Le Piège (1)
Comme Rachida travaillait chez nous, nous étions assez familiers et avions des jeux de mains et de pieds qui pouvaient assez vite tourner au rouge. Mais, la croyant vierge, je ne tenais pas à une suite trop longue où elle serait collante et pleurnicharde.
Mais cet après-midi, alors que la chaleur commençait à être plus évidente, elle me sembla assez attirante. Et si en plus, elle nest pas vierge
Elle avait porté une chemise blanche, dont les manches terminées en dentelles ne recouvraient que la moitié de ses avant-bras et un short qui atteignait ses genoux. Je lavais déjà vue dans des tenues plus excitantes, mais quand je la croyais vierge
Ne se doutant de rien, elle ma fait un clin dil quand Fatiha est passée devant nous.
-tu as vu le clin dil ? dit-elle en souriant.
-bien sure, tu es en face de moi, je ne suis pas aveugle
-non, pas le mien, celui de Fatiha
-non, je regardais tes petites sandales
il devait être pour toi, entre femmes.
-tu rêves toujours delle ? dit-elle en posant une main sur mon épaule. Je pris son avant-bras à deux mains
-mais tu me caresses, on dirait
-non, je voulais juste que tu restes avec moi, et que tu sois décontractée, lui dis-je en portant une main vers sa nuque. Ce qui la fit trembler
-arrêtes stp, on pourrait nous voir
pas ici
-alors juste un baiser rapide pour me calmer
-non, stp, on va nous voir
et je suis tout en blanc
attention à mes habits stp.
Notre baiser est chaud, mais assez furtif, je caresse un peu sa nuque et ses cheveux avant de la laisser se retirer
-je serai seul au bureau samedi, si tu veux
-je ne viens quà midi, pour le ménage
-cest un peu tard pour aller au cinéma après, jaurais voulu
-je naime pas regarder les autres
(ce qui en disait long
)
Le lendemain, en arrivant à 10h30, je remarque de leau dans le couloir et lappartement est tout chamboulé.
-ne ten fais pas, je suis seul et jai fermé la porte. Tu as été bien matinale pour un samedi.
-je suis prise, on dirait ?
-non, pas du tout, dis-je en lui tendant mon bras pour laider à poser ses pieds sur terre. Pardon, je voulais dire pas encore, maintenant oui, tu es prise
dans me bras.
-lâches-moi stp je dois terminer
ces paroles se perdirent dans un baiser que je me suis appliqué à prolonger le plus longtemps. La sentant toute excitée, je quitte sa bouche pour sa nuque et son cou. En caressant son dos à travers le tissu, je constate que le tee-shirt nest plus retenu par la culotte. Je le remontai donc vers le haut, libérant ses cuisses puis son dos que je caressai avec douceur en frôlant le haut de ses fesses. Des gémissements mencouragent à lui laisser plus despace de mouvement. Elle retira élégamment le tee-shirt et se croisa les bras pour ressortir ses petits seins en avant.
-quest ce quils sont mignons tes nichons
jaurais voulu être bébé
-hum, cest dommage
.
-je peux le devenir, pour ton plaisir répondis-je en lattirant vers moi pour un long câlinage de cette petite poitrine si jeune encore. Quand je lentends gémir, je lui dis denlever sa culotte si elle ne veut pas la mouiller. Ce quelle fit rapidement avant de détacher ma ceinture. Je la félicite pour le soin de son pubis que je me mets à caresser jusquà sentir des goûtes de cyprine perler sur mes doigts. Elle avait de son côté pris mon sexe dans sa main le faisant redresser. Je la pose sur le bureau alors quelle gémit en sallongeant et ramenant ses pieds à mes épaules.
Avant de nous rhabiller, nous nous sommes longuement embrassés comme de vrais amoureux, tout en sachant chacun de son côté, que seul le désir nous avait réunis.
Et celle qui était si pudique au départ me proposa de raser mon sexe moyennant une récompense coquine dont le signe fut un simple petit bisou sur mon gland.
A suivre
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