Cléïa Iii
Ma maîtresse me congédia rapidement :
- A partir de maintenant tu mappelleras MaÎtresse. A présent, tu peux te rhabiller, et rentrer chez toi, je tappellerai bientôt.
Elle ne devait pas avoir la même notion du temps que moi, car elle me contacta plus de quinze jours après, me demandant de
venir immédiatement chez elle.
Lorsque je suis entré chez Maîtresse, puisque je devais la nommer ainsi, et en ayant pris soin de me dévêtir totalement avant
dentrer, elle ma annoncé :
- Jai un cadeau pour toi.
Comme cétait le premier cadeau quelle moffrait, je mempressai de la remercier, et douvrir le présent. A lintérieur du paquet, je
trouvai un collier tout en chaîne argentée, dassez petite taille. Devant mon étonnement, elle mannonça :
- Je vais te montrer comment il se porte, mais ensuite ce sera à toi de te le mettre tout seul. Il ny a que moi qui pourrai te lenlever,
ne loublie pas.
Joignant le geste à la parole, elle prit le collier et me le passa, non pas autour du cou ou du poignet comme je my attendais, mais à
mon grand étonnement autour du sexe et des bourses. Elle prit ensuite quelques secondes pour lajuster assez serré, et me dit :
- Maintenant on va voir Jeanne.
A laide dun mousqueton, elle attacha alors mon collier à un manche en cuir. Celui ci avait une longueur denviron 80 cm, et un
diamètre que jestimai à 5 cm. Elle se dirigea ensuite vers la porte de son appartement, en me traînant comme un petit chien. Vu la
rigidité de lensemble, je navais guère de marge de manuvre. Il fallait absolument que je suive son rythme, sinon mon service
trois pièces se trouvait davantage garrotté par ce collier étrangleur.
Soucieux et inquiet dêtre à la merci de ce gadget spécial, je navais pas pris attention quelle mavait promené nu et attaché de la
sorte dans tout limmeuble, des couloirs au sous sol, en passant par lascenseur.
personne jusquà sa voiture. Arrivé chez Jeanne, elle me promena de nouveau de la même manière. Mais cette fois, nous étions
dans une propriété privée, il aurait été étonnant de rencontrer quelquun.
Arrivé dans la maison, la première chose que je remarquai, cétait un jeune homme de dos dans un coin de la pièce, penché en
avant, ses mains enserrant ses chevilles. Ce qui me marqua le plus ce nétait pas quil fut entièrement nu, mais parce que ses
fesses étaient marquées de nombreuses zébrures rouges. Jeanne annonça, plus à mon attention quà celle de Maîtresse :
- Il na pas été obéissant, il a eu ce quil méritait.
Maîtresse se tourna vers moi pour mexpliquer :
- Tu vois ce qui arrive lorsque lon ne nous fait pas plaisir, alors essaie de ten souvenir.
Jeanne alla ensuite vers son ami, après quelques secondes elle revint vers nous en le tenant par un collier passé autour de son
intimité, le même collier que le mien. En fait je découvris quelle lavait attaché par son collier, directement à un piton fixé dans le
mur. Je ne sais pas depuis combien de temps il était fixé de la sorte, mais il avait lair davoir souffert de cette entrave. Javais intérêt
à être docile, Maîtresse serait capable de me faire subir le même sort.
Les deux amies nous entraînèrent dans la chambre, puis nous ôtèrent nos colliers. Maîtresse, qui sétait emparé de la cravache de
Jeanne, me fit mettre à quatre pattes sur le lit, la tête aux pieds du lit. A petits coups de cravaches, elle me fit bien écarter les
cuisses et relever la tête. Puis elle vint sasseoir à côté de moi, tandis que Jeanne sempara dun appareil photo. Max, jappris que
lami de Jeanne se nommait ainsi, vint se mettre face à moi.
- Lorsque tu as vu Jeanne la première fois, commença Maîtresse, nous tavons fait un joli spectacle toutes les deux.
et Max, vous allez nous faire le même genre de show. Comme lui a déjà pratiqué la chose, tu vas dabord tentraîner à la fellation.
- Tu verras, vu sous cet angle cest très différent, continua telle en souriant.
Max, en demi érection, sapprocha davantage de moi jusquà exposer son sexe tout près de mon visage. Lorsque Maîtresse pris
une de mes mains pour la passer sur les fesses boursouflées de Max, je compris son message : Je navais plus quà mexécuter.
- Commence par lui faire des bisous partout. Mindiqua Maîtresse.
Japprochai alors mes lèvres timidement du sexe de Max. Un premier bisou, puis un deuxième, ce ne fut pas si terrible. Dans ma
tête, je mimaginai que jétais en train dembrasser le corps de Maîtresse. Quand jarrivai aux bourses, bien quelles furent tondues
aussi, limage du corps de Maîtresse sévapora et me ramena à la réalité. Je continuai tout de même, nayant pas le choix.
Jeanne navais pas cessé de me shooter en gros plan avec son appareil photo, et navait pas lair de vouloir stopper de sitôt.
Maîtresse reprit ses directives :
- A présent tu vas le caresser avec ta langue, en commençant le plus bas possible entre ses cuisses, et en remontant lentement.
Après que jeus sillonné plusieurs fois le parcours jusquau sommet de son érection, elle reprit :
- Tu vas maintenant prendre ses bourses dans ta bouche, et les dorloter avec ta langue.
Jeus un peu de peine à les gober, tant elles étaient volumineuses. Jessayai ensuite de faire ce quelle mavait demandé, mais mes
caresses ne devaient pas être très efficaces, car ma langue navait que trop peu de place pour évoluer.
Maîtresse minterrompit soudain :
- Je ne tai pas vu lembrasser au bout de son sexe.
Je délaissai sans regrets les bourses de Max, pour approcher mes lèvres de lextrémité que me présentait Maîtresse.
lèvres en place, Maîtresse appuya fortement sur ma tête, et me précisa :
- Un baiser se donne également avec la langue.
Je dus lui lécher également le bout du sexe, tant que Maîtresse me maintenait.
- Jaimerais à présent voir uniquement ta langue, et quelle flatte lextrémité, comme si elle voulait y pénétrer.
Malgré mon dégoût, je me mis à faire, une fois de plus, ce quelle exigeait de moi.
Maîtresse me prit ensuite la tête par les cheveux, et me força à avaler le sexe de Max. Elle me tira en arrière, puis me replongea en
avant, et ainsi de suite. Au bout dun petit moment, je maperçus que Maîtresse mavait lâché, et que je pompais Max tout seul.
- Cest bien, tu as fait le plus difficile. Me dit alors Jeanne, qui reprit les directives :
- Lorsque tu sentiras que Max se lâche, tu ouvriras bien la bouche, et tu tireras la langue le plus possible pour ne pas en avoir plein
le visage. Ensuite tu attendras que jaie fait quelques photos, avant davaler.
Elles exigeaient toutes les deux de moi, que je mavilisse le plus possible.
Pendant que je continuais de mactiver, je vis une des mains de Maîtresse passer entre les cuisses de Max et câliner ses bourses.
Lautre main vint semparer de sa virilité, et commencer une masturbation frénétique, mon calvaire allait bientôt prendre fin.
Max se libéra inévitablement très vite au fond de ma gorge.
Jeanne, après avoir pris de nombreux clichés, reprit ses consignes :
- Lèche bien la dernière goutte, et ensuite tourne toi vers moi la bouche grande ouverte.
Lorsque jeus fait ce quelle me demandait, et quelle ait pris encore de nombreuses photos de la sève de Max dans ma bouche,
elle enchaîna :
- Cest bien, avale maintenant, je nai pas envie quil y en ait plein le lit.
Contraint et , jobtempérai avec un haut le cur, que Jeanne remarqua.
- Il faudra quon le fasse sucer plus souvent, quil prenne lhabitude.
Pour une fois Maîtresse me défendit :
- Pour sa première pipe, ce nétait pas si mal. La prochaine fois, il fera mieux.
Puis enchaînant :
- Cest dommage que lon doive déjà partir, la prochaine fois, vous nous ferez un magnifique 69.
Avant de quitter Jeanne et son ami, Maîtresse me demanda de remettre mon collier. Lorsque je leus installé, Maîtresse y plaça un
petit cadenas, jétais véritablement prisonnier de son cadeau empoisonné.
Moi qui adorait les fellations, jamais je naurais pensé quun jour ce serait moi qui devrais en faire une.
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