la chaise quelle me montrait, et regardai avec regret ces deux corps nus et splendides, que je navais pas de droit de
toucher.
Après un long moment, elles prirent à nouveau place sur le lit. Cléïa mannonça alors :
- Cest le moment de ta récompense pour tout le plaisir que tu nous as donné. Mais comme il a fallu que je te stimule lorsque tu
tes occupé de Jeanne, le seul plaisir que tu auras sera celui de la vue. Profites en bien, mais surtout ne tavise pas de bouger, ne
serait-ce quun cil.
Elle navait pas tort, car elle avait bien senti lors de ma prestation avec Jeanne, que je nétais guère enthousiasmé. Je dus me
contenter de mater les deux filles dans un superbe show lesbien. Spectacle beaucoup plus excitant que tous ceux que javais pu
voir en regardant parfois des films pornos avec mes copains.
Les corps remuaient dans tous les sens, les caresses se succédèrent alors aux embrassades, et les râles couvraient avec peine
les gémissements. Lapothéose survint après de longues minutes, lorsque les deux filles jouirent simultanément lors dun 69
explosif.
Il leur fallu encore un long moment avant quelles ne reprennent leurs esprits. Et moi jétais là comme un pauvre malheureux, la
queue plus raide que jamais, entre les jambes.
Ma maîtresse me congédia rapidement :
- A partir de maintenant tu mappelleras Maîtresse. A présent, tu peux te rhabiller, et rentrer chez toi, je tappellerai bientôt.
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