Mon Neveu Resté Seul
Nous nous retrouvions tous les étés avec toute la famille, dans une maison à la campagne. Un grande maison commune à tous où un arrangement avait été passé entre chacun pour une parfaite entente. La maison était splendide et la campagne merveilleuse. Chaque année nous voyions les évolutions des uns et des autres ,physiques et morales.
Cet été nous étions une vingtaine et étant la tante sans , je me faisais un plaisir de faire la cuisine et le ménage aidée par les uns ou par les autres bien sûr. Mes neveux et mes nièces prenaient des formes appétissantes que seule la jeunesse sait rendre.
Un jour j'étais fatiguée et alors que tout le monde partait en excursion pour la journée, je décidais de rester seule pour me reposer.
Peu de temps après le départ de la bande, un coup de téléphone m'avertissant que Frédéric, un neveu, était resté lui aussi, dormant dans son lit, et que je devais m'en occuper.
Arrivée l'heure de midi, n'entendant aucun bruit, je montais en direction de la chambre du neveu et j'entendis le bruit de la douche qui fonctionnait. Sans bruit, je jetais un oeil par l'entrebâillement de la porte et je vis Frédéric debout dans la baignoire sexe tendu bien décalotté, se branler. Sa main glissait bien le long de sa tige fine et bien faite dans un amas de mousse à savon. Il fermait les yeux et se donnait pleinement à son plaisir solitaire. Je restais à mon poste et matait ce spectacle merveilleux. Je sentais que ma chatte coulait et mouillait ma culotte, j'étais très excité.
J'avais soulevé ma jupe, écartais l'élastique de ma culote et j'avais plongé deux doigts dans ma chatte enflée et dégoulinante de cyprine, et je me masturbais allègrement.
Mon jeune neveu accéléra son mouvement et soudain se figea et plusieurs jets de sperme jaillirent de son gland rouge luisant. il serra son sexe et fit sortir encore quelques gouttes de jus. N'y tenant plus, de ma cachette, je me mis à jouïr à mon tour et je dus me mordre les lèvres pour mes râles de plaisir.
Une fois calmée, je rejoignis ma chambre et après avoir fermé la porte à clé je me lavais le sexe encore gonflé.
J'entendis Frédéric, descendre au rez-de-chaussé et je le rejoignis quelques minutes plus tard pour finir le repas que j'avais commencé et qui n'avait pas brûlé...
- Tout le monde est parti, lui dis-je.
- Tant mieux, ma tante, on sera bien tranquille pour une fois !
Nous finîmes le repas après avoir parlé de choses et d'autres sans importance.
Nous nous retrouvâmes sur le canapé pour prendre le café. Je ne pouvais plus le regarder de la même façon depuis que j'avais vu... De temps en temps je regardais son entrejambe pour voir si il y avait une réaction. J'avais volontairement laissé ma jupe légère remonter sur le haut de mes cuisses pour attiré son regard. Je dégustais mon café et épiais les réaction de Frédéric. Il s'était vautré sur le canapé et sa main la plus proche nonchalamment s'approchait de ma cuisse. au bout de vingt minutes sa main était complètement en contact avec ma cuisse, je le laissais faire mais il ne bougeait pas et profitait du moment présent. Je me tournais vers lui et plongeais mon regard dans le sien, et il se redressa lentement pour m'embrasser et en même temps poser carrément sa main sur le gras de ma cuisse. J'ouvris légèrement la bouche et nous nous roulâmes une magnifique pelle. Sa main aussitôt releva maladroitement ma jupe et il me caressa mon sexe par dessus le tissu de mon slip.
- Tu es fou Frédéric, lui dis-je
- J'ai trop envie, tu sais. me répondit-il
Un rapide coup d'oeil et je vis le pantalon de mon neveu complètement déformé. Je lançais un main et commençais à lui défaire ses boutons, qui lachèrent immédiatement et dans le même mouvement baissais son slip. Son sexe tendu jaillit et je le pris à pleine main. Il était brûlant et terriblement raide. Son baiser se fit de plus en plus baveux et il introduisit deux doigts dans mon vagin. Je le repoussais pour me relever, et finis par tout enlever de nos vêtements.
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