Je Me Suis Laissée Sodomisée Par Mon Ami Homo
François, mon ami homo ma sodomisé. Je nen reviens toujours pas de mêtre laissée embarquer dans ce plan de ouf, imaginé par mon vicieux de mari.
Toujours est-il que je métais retrouvée à quatre pattes sur la moquette du salon, en train de tailler une pipe à mon homme vautré sur le canapé tandis que François tout en me tenant fermement par les hanches, sa queue figée profondément entre mes fesses, râlait de bonheur en massurant que mon petit cul ferait le bonheur de nimporte quel homo quil connaissait.
Après mavoir longuement sodomisé, il mavait finalement rempli les intestins de son foutre, éjaculant sans retenue et sans aucun état dâme dans le cul de son amie, sa confidente de toujours.
Depuis plus de trente ans que nous nous connaissions, je navais jamais eu loccasion de remarquer quil était si bien monté, mais en voyant sa grosse bite en pleine érection avant quil me lenfourne dans lanus, jai vraiment pensé quil allait me faire mal. Heureusement, en homo accompli, il avait su me préparer pour finalement minvestir sans trop de dégâts et je suis bien obligé de le reconnaître, me donner du plaisir.
Après avoir joui en moi, il ma confié quil était loin de penser que sa copine était aussi salope au lit car sinon, il y a longtemps quil maurait défoncé le cul comme il venait de le faire avec lapprobation de mon mari.
Cette expérience plutôt inattendue ma quelque peu perturbée aussi cest au calme, le lendemain après le départ de mon ami et de mon mari que jai repensé à cette soirée au cours de laquelle jai moi-même provoqué ce qui mest ensuite arrivé.
En effet, au départ, cétait une soirée comme il y en a eu des tas avec François, rien ne laissait présager que quelques heures plus tard, il poserait son gland devant ma rosette pour me besogner et profiter longuement de mes sphincters jusquà les tapisser de son foutre.
Cest certainement lorsquon a commencé à boire plus que de raison quil sest produit quelque chose notamment lorsquon a commencé à parler de cul, de ce que faisait les homo, les hétéro etc.
Oui, je me souviens maintenant, cest lorsquon a parlé du plaisir que les hommes éprouvaient dans la sodomie. François, homo convaincu, soutenait à mon homme, quil naurait jamais de plaisir à sodomiser une femme car pour lui, cétait le fait davoir un homme devant lui qui déclenchait son plaisir, et quil ny avait rien de mécanique là-dedans. Mon homme lui soutenait quil ne voyait aucune différence à soccuper de lanus dune femme ou dun homme, il en retirerait le même plaisir, physiquement parlant.
Javais beaucoup trop bu et au lieu de me taire en me contentant de les écouter parler, jai commencé à me mêler de leur conversation, allant jusquà leur proposer, eux qui étaient encore plus imbibés que moi, de mettre en pratique leur théorie.
Jajoutais complètement hilare, en madressant à mon copain :
- Si tu faisais connaissance avec mon petit cul, je peux tassurer que tu tiendrais un autre discours.
Mon mari encore plus imbibé que moi, ne put sempêcher den rajouter, le mettant au défi dessayer un vrai petit cul de femme pour parler en connaissance de cause au lieu de rester dans la théorie.
- Tu parles de choses que tu ne connais même pas. Nate te propose dessayer. Je te mets au défi de le faire et on en reparle après.
La conversation commençait à prendre une tournure à laquelle je ne mattendais pas vraiment mais jétais vraiment bourrée et la perspective de me faire sodomiser par mon copain, ne métais pas repoussante. Au milieu des brumes de lalcool, jétais prête à tout pour avoir le dernier mot.
François comme nous nétait pas dans son état normal aussi, sans même hésiter une seconde, il prit tout le monde au mot :
- Ok, je moccupe de ton petit cul si Karen soccupe du mien car lui non plus nest jamais allé avec un mec.
Bien sûr, Karen, fit savoir quil était daccord mais à condition que ce soit François qui commence. Cétait partit pour le grand dérapage.
François mattrapa par la taille et, me fit pivoter devant lui pour minstaller à genoux sur la moquette puis, commença à me déshabiller.
- Oh la petite cochonne, elle dégouline de partout.
Sécria mon copain en voyant ma moule luisante de mouille. Il glissa un de ses doigts dans ma fente pour y récupérer un peu de jus puis le fit glisser entre mes lèvres, ce qui déclencha un spasme dans mon ventre.
Je nétais plus moi-même et depuis un moment déjà. Je tendis mes fesses vers le doigt, en espérant quil senfonce en moi rapidement au lieu de jouer avec mes nerfs mais François remontant vers lillet en commentant :
- Cest vrai que ton anneau avec ces plis bien larges est bien appétissant. Tu mérites une bonne grosse queue.
- Tu parles, tu parles mais en attendant çà nagit pas beaucoup. Taurais pas plutôt peur de me la mettre et de ne plus pouvoir ten passer après ?
- Sois pas pressée, on va dabord y goûter si tu veux bien.
- Vas-y goûtes autant que tu veux, lessayez comme dit Karen, cest ladopter.
François se mit à me lécher la rondelle, lélargissant avec sa langue quil faisait pénétrer de plus en plus profondément, marrachant des soupirs de plus en plus forts, sous les yeux intéressés de mon vicieux de mari.
- Il mouvre lanneau comme un pro. Cest bon tu ne peux pas savoir. Regardes-le faire mon chéri, cest çà que je veux avant que tu me la mettes.
- Tu vas moins fanfaronner quand tauras son mandrin dans les fesses. Il est super bien monté ton copain.
A ces mots, je me retournais pour voir par en-dessous le sexe de François que je navais eu loccasion de voir quau repos et encore, tellement rapidement que je navais aucune idée du gabarit de la bête.
Effectivement, jécarquillais les yeux en me rendant compte quil était bien mieux monté que Karen. Sa hampe plus longue et plus épaisse était surmontée dun gros gland encore plus large.
- Oh la vache, tes monté comme un âne ma parole. Vas-y doucement tout à lheure. Jaime çà mais là, je vais la sentir passer.
- Tinquiètes pas ma chérie, on ne sest jamais plaint delle. Tu verras. Tu vas adorer.
Karen avait passé une de ses mains sous mon ventre pour menfiler un de ses doigts quil faisait coulisser allègrement dans mon fourreau, titillant au passage mon bouton avec son pouce. Jadorais ses caresses me préparant à lassaut de notre ami. Je réussissais à le faire allonger sous moi pour mempaler sur son vit tandis que François, jugeant que jétais prête, majustait avec son gros gland.
Dun geste ferme, il fit cesser mes va-et-vient sur la queue de mon homme, puis, sans même saider de ses mains qui magrippaient aux hanches, dun coup de reins ferme mais tout en douceur, il mouvrait la rondelle pour se figer entre mes fesses. Une brûlure que je connaissais bien me fendit lanneau. Je sentais son gland bloqué à lentrée, après deux ou trois petites inspirations, je me reculais franchement au moment où lui aussi, savançait. Je lavalais sans coup férir, sentant mes sphincters céder sous la poussée du mandrin qui me perforait. La brûlure augmenta dintensité, javais beau me relâcher autant que je le pouvais, poussant comme une damnée pour mouvrir au maximum mais cétait gros, vraiment gros dans mon fondement. La sueur commençait à me couler sur les tempes et dans le dos. Je posais ma main sur sa cuisse contre la mienne pour quil me laisse le temps de mhabi à sa présence. Il sétait arrêté aussitôt.
- Oufffffffffffffff. Merci. Laisses-moi souffler un peu tu veux bien ? Quest-ce que çà fait denculer sa copine ?
- Tout drôle. Çà me fait tout drôle de tavoir au bout de ma queue mais, tu me serres bien, cest bon si cest ce que tu veux savoir.
- Ouais, cest çà. Vas-y maintenant si tu veux. Encules-moi, comme tu le fais avec tes petites conquêtes.
Aussitôt, il se mettait en mouvement, entraînait mes chairs avec lui en se retirant. Javais limpression de me retourner comme un gant tandis quil sortait lentement sa longue tige de mes fesses, cétait géant. Je ne pus mempêcher de linvectiver dans des termes un peu crus :
- Salaud, tu vas me sortir le cul. Doucement, doucement. Reviens.
Sans soccuper de moi, il continuait son retrait jusqu sortir entièrement puis admirant le trou béant quil venait dabandonner, il me réinvestissait tout aussi lentement, savourant sa progression entre mes chairs.
- Tes bonne Nate, tu vas me faire changer davis sur les culs féminins.
Karen sétait arrêté de bouger, pendant lintromission. Les premiers mouvements de François lui donnèrent le signal et lui aussi se remit en mouvement. Ils me tenaient tous les deux aux hanches, synchronisant leurs coups grâce à leurs doigts entrelacés sur ma peau.
Je nen revenais pas quils sentendent aussi bien pour me perforer. Les salauds, ils avaient dû mettre au point leur scénario bien avant cette soirée pour saccorder aussi bien. Je nétais plus rapidement quun pantin entre leurs queues.
Je jouis rapidement une première fois puis une deuxième sans quaucun signe ne me laisse penser quils étaient en train de faiblir. Epuisée, je me laissais secouer lamentablement, tandis que leurs commentaires résonnaient dans ma tête :
- Elle est vraiment bonne, dommage quelle ne tienne pas la distance.
- Tinquiètes, elle adore se faire ramoner dans le cirage. Tu vas voir quelle est encore capable de jouir.
- Non tu déconnes.
- Vas-y prends la plus fort, défonces-lui le cul tu vas voir si elle naime pas çà.
François me défonçais littéralement. Je me mis à jouir encore une fois, écrasé entre mes deux amants, presque mécaniquement, presque sans men rendre compte. Jétais épuisée mais comblée. Cest à ce moment que Karen, mon homme a changé de place pour venir me fourrer sa queue dans la gorge jusquà ce quil my déverse tout son foutre, mon copain, limitant quelques instants plus tard mais au plus profonds de mes intestins.
En repensant à tout çà, jétais anéantie. Anéantie davoir autant joui tandis que mon ami me ramonait le cul sans ménagement pendant que mon homme soccupait de ma petite chatte. Jétais bien obligée dadmettre que javais adoré çà et que sils me le redemandaient, jaccepterais sans hésiter et sans quon ait besoin de me saouler pour obtenir mon consentement.
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