Rencontre D'Un Naïf En Colo
Nous étions en colonnie de vacances dans les Alpes, en été. Site magnifique au centre des montagnes escarpées, aux couleurs chatoyantes et à la diversité de ses panoramas. Nous ne nous connaisions pas du tout les uns des autres à notre arrivée.
Mais quand on est ado on fait vite connaissance et les attirances se font naturellement
Jérôme, se trouvait souvent à côté de moi : à la cantine, autrour du feu de camp, dans le ballades..; et au dortoir. Blond, il avait une allure de garçon fragile et timide. Il lançait des regards qui portaient des interrogations, peut être parce qu'ils sont bleus et profonds. Ses lèvres bien dessinées laissaient entrevoir des petites dents bien alignées et très blanches. Du coin de l'oeil, je l'observais et je me donnais le droit d'être son protecteur, son grand frère... Quand il venait s'asseoir à côté de moi lors des veillées nocturnes, je sentais sa peau lisse contre la mienne, une peau fine qui n'avait pas souffert des intempéries. Se rapprochait-il de moi pour mieux être protégé ou avait-il une attirance plus charnelle et qu'il me draguait. Nonchalament, sa main venait se poser sur ma cuisse, mais ne restait pas. Ces gestes se renouvellaient comme ça de temps en temps... A chaque fois, j'avoue que ça m'excitait, mais je me calmais rapidement dès qu'il partait.
Au troisième jour, nous décidâmes de faire du bronzing. Les moniteurs furent d'accord, à condition que nous nous barbouillons bien de crème solaire. Après la distribution de tube d'onguent, je me mis en maillot de bain et je m'en enduisis sur tout le corps et les membres.
Jérôme, qui me regardait de loin, s'approcha et me suggéra de m'en passer dans le dos et à l'arrière des cuisses. J'accètai, et avec une infinie douceur me caressa, le dos, passa derrière l'élastique de mon maillot jusqu'à la naissance des fesses, puis passa en massant sur l'arrière des cuisses, frôlant légèrement mes testicules emprisonnées. ensuite, il me demanda de lui en passer.
Les coups de soleil, malgré la crème, avaient bien rougit notre peau, et je sentis au premier contact avec les vêtements les douleurs épouvantables du dos cuit. Après la douche, avant d'aller se coucher, Jérôme me proposa de me passer une pomade calmante sur les rougeurs. Ayant vraiment mal, j'acceptai et malgré la douleur, le massage de mon camarade m'excita, mais il ne put s'en apercevoir puisque j'étais sur le dos. Je le remerciais, lui n'avait rien...
Pour soulager mon dos qui me faisiat souffrir, je me mis sur le côté du lit. La nuit je portais un caleçon léger fendu devant. Dans la nuit, j'eus l'impression que mon sexe était mouillé. J'ouvris les yeux et je vis Jérôme accroupi sur le parquet qui avait pris mon sexe dans la bouche et me suçait lentement. Personne dans notre dortoir de quatre ne pouvait le voir.. Dans la pénombre je pouvais voir sa tête qui dandinolait en faisant rouler sous sa langue mon gland tendu. Je n'ai fait aucun signe de recul ni de protestation. Le plaisir de la succion était magique, ses lèvres épousaient magnifique ment la forme de ma tige, qu'il aspirait légèrement. Pour l'encourager à continuer, je posais ma main sur sa chevelure. A ce moment là, ses mouvements de bouche se firent de plus en plus longs, et il gobait maintenant tout mon sexe dans sa longueur.
Le petit naîf savait bien sucer et je compris qu'il n'était pas aussi candide qu'il en avait l'air.
J'étais bien réveillé, pourtant, il était deux heures du matin. Je soutenais le regard de Jérôme et essayais de dormir un peu. Mais mon esprit était tout à fait réveillé et mon excitation reprit, quand je vis à l'ouverture de mes paupières, le regard de Jérôme.
Mon sexe s'étant ramolli après la succion de jérôme, reprit vigueur, au point de me faire mal.
A mon tour, j'imitais mon camarade et lentement me glissais sur le sol pour me retrouver le visage à la moitié du corps de Jérôme. Avec des gestes précis, il dégagea le drap qui le recouvrait, laissant apparaître son sexe long et fin, décalotté. La peau blanche de sa tige était magnifique et son gland pointu et rose pointait vers moi comme un défi. >Il s'approcha au maximum du bord du lit, amenant lui même le bout de sa tige sur mes lèvres entrouvertes. Quelle était belle cette tige blanche. Je lui lançais quelques petits coups de langue pour lécher la petite goutte qui perlait au méat, puis avec un petite aspiration je gobais tous son sexe dans ma bouche. Mes lèvres exploitaient tout son contour et je sentais toutes les petites veines de cette tige divine. J'entendis sa respiration qui se faisait régulière et qui battait à la mesure de ma succion. Son bassin ondulait et sa queue naviguait bien dans ma bouche pleine de salive et d'excitation.
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