Voila Comment Je Suis Devenue Travestie

Voilà comment, je suis devenue travestie.



Depuis tout petit, j’ai une chance c’est d’avoir une (demi)sœur Audrey qui à 6 mois de plus que moi.
Avec elle nous avons été très complice pour tout même chose qui n’est pas possible dans d’autres familles nous pouvions nous parler de sexe à 14 ans tous les 2 sans tabous.
Faut dire que nous passions nos journées soit a l’école ou chez nous tous seuls, notre père était chauffeur routier et notre mère VRP pour une grande marque de médicaments. Notre père partait le lundi matin et rentrait le samedi matin et notre mère partait souvent à 7 heures du matin et ne rentrait jamais avant 21 heures et souvent plus tard.
Cela à commencé vers 16 ans, nous parlions de sexe sans tabous et nous connaissions le corps de l’autre, un soir nous regardions tous les deux un reportage sur la transformation d’hommes en femmes et la question de ma sœur a été et toi t’aimerais ? Je fus surpris par cette question et ma réponse avait été il faut essayer et nous avons beaucoup rie.
Le lendemain à la maison nous avons parlée de cette émission, et de nouveau, elle m’a posée de nouveau la question et pour toi qu’en penses-tu ?
Je lui répondis que cela pouvait être une belle expérience mais que je ne connaissais rien à la vie et la façon de s’habiller pour une femme, elle éclata de rire et que cela elle pouvait me faire voir.
Elle commença à me faire voir ce qu’elle portait, je lui dit écoute nous allons dans ta chambre et tu me fais essayer, elle répondit OK on y va.
Là je commençais à me déshabiller, en gardant juste mon caleçon elle éclatât de rire en me disant que non les filles ne portaient pas ce genre de chose, et je me suis mis tout nu devant ma sœur pas à l’aise, en cachant mon sexe elle éclatât de rire en me disant si t’es gêné je peux en faire autant me mettre toute nue, je lui répondis confus que c’était pas la peine mais que j’aimerais quand même voir son corps qui se transformait en femme, mais pas aujourd’hui, elle dit oui.


De son armoire elle sortit un joli soutien-gorge blanc, elle me l’agrafa et régla les bretelles, et dit pas mal, ensuite elle me tendit une petite culotte bleu, dès que je la passa je la fis monter pour cacher mon sexe qui commençait à gonfler, j’étais gênée devant elle, elle rigolait et me dit que cela était normal devant une fille ma réaction mais que cela lui plaisait et que pour elle c’était un honneur de voir cela.
Ensuite, elle me tendit une mini jupe en coton noire, elle était un peu petite et elle me tendit une blouse blanche qui était pour moi trop petite, elle dit pas grave viens avec moi, nous nous sommes dirigée vers la chambre de nos parents elle ouvrit l’armoire de notre mère quelle ne fut la surprise de voir toute cette lingerie de toutes les couleurs et de toutes les formes, je reconnais qu’à l’époque j’étais très naïve sur les sous vêtements ! Là elle me tendit un chemisier qui pour moi était un peu trop grand mais avec une ceinture il me moulait le corps ça allait, elle eut un petit rire en me voyant elle dit il manque quelque chose, elle chercha au fond de l’armoire et me donna des collants, elle choisit une jupe courte de notre mère qui m’allait très bien.
J’éclatais de rire, puis nous nous rendîmes dans la salle de bain, ou elle me maquilla un peu et avant de me regarder dans une glace, elle me dit, il manque autres choses, elle me tendit des culottes en disant qu’il me manquait de la poitrine.
Quand je me vis dans la glace, je ne me reconnaissait pas, je lui dis c’est pas possible, c’est pas moi.
Elle me fit marcher vers le salon, le frottement de sa culotte et des collants sur mon sexe ne faisait que me donner un plaisir immense, j’avais une belle érection qui se voyait à travers la jupe qui me moulait les fesses, elle me dit cela pas bon il ne faut pas penser à cela, nous éclations de rire, je restait habillée comme cela une bonne heure et après nous avons rangée les affaires de notre mère en espérant quelle ne s’en aperçoive pas.

Le lendemain elle m’avoua quelle ne pensait pas que je le fasse et en plus elle me dit que c’était la première fois quelle voyait un garçon tout nu, j’étais rouge de honte, je lui répondit quelle ne manquait rien et ma vengeance serait terrible.
Quelques jours plus tard, un mercredi, elle me dit que notre mère avait laissée un peu d’argent pour aller faire des courses, et avec l’argent qu’il resterait, elle pouvait s’acheter un vêtement, et si je le voulais bien je pourrais aller avec elle choisir avec elle.
C’et après là j’étais aux anges, elle essayait plein de fringues, des dessous sexis aussi beau les uns que les autres moi aussi j’essayais elle portait un petit jugement critique sur mon choix mais du moment que je portais j’étais heureux.
Le soir rentré chez nous je lui demandais si elle avait déjà porté des sous vêtements comme ce qui était à notre mère, elle me dit que non et une fois elle en avait parlée avec notre mère et elle lui avait expliquée qu’il fallait quelle ai la poitrine formée.
Je lui demandais si notre mère lui avait fait essayer une fois et elle me répondit que oui et qu’elle trouvait cela joli. Depuis ce jour, je me travestissais presque tous les jours, j’étais attirée par les vêtements et sous vêtements féminin, je me rendais compte que j’étais attirée par les garçons, et que dans ma tête beaucoup de choses se mélangeaient, j’en soufrais et ma sœur à été pour moi une personne qui m’a beaucoup soutenue, un jour elle me dit qu’il me fallait faire la connaissance d’un homme pour avoir une première expérience et qu’après dans ma tête cela irait mieux.

Plus d’un an s’est écoulé et, nous avons changé de voisin à l’étage de notre immeuble un homme tout seul, âgé de 34 ans qui s’appelait Frédéric, je ne me doutais pas alors que cet homme allait changer ma vie. Nous le rencontrions souvent dans l’ascenseur, il était gentil, mais nous nous sommes aperçu qu’il portait des vêtements de femme. Un jour, nous lui avons demandé de passer nous voir pour discuter ensemble et nous lui avons demandé pourquoi il portait ce genre de vêtements, au début il à été très gêné d’entendre ce genre de question, mais ma sœur lui à répondue presque de suite que j’étais très attiré moi aussi par ce genre de vêtements, il me fixa dans les yeux et il nous avoua que pour lui c’était un plaisir de sentir cette soie sur son corps.
Dans son regard, nous avons vue de la tristesse et de la gène, nous compriment pourquoi plus tard, il avait peur de mon age. Il me questionnât beaucoup sur ce que je portais, j’aimais, je lui dis que ma sœur m’aidait beaucoup, il la regarda un moment et me dit : < T’as de la chance d’avoir une sœur comme tu as, qui comprenne ta différence, car dans la vie c’est dur d’assumer sa différence>
Il me demanda si j’avais eu des relations avec un homme, je lui répondis que non et que depuis un moment nous recherchions une rencontre. Nous savions que la question était un peu osée mais dans son regard, brillait l’envie de me faire plaisir, je lui répondis que j’avais peur pour une première fois et que si cela se passait avec lui, je désirais auprès de moi ma sœur Audrey, il sourit et répondit qu’il n’y avait pas de problème.
Comme c’était le mercredi ou nous avions le plus de temps, nous fixâmes notre rendez-vous chez lui à 10 heures du matin, très pratique, car c’était sur le même pallier.
Dès 9 heures, les préparatifs ont commencés, nous sommes allé dans la chambre des parents, ma sœur à commencée à me choisir une guêpière et un string rouge, j’étais déjà excitée elle eu un petit sourire et me dit calme toi me fabriqua une fausse poitrine avec des chaussettes en boules, et, elle me tendit une paire de bas que je passais et qu’elle me fixa sur la jarretelle vue la maladresse que j’avais.
Après il nous vint une idée, dans la journée nous devions apporter un ensemble de notre mère en satin noir au nettoyage, pourquoi pas essayer et de toute façon elle ne verrait rien. Dès que je mis cela, nous aurions dit qu’il était fait pour moi, la taille allait bien, la jupe m’arrivait à mi cuisse, ensuite nous sommes allée dans la salle de bain et là elle mit un temps qui pour moi était interminable à me maquiller, elle m’interdisait de me regarder dans une glace, j’étais pas content mais bon.
Vers 10 heures, nous allâmes sonner chez notre voisin, j’avais une peur.
Il ouvrit la porte il portait un peignoir, j’étais un peu déçue mais bon, il fit asseoir Audrey dans le canapé et commença à me contempler, il me trouvait très belle, que j’avais du goût pour les vêtements que je portais je répondis avec un sourire que c’était a ma mère et qu’il fallait faire attention.
Il me fit asseoir dans le divan et lui s’est assis aussi et il voyait que j’étais nerveuse et que si je ne voulais pas aller plus loin il n’y avait pas de problème qu’il me comprenait, non non je répondis. Il commença à poser sa main sur mon genou, et à ce moment là je sentis uns chaleur monter en moi et sa main montait vers mon sexe et là il découvrit que je portais des bas, quelle ne fut sa joie. Avec l’autre main, il ouvrit son peignoir il m’apparu en nuisette noire avec un string, je trouvais cela très excitant surtout que son sexe gonflait, il m’incita à le toucher ce que je fis avec plaisir. Je réussis à le libérer, et je le vis se dresse devant moi et à grossir ce qui me provoqua un immense bonheur. Je commençais a le caresser avec ma main quand il me demanda si je voulais bien lui donner un peu plus de plaisir avec ma langue, il vit un peu de peur dans mes yeux et la il prit un préservatif dans la poche du peignoir et me le tendit. Une fois en place, je commençais a lécher son sexe je constata qu’il y prenait du plaisir.
Au bout d’un moment, il me demanda de me lever et de venir face à lui, la il commença par me caresser les jambes et les cuisses, il ôta le bouton de ma robe et fit descendre la fermeture, la jupe glissa le long de mes jambes, il eu un petit râle qui sortit e sa gorge j’entendis c’est beau ça, il glissa ses main le long de mon ventre sous la veste en direction de ma poitrine, il ouvrit la veste et me la retira, j’apparu devant lui presque nue, il me quitta le string et commença à me caresser le sexe qui se dressa aussitôt, il y déposa un préservatif et puis me suça, je peux vous dire que j’étais aux anges. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir quel bonheur. Après une petite toilette de mon sexe, il me fit mettre à genoux sur le tapis devant le divan, je décidais de me placer en face de ma sœur, la tête sur ses genoux, il passa derrière moi et commença par me caresser les fesses et il commença à jouer avec son doigt avec mon petit trou, cela me procurait du plaisir dans tout le corps comme si de l’électricité me traversait, je sentis qu’il me préparait avec une sorte de gel, et la il m’avertit qu’il allait me pénétrer, j’avais les yeux fermés, je les ouvris pour voir ce que faisait Audrey, je constata qu’elle avait défait le bouton de son panta-court et que sa main caressait son sexe, je lui pris la main pour profiter de son odeur intime au moment de la pénétration. Je sentis son sexe entrer en moi, il commença par faire des aller retour doucement, j’avais l’impression d’être sur un nuage, de temps en temps il accélérait la cadence, c’était merveilleux, à un moment, Audrey saisit ma tête et la dirigea vers son entre cuisse, je voyais juste devant mon nez sa culotte je la sentis et je vis une auréole se former, je plongeais mon nez dedans et une odeur suave et enivrante se dégagea, je compris quelle venait de jouir, cette odeur plus le plaisir que me donnait mon partenaire qui en plus me masturbait, je n’étais plus moi-même et je sombrais comme dans un comas.
Quand je repris mes esprits, j’étais couchée sur le tapis, Frédéric aussi, fatigué éreinté par tout ce plaisir, nous avons ramassé les affaires et nous sommes partie chez nous, remettre les affaires de notre mère en place, j’ai prie une bonne douche et faire disparaître tout mon maquillage et je suis allée me coucher, il était 12heures 30 j’étais fatiguée.
Vers 14 heures ma sœur est venue me réveiller, j’avais une petite douleur à mon anus mais nous étions heureux ? Audrey m’avoua qu’elle était un peu jalouse du plaisir que Frédéric m’avait donné, que c’était un homme formidable pas un mot grossier, pas de vulgarité, pas de violence dans ses mouvements une voie calme qui donne confiance, je lui répondis qu’elle aussi avait eu beaucoup de plaisir et que cela m’avait permis de prendre d’avantage de plaisir par son parfum intime.

Depuis cette rencontre avec Frédéric, nous sommes devenu amant, nous vivons ensemble, il m’a beaucoup aidée car je suis hormonée, ça a été un très mauvais moment pour la transformation de mon corps.
Quand j’ai annoncée à mes parents que je voulais vivre avec un homme, et que j’allais prendre des hormones, mon père a fait scandale et j’ai due quitter la maison, ma mère je ne l’ai pas vue pendant 2 ans et un jour elle à pris contact avec moi et la relation est un peu meilleure, j’ai la chance quelle cherche a me comprendre, nous allons toutes les deux faire les magasins.
Avec Audrey, nous avons gardée de très bonnes relations, je peux dire avec du recul que c’est elle qui à vue que quelque chose n’allait pas chez moi, je suis très heureuse, il m’est arrivée de faire des choses avec elle que vous ne croiriez pas, il m’arrive souvent de sortir le soir avec elle en boîte, car Frédéric me laisse beaucoup de libertés de rencontrer d’autres hommes. Mais pour moi c’est plus qu’une sœur, plus qu’une amie et même presque plus dans l’intimité (je ne l’ai jamais vue nue)
Si j’ai un conseil à donner soyez gentil en famille.



Stéphanie.

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