Je L'Ai Payé En Liquide

Je m’appelle Lucie et je vis dans le nord de la France. Les transports en commun, je ne suis pas fan, et avoir une voiture, c’est l’enfer : entre le manque de place de stationnement, les PV, la fourrière, c’est une vrai pompe à fric. Alors je me déplace souvent en taxi. Ca revient moins cher !
Le mois dernier, je devais me rendre chez un mec que j’avais rencontré sur internet. Ce type-là, j’avais bien l’intention de me le faire. Je portais un top très moulant, une jupe longue et entravée, des bas, des porte-jarretelles et un mini-string. Par-dessus, j’avais enfilé un long manteau noir très classe et une jolie paire d’escarpins à hauts talons. Je m’étais épilé le minou. Le chauffeur de taxi m’a limite déshabillée du regard…C’est vrai que mon manteau ne cachait pas grand-chose si je ne le serrais pas contre moi.
Je venais juste d’échanger des textos très chauds avec le type chez qui je devais allais, et le regard du chauffeur en a rajouté. Pendant tout le trajet, il m’a balancé des œillades lubriques dans son rétroviseur. Moi, je continuais à envoyer et recevoir des textos très hot…J’étais de plus en plus excitée.
J’étais presque arrivée à mon rendez-vous. J’ai farfouillé dans mon sac et là, la grosse galère : j’avais oublié mon portefeuille chez moi. Je n’avais même pas ma carte de retrait ! J’ai expliqué ça au chauffeur. Il m’a regardée d’un drôle d’air. J’ai tout de suite compris ce que ses yeux suggéraient. En temps normal, j’aurais été outrée, mais là, je ne sais pas, je n’étais plus moi-même. En rougissant et sans oser le regarder, je lui ai demandé si on ne pourrait pas trouver un « petit arrangement ». Mon cœur s’est accéléré, et ma chatte a mouillé encore plus…
Il a eu l’air de réfléchir. Je me disais intérieurement que j’étais vraiment une grande malade quand il s’est retourné et qu’il ma glissé tout doucement : « Il vaut mieux ne pas rester là…Faudrait pas se faire choper ! » Et il m’a souri. Il a démarré, et il s’est arrêté quelques minutes plus tard dans une rue déserte et très mal éclairée.

Il m’a proposé de passer devant. Il a posé la main sur ma cuisse et il a tenté de la remonter sous ma jupe serrée. J’ai eu un frisson. Pour l’aider, j’ai dézippé la fermeture latérale. Il a penché sa tête vers mon oreille, et il m’a demandé ce que je pouvais lui faire pour trente euros. Il me traitait carrément comme une pute ! Au lieu de me choquer, ça m’a excitée à mort…J’ai pensé à cet homme, avec qui j’avais rendez-vous, et qui devait se branler en m’attendant. Ca en a ajouté une couche. J’étais bouillante, prête à tout pour du sexe, vite !
Sans prononcer un seul mot, je me suis penchée en avant et j’ai défait la braguette du chauffeur de taxi. Il bandait déjà. Je n’étais pas moi-même. J’avais souvent eu ce fantasme, d’être payée pour baiser. Ca me fait tout drôle de vivre quelque chose d’approchant…J’ai refermé ma bouche sur son gland et je l’ai sucé. Il avait une bite épaisse et gonflée. J’ai fait coulisser mes lèvres sur toute la longueur de son sexe. Il soupirait fort en me maintenant la tête. Il me traitait de salope, et ça m’échauffait gravement.
Au fond de mon sac, mon portable n’arrêtait pas de bipper. J’imaginais les messages que j’étais en train de recevoir et ça me rendait folle. J’ai sucé le chauffeur de taxi à fond. Son sexe entrait entièrement dans ma bouche. Il m’ordonnait d’aller plus vite et donnait des coups de bassin. J’ai fermé les yeux et sucé de plus belle. J’ai senti qu’il allait jouir, je l’ai retiré de ma bouche. J’avais envie de le sentir en moi, je n’en pouvais plus.
J’ai fouillé dans mon sac pour sortir des capotes. J’ai vu que j’avais six nouveau message sur mon portable. Ca m’a collé un frisson dans l’échine. J’ai placé le préservatif, je me suis assise sur la queue du chauffeur et j’ai senti son sexe dur et chaud me pénétrer. J’ai contracté mon vagin et j’ai bougé de bas en haut, en m’appuyant sur le dossier de son siège. J’étais tellement excitée qu’il n’a pas fallu très longtemps pour que le plaisir monte. Je me suis empalée plus fort, j’ai serré les cuisses au maximum et une violente onde de jouissance m’a envahi le corps. J’ai crié de plaisir. Mon ventre était secoué de spasmes. Le chauffeur a poussé un râle. Pour lui aussi c’était parti. Je me suis retirée. J’ai ôté la capote et je suis sortie un instant pour la jeter dans une poubelle. Je suis retourné a la voiture, et j’ai remercié le chauffeur de sa compréhension.
J’ai enfin fini par rejoindre le type avec qui j’avais rendez-vous. La nuit a été à la hauteur de tous mes fantasmes. Cet homme s’est révélé être une vraie bête de sexe, et nous nous sommes revus très souvent depuis ce jour.