Cléïa Iv
Moi qui adorait les fellations, jamais je naurais pensé quun jour cest moi qui en ferais une.
Mais le pire était à venir, je le découvris le lendemain seulement.
Comme chaque fois, au moindre coup de téléphone de Maîtresse, jaccourais comme un petit chien bien dressé, jétais devenu sa
chose, son objet.
Une fois nu dans son appartement, elle attacha le collier que je portais toujours à présent, au manche en cuir qui lui servait à me
promener. Elle me fit enfiler une grande veste qui cachait ma nudité, et me dit seulement :
- Je tai réservé une surprise.
Quavait elle encore bien inventé pour cette soirée.
Au lieu de nous diriger vers sa voiture au sous sol, elle partit directement vers la sortie, toujours sans un mot. Nous nous rendions
certainement chez une autre de ses amies, qui nhabitait pas très loin. Heureusement quil faisait nuit, quoique les quelques
personnes que nous avions rencontrées, ont bien du se demander à quoi servait le manche tendu à travers ma veste, vers mon
intimité.
Arrivés sur place, Maîtresse embrassa tendrement son amie, à laquelle elle ne daigna même pas me présenter.
- Alors voilà ton petit chéri, il a lair bien fait.
Maîtresse se tourna vers moi, menleva le collier, et me montra le lit qui trônait au milieu de la pièce dans laquelle nous nous
tenions. Elle neu pas besoin de dire un seul mot je pris immédiatement la position quelle attendait de moi : bien droit sur mes
genoux, les mains derrière la tête, et surtout les cuisses écartées. Son amie sapprocha alors de moi, et commença à me palper
délicatement les bourses, mon sexe commença naturellement à prendre du volume. Ensuite, elle me masturba distraitement tout
en continuant de deviser avec Maîtresse. Semblant de nouveau sintéresser à moi, elle interrogea Maîtresse :
- Il est aussi bien fait de partout ?
Le seul fait de me dire « Raoul.
Sans perdre une seule seconde, je me mis alors à 4 pattes les fesses tournées vers elles, comme Maîtresse aimait que je me
présente aussi. Les 2 femmes restèrent un moment à me regarder dans cette position.
Cette exposition ne parut par satisfaire pleinement lamie, car elle appuya fortement sur mes reins, afin de me faire prendre appui
sur mes coudes, et faire ressortir ma croupe. Puis elle me força à écarter davantage les cuisses.
Je sentis ensuite les mains de Maîtresse se positionner sur mes fesses. Elle prit alors bien son temps pour me les écarter
longuement, comme jamais elle ne lavait fait auparavant. Jétais rouge de honte devant Maîtresse et cette inconnue, qui me
regardait avec concupiscence.
Lamie reprit ses caresses, je sentis alors un doigt inquisiteur courir autour de mes bourses, et remonter ensuite vers mon petit
trou. Ce petit manège dura plusieurs minutes, et à chaque fois son doigt appuyait plus fortement sur mon intimité.
Maîtresse proposa alors :
- Si tu lui montrais la surprise que tu lui as réservée ?
- Il a juste à tourner la tête, et il la découvrira tout seul.
Je mempressai alors de regarder alentour, quelle pouvait bien être cette surprise. Je découvris avec embarras, trois vibromasseurs
posés sur un plateau, à même pas un mètre de moi.
Non, pensai-je, elles ne vont tout de même pas menfiler ça. Daprès leurs ricanements, je compris avec stupéfaction que javais vu
juste.
Ils étaient tous trois semblables en forme et en couleur, seules leurs tailles les différenciaient. Lamie sempara alors du premier, le
plus petit, dun diamètre environ de celui dun rouge à lèvre mais bien plus long, en déclarant.
- Celui là ne devrait pas poser de problème.
Après avoir entendu le ronronnement caractéristique, je perçu les fines vibrations sur mes bourses.
précédent comme avec son doigt, mais avec le petit vibro à présent.
Maîtresse, quant à elle, me tenait toujours les fesses écartées. Ce ne fut seulement après plusieurs minutes, et que lamie eut
déclaré : « Tu vois je te lavais dit. », que je compris que lengin avait pénétré malgré moi dans mon intimité.
Les premiers doigts entrés auparavant avaient déjà fait le chemin. A présent, je sentais un peu plus nettement les va et vient entre
mes fesses. Leur petit jeu dura encore quelques secondes avant que je ne voie lamie réapparaître devant moi.
- Maintenant tu vas goûter au deuxième, mannonça telle, il est un peu plus gros. Aussi, je te conseille de bien le lubrifier, si tu ne
veux pas trop le sentir.
Disant cela, elle approcha lengin de ma bouche, en me conseillant de commencer par bien le lécher tout autour. Lorsquelle leut
tourné et retourné dans tous les sens, et que ma langue leut bien humecté, elle me lenfonça dans la bouche. Elle fit de
nombreux va et vient en lenfonçant chaque fois un peu plus.
- Ca devrait suffire comme cela. Dit elle.
Puis elle rejoignit Maîtresse. Le petit jeu des attouchements reprit comme avant, le premier vibro quitta sa place. Cette fois, les
pressions autour de ma rondelle durèrent un peu plus longtemps, toujours en tournant au bord, puis en senfonçant à chaque fois
de plus belle. Maîtresse me tenait à nouveau les fesses bien disjointes.
Il fallait bien que cela arrive, le gadget sinsinua finalement au plus profond de mon intérieur intime. Contrairement à ce que je
redoutais, la douleur ne fut pas si forte que je ne laurais pensé. Lamie lui fit prendre le va et vient habituel pendant quelques
minutes, puis passa la main à Maîtresse, en expliquant :
- Tu vas voir que cela va lui plaire. Japporte le dernier.
« Me plaire » il fallait le dire vite, en fait, je subissais plus je navais le choix.
supportable.
Une fois le dernier modèle en main, lamie le présenta devant moi sans rien me dire. Javais bien retenu la leçon, je léchai et suçai
lolisbos comme si cétait un geste naturel pour moi. Puis jugeant que javais bien fait mon travail, elle repartit derrière moi lobjet
en main.
Cette fois, plus de préparation, elle retira le dernier en place, et menficha directement celui là sans préambule. La douleur se fit
sentir plus intensément cette fois. Instinctivement, je serrai les fesses, une claque sonore me ramena à la réalité de mon supplice,
et fit accessoirement rougir ma croupe.
Rapidement les mouvements daller et retour se firent à nouveau sentir, cependant que je sentis une main me caresser le sexe.
Au fur et à mesure des mouvements, tant sur mon sexe que ceux du vibro, je perçus lexcitation me gagner. Les filles sen
aperçurent rapidement.
- Tu vois, Cléïa, je te lavais bien dit, quil aimerait ça. Annonça lamie.
- On va lui faire goûter maintenant un produit plus naturel. Ajouta telle.
Quavaient elles encore imaginé ? Je neus pas le temps de réfléchir à la question que jentendis lamie crier: « Jack ! »
Linstant daprès, un jeune homme entra nu dans la pièce, présentant un début dérection. Sans que lune des filles ne lui parle, il
exhiba son sexe à quelques centimètres de mon visage.
- Tu vas faire comme avec les vibromasseurs, bien le lubrifier. Intima Cléïa.
Puis elle prit le sexe du garçon en main, et lapprocha de ma bouche en disant :
- Ta langue.
Pendant ce temps, et pour ne pas me laisser dautre choix, son amie appliqua une méthode qui faisait recette à chaque fois :
prendre mes « affaires » en main, et commencer à les serrer progressivement. Elle ne cessa pas pour autant les allées et venues
du dernier vibro dans mon fondement.
Comme je lavais fait auparavant, je mappliquai à passer ma langue partout, pour ne pas décevoir Maîtresse. Le sexe de Jack
grossissait à vue dil, semblant ne jamais vouloir sarrêter denfler. Maîtresse me fit comprendre à présent quil fallait que je le
prenne en bouche, et que je continue ma lubrification.
Heureusement, la taille de lengin qui obstruait ma bouche avait cessé sa croissance. Il était maintenant à peine plus gros que le
vibro qui fouraillait dans mes entrailles.
Maîtresse fit signe à Jack quil pouvait maintenant officier à son tour. Après quil se fut placé derrière moi, lamie retira son vibro. Le
sexe de Jack sempara immédiatement de la place laissée libre, et reprit tranquillement la cadence.
Lamie délaissa mes bourses pour prendre le plus grand soin de ma virilité, quelle entretint savamment par une douce
masturbation. Le contact des bourses de Jack qui venaient régulièrement heurter les miennes, me fit un drôle deffet. Je
commençais à prendre goût à cette caresse particulière. Lamie dut sen rendre compte, car elle accéléra progressivement les
mouvements de son poignet.
Jack se libéra rapidement en minondant lintérieur de sa sève. Les caresses de lamie eurent tôt fait de ma résistance, et à mon
tour je me lâchai sur le lit.
Après mavoir fait lécher ma liqueur, les deux amies applaudirent conjointement au spectacle que je leur avais offert, bien malgré
moi.
- Il faudra recommencer plus souvent, quil prenne lhabitude. Annonça lamie qui, je lappris à ce moment là, se prénommait Claire.
Javais déjà entendu cette phrase la veille, décidément les 3 femmes avaient fermement lintention de soccuper de mon cas.
Cest ainsi quà cause, ou grâce à Cléïa, je perdis un autre pucelage.
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