Le Piège (1)


Comme Rachida travaillait chez nous, nous étions assez familiers et avions des jeux de mains et de pieds qui pouvaient assez vite tourner au rouge. Mais, la croyant vierge, je ne tenais pas à une suite trop longue où elle serait collante et pleurnicharde.
Mais cet après-midi, alors que la chaleur commençait à être plus évidente, elle me sembla assez attirante. Et si en plus, elle n’est pas vierge…
Elle avait porté une chemise blanche, dont les manches terminées en dentelles ne recouvraient que la moitié de ses avant-bras et un short qui atteignait ses genoux. Je l’avais déjà vue dans des tenues plus excitantes, mais quand je la croyais vierge… Ne se doutant de rien, elle m’a fait un clin d’œil quand Fatiha est passée devant nous.
-tu as vu le clin d’œil ? dit-elle en souriant.
-bien sure, tu es en face de moi, je ne suis pas aveugle…
-non, pas le mien, celui de Fatiha…
-non, je regardais tes petites sandales… il devait être pour toi, entre femmes.
-tu rêves toujours d’elle ? dit-elle en posant une main sur mon épaule. Je pris son avant-bras à deux mains…
-mais tu me caresses, on dirait…
-non, je voulais juste que tu restes avec moi, et que tu sois décontractée, lui dis-je en portant une main vers sa nuque. Ce qui la fit trembler…
-arrêtes stp, on pourrait nous voir… pas ici…
-alors juste un baiser rapide pour me calmer…
-non, stp, on va nous voir… et je suis tout en blanc… attention à mes habits stp.
Notre baiser est chaud, mais assez furtif, je caresse un peu sa nuque et ses cheveux avant de la laisser se retirer…
-je serai seul au bureau samedi, si tu veux…
-je ne viens qu’à midi, pour le ménage…
-c’est un peu tard pour aller au cinéma après, j’aurais voulu…
-je n’aime pas regarder les autres… (ce qui en disait long…)
Le lendemain, en arrivant à 10h30, je remarque de l’eau dans le couloir et l’appartement est tout chamboulé.

Montée sur un bureau, elle est entrain de remettre en place un tableau. Elle a les pieds nus et ne porte qu’un long tee-shirt qu’elle a glissé sous sa culotte pour raccourcir, je l’admire sans rien dire, pendant un long moment. Ce n’est qu’en voulant redescendre qu’elle me voit sourire. Prise par un faux réflexe de pudeur, elle cherche à relâcher le tee-shirt, et se plia sur le bureau.
-ne t’en fais pas, je suis seul et j’ai fermé la porte. Tu as été bien matinale pour un samedi.
-je suis prise, on dirait ?
-non, pas du tout, dis-je en lui tendant mon bras pour l’aider à poser ses pieds sur terre. Pardon, je voulais dire pas encore, maintenant oui, tu es prise… dans me bras.
-lâches-moi stp je dois terminer… ces paroles se perdirent dans un baiser que je me suis appliqué à prolonger le plus longtemps. La sentant toute excitée, je quitte sa bouche pour sa nuque et son cou. En caressant son dos à travers le tissu, je constate que le tee-shirt n’est plus retenu par la culotte. Je le remontai donc vers le haut, libérant ses cuisses puis son dos que je caressai avec douceur en frôlant le haut de ses fesses. Des gémissements m’encouragent à lui laisser plus d’espace de mouvement. Elle retira élégamment le tee-shirt et se croisa les bras pour ressortir ses petits seins en avant.
-qu’est ce qu’ils sont mignons tes nichons… j’aurais voulu être bébé
-hum, c’est dommage….
-je peux le devenir, pour ton plaisir répondis-je en l’attirant vers moi pour un long câlinage de cette petite poitrine si jeune encore. Quand je l’entends gémir, je lui dis d’enlever sa culotte si elle ne veut pas la mouiller. Ce qu’elle fit rapidement avant de détacher ma ceinture. Je la félicite pour le soin de son pubis que je me mets à caresser jusqu’à sentir des goûtes de cyprine perler sur mes doigts. Elle avait de son côté pris mon sexe dans sa main le faisant redresser. Je la pose sur le bureau alors qu’elle gémit en s’allongeant et ramenant ses pieds à mes épaules.
Cette position me sembla un peu bizarre (à l’époque), mais assez tentante. Ce n’est qu’en pénétrant la douce Rachida et en la voyant en jouir autant que moi, que je pus vraiment l’apprécier. Elle m’avoua plus tard que c’est dans cette position qu’elle avait perdu sa fleur.
Avant de nous rhabiller, nous nous sommes longuement embrassés comme de vrais amoureux, tout en sachant chacun de son côté, que seul le désir nous avait réunis.
Et celle qui était si pudique au départ me proposa de raser mon sexe moyennant une récompense coquine dont le signe fut un simple petit bisou sur mon gland.
A suivre

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