Gisèle 3
G Dans l'attente qui suivit nous ne dîmes mots ni l'un ni l'autre. Nous savions parfaitement ce qui allait suivre. Pas en détail, ment, mais en gros. J'allais y passer, y passer, y passer... Aux aguets, j'entendis un voiture dans la rue. Dix huit heures
pile
elle s'arrêta. Mon ventre se crispa. Des portières claquèrent. Mes seins durcirent. La sonnette retentit. Je tremblais. Philippe m'envoya ouvrir
plus morte que vive je me levais. Une dernière inspiration
j'ouvris. Ils étaient là ! Ils me reluquèrent avec envie :
"Ah voilà ! Tu ressembles à quelque chose comme ça ma Poule ! C'est bien !... on vas te récompenser !". Des rires gras suivirent. Ils me suivirent au salon les yeux ancrés à mes fesses. Deux d'entre eux ne saluèrent que très vaguement Philippe en lui donnant des cartons de pizzas. L'un d'eux fit un peu mieux en lui donnant le numérique et un CD Rom non sans se priver de dire inutilement :
"Le CD c'est pour ta collec et tâche de faire mieux que l'autre jour !"
Le dernier, Fabrice fut plus affable, enfin pour la salutation car immédiatement :
"Elle est chouette ta gonzesse comme ça hein ? Elle doit te faire envie ? Pas de pot c'est nous qui allons nous la faire ! Tu vas voir
et puisqu'on parle de pot, tu vas voir ce qui va arriver au sien
.".
Cette fois c'est moi qui dus leur servir à boire. Tout cela pour me faire évoluer devant leurs yeux concupiscents. D'un mouvement brusque l'un d'eux se leva et se dirigea vers la chaîne stéréo et y introduisit un CD. Il se rassit en m'ordonnant :
"Allez danses !"
Imbibée de confusion, je me mis à danser. Le mot est fort
disons que je me mis à me dandiner gauchement. Le but n'était que de considérer le balancement de mes seins. Ce ne fut pas suffisant j'entendis :
"Mieux que ça !"
Cette fois je me mis à me déhancher plus franchement. Le balancement sui s'en suivit fut plus prononcé et mieux à leur goût. Je dus ensuite leur faire face, jambes écartée et selon leurs prescriptions me "caresser les nibards, pincer le bout des lolos, pétrir mes roberts enfin lécher moi-même les roploplos", dernière chose que je n'avais jamais faite, mais ma poitrine le permettait
.
P Devant ce spectacle torride, ils commencèrent à se déshabiller. L'un d'eux me demanda :
"Elle à un god, ta femme ?"
A ma réponse négative, il fut établi qu'il en ferait réserver un pour nous dans un sex-shop de leur connaissance. Et que comme Gisèle ayant répondu qu'elle n'était jamais rentrée dans une telle boutique. Je dus promettre de l'y emmener. Elle y serait, parait-il, dans son élément.
G "Bon puisque t'as de god
on va passe à autre chose !"
L'un d'eux me fit poser un pied au sol. Toujours sur les coudes, effectivement mon entrejambe était obligatoirement bien accessible. Il lança :
"Prépare ta boite à ouvrage Mémère, c'est parti !"
Mémère était exagéré
je m'en moquais, il allait me baiser et c'est ce qui comptait.
"Mmmmmm
c'est meilleur que l'autre fois
. ma parole
tu 'es entraînée"
Entraînée
sur qui, sur quoi ? Non simplement j'avais envie de sucer. Ils me baisèrent super bien, l'un la chatte, crispé sur mes hanches, l'autre la bouche et la gorge accroché à mes cheveux. J'eus mon plaisir, soudain mais court, déjà désireuse des suivants. Eux aussi jouirent assez vite et je me délectais de ma première rasade de foutre, là aussi en attendant les suivantes. Je fus relevée et encore agenouillée. Cette fois sur le canapé les seins écrasés contre le dossier. Je vis Philippe toujours le numérique en batterie. Un jeune fit le tour et se plaça face à moi. Je me senti obligée de me saisir de cette belle queue et de l'emboucher. Le dernier s'était posté derrière moi et ce furent ses doigts qui entrèrent en action pour achever ce que j'avais partiellement débuté tout à l'heure : l'élargissement de mon anus. Il me fallut me cambrer et comme tout à l'heure ouvrir mes fesses à pleines mains pour "mieux offrir mon cul de salope". Je ne savais plus comment faire, sur qui me concentrer. Entre celui qui me faisait hoqueter à force me contraindre à absorber son gros bout et l'autre qui poussait, poussait pour défriper le conduit anal
je ne savais plus je me laissais faire. Pour rendre ma pipe plus efficace, il me fallut lâcher mes fesses et reprendre la pine en main. Enfin d'une main
l'autre
ils me forcèrent à me faire la conversation toute seule en me cajolant le clito. Comme je l'ai dit plus haut, question sodomie, je n'arrivais pas encore à atteindre le plaisir à chaque fois.
P Les choses ne traînèrent pas sitôt qu'elle fut libre, Gisèle fut "conviée" à se diriger vers la chambre. Ils lui commandèrent de monter devant eux en tenant encore ses fesses ouvertes à deux mains. Ils ironisèrent sur l'opération "porte ouverte" ou "cul ouvert". Dès leur arrivée dans la chambre ce fut Fabrice qui géra les choses. Le premier qui avait jouit dans la bouche de ma femme s'allongea sur le dos. Gisèle fut invitée à le chevaucher. Elle s'introduisit elle-même le chose et commença, sans qu'on l'en prie, la cavalcade. A ce moment là j'eus un avantage sur elle. Je vis ce qui allait se passer et raffermit ma prise sur l'appareil
ne pas louper ces clichés là ! Celui qui l'avait baisée et celui qui l'avait enculée passèrent devant elle et se postèrent comme pour mieux observer le couple. Ce Gisèle n'avait pas remarqué, c'était Fabrice qui se manualisait un peu l'il rivé sur la croupe de mon épouse chérie.
G Quand le type que je chevauchais me prit par les fesses, je ne compris pas tout de suite. C'est en sentant Fabrice contre mon dos que je réalisais. Les photos
bien sûr
celles des actrices, mais aussi celles des femmes sur leurs fameuses galeries
je les avais vues
sans penser que moi aussi
j'allais y avoir droit
et tout de suite ! J'émis une sorte de plainte inutile à laquelle des lazzis firent écho. En sandwich
ils allaient me prendre en sandwich
. La prise du premier s'affirma sur mes fesses. J'étais emmanchée à fonds sur lui. La queue du deuxième pointa contre ma corolle. Il se mit à pousser. Il faut bien le reconnaître. Le premier occupait un certain volume et l'introduction du deuxième ne se fit pas toute seule. Par la pensée, je remerciais mon enculeurs de tout à l'heure. Sans lui, il y aurait eu problème. Surtout que Fabrice poussait, poussait, poussait avec la ferme intention de "mener le petit au bout".
"Allez vieille pute ! C'est le moment de le remuer ton gros cul de salope ! Allez bouges le !"
Je me mis à mieux de donner, à lancer des coups de bassin pour venir au devant des pieux qui me fouaillaient. Ma participation fut appréciée :
"Ouais, c'est bon comme ça ma grosse ! Hummm quel cul ! T'aime ça en prendre par là hein ?"
"Oh oui
oui j'aimes ça !
"Décidément t'es vraiment un bon coup
. Hein que t'aime faire ta pute ? Dis à ton mari que t'aimes ça !"
"Ooooh oui j'aime ça
j'aime faire la pute
la salope
. Regardes chéri, ils me baisent et ils m'enculent comme une pute ! Je suis leur pute et j'aime çaaaaaa
j'aime çaaaaaa
c'est booooon !"
Devant tant de disponibilité ils ne se ménagèrent plus, pas plus qu'il ne me ménagèrent, loin s'en faut. Mon bon vouloir les galvanisa. Surtout que les deux autres s'étaient rapprochés et que pour se faire "entretenir le moral" ils plongeaient tout à tour leurs sexes dans ma bouche, me condamnant à ne plus manifester mon bonheur que par des onomatopées inarticulée et étouffées. J'avais tout de suite su que mon plaisir allait être intense. Les bouches, les sexes et les mains de mes jeunes amants s'employaient à me l'offrir. Des ondes, des vagues parcouraient tout mon être. Jusqu'à ce que tout à coup une fut plus forte
LA vague
. Elle m'emporta
je criais, sans pudeur, mais sans scrupule
. Trempée de sueur, mes cheveux collés par celle-ci, ma chatte dégoulinante de cyprine, mon orgasme fut fulgurant. Ils firent preuve d'un peu de patience avant de se remettre au travail, puis la sarabande reprit. Je contractais mes muscles intimes pour leur donner de la satisfaction, mais j'avais quand même du mal à suivre le rythme
les rythmes. Fabrice lâcha le premier
enfin lâcha son foutre dans mon boyau culier et me le libéra avec douceur. Un remplaçant était déjà là. Dès qu'il avait vu Fabrice se démener et entendu annoncer en langage trivial son éjaculation, il s'était placé de façon à prendre la suite immédiatement, sans me laisser ni temps mort, ni répit. Pour la troisième fois de la soirée je pris un pine dans le cul. Ce fut au tour de celui que je chevauchais de larguer les amarres et sa semence. En rampant sur le dos, il se dégagea. Ce que voyant, celui était fiché dans mon rectum me ceintura, me fit tomber à plat ventre et d'un coup de rein brusque, se retourna me faisant passer par-dessus lui. Le dernier n'eut plus qu'à se souder à mon ventre et me remplir le vagin de son manche. J'aimais un peu moins cette position
et pour cause, allongée de cette façon la queue de mon enculeur m'assaillais moins profondément. Il n'en demeura pas moins que je jouis encore une belle fois.
P Décidément ma femme me surprenait par sa résistance et son appétit. J'avais pourtant l'impression que les types ne lui faisaient aucun cadeau s'acharnant dans ses orifices comme des bêtes. J'avais pris un nombre impressionnant de clichés de tout le début de soirée, des ces doubles pénétrations indignes et odieuses des orgasmes extatiques de Gisèle
qui m'avaient fait m'épancher misérablement dans mon pantalon. Les quatre types ne semblaient pas vouloir s'en aller de si tôt. D'ailleurs je fus prié :
"Toi qui ne fait rien ! Vas faire chauffer les pizzas !"
Gisèle me lança un regard morne et désintéressé. Elle semblait en phase de récupérations dans les bras de ses amants. A mon avis, ils allaient avoir du mal à la faire re-décoller. Je m trompais
.
G Un petit instant après qu'ils eurent envoyé Philippe faire la cuisine, ils me dirent
"Allez amènes-toi
on va bouffer !"
Nous descendîmes tous les cinq. Nous avion quatre chaises dans la cuisine. Ils s'installèrent donc et sans plus faire de cas de mon mari, je fus conviée à prendre place sur leurs genoux, à tour de rôle
. Les pizzas et la bière circulèrent. Ils me forcèrent même à en absorber plus que j'en avais l'habitude arguant "que je serais encore plus chaude". En attendant, jamais je n'avais vécu un tel repas. Ce ne fut que privautés diverses, succion de mes seins, caresses, baisers goulus, pelotages et branlettes, si bien qu'à la fin de la collation mes amants rebandaient et moi
je me sentais de nouveau partante. Avant de passer au salon, l'un deux eut une inspiration. Il fouilla mon bac à légume et en ressorti un poireau d'une belle taille auquel il coupa le bout chevelu. Promptement je fus mise debout et inclinée vers l'avant, la poitrine écrasée sur la table de cuisine. C'est, je suppose, pour parfaire notre humiliation réciproque qu'ils forcèrent Philippe à me masturber avec le légume
d'abord le sexe
puis l'anus. Cette fois aussi ce furent qui prièrent les photos. Quand ils eurent fini de conseiller Philippe sur les prochains primeurs à acheter, concombre, courgettes et se furent bien moqué du "cocu impuissant qui branlait sa pouffiasse avec un légume", ils me commandèrent :
"Avant qu'on recommence à te niquer, vas te refaire une beauté !".
Je filais à toute allure tenter de me redonner figure humaine. Mon beau maquillage et ma coiffure avaient été bien mis à mal par les pines, les langues, la salive, le foutre. Malgré mes yeux singulièrement cernés je parvins à faire quelque chose de présentable
pour ce que j'allais devoir faire de nouveau. A cette pensée, je me mis à ruisseler de nouveau
tout allait recommencer.
P Quand elle revint, sous l'il à la fois ironique et égrillard des quatre types elle eut droit à un :
"Allez à genoux ma pute ! C'est l'heure de la pipe !"
Avec un sourire dont la gourmandise me surprit encore, elle vint se placer au milieu du salon
en ondulant comme une catin. Elle s'y agenouilla face à eux et sortant sa langue de sa bouche dans un mouvement particulièrement inconvenant et lascif elle leur lança :
"Venez mes salauds !".
G Ils se levèrent tout les quatre. Cette petite provocation avait semblé leur plaire. Sûr que j'allais déguster. Je l'avais bien cherché. Je fus entouré des quatre queues et dus les emboucher à tour de rôle. Cette fois ils m'enfoncèrent leurs membres dans la gorge en me tenant par les cheveux. Ils les y maintenaient en riant jusqu'à la nausée ou l'. Je dus aussi "puisque j'aimais ça, bouffer de la bite" le prendre deux par deux dans entre mes lèvres en les distendant et en ouvrant la mâchoire en grand. J'aimais bien cela aussi et lécher deux gland en même temps. Soudain un de ce que je pipais me prit par les cheveux et se retourna. Aidé par un autre, il appliqua ses fesses contre ma figure.
"Lèche sale pute ! Enfonce bien ta langue ! Mieux que ça
voilaaaa
bieeeennn ! Ah oui ! Continue roulure !"
Il me fallut, toujours sous l'oeil de l'objectif introduire ma langue dans leur anus odorant et lécher la raie de leurs fesses. Ils y passèrent tous les quatre
. Lassés de cette activité (un peu discutable) l'un d'eux me proposa "d'en reprendre un coup dans les miches". Il me fit asseoir sur un bras du canapé et me repoussa en arrière. Il tira mon bassin jusqu'à ce que ce fût mes reins qui reposent sur le bord du canapé. Mes fesses elles étaient dans le vide et je maintins mes jambes levées jusqu'à ce qu'elle puisse reposer sur ces épaules. Ce fut un jeu d' (si l'on peut dire) pour lui que de se planter dans mon derrière. Un autre s'agenouilla près de ma tête qui reposait sur les coussins et me fourra sa bite entre les lèvres. L'autre ne se contenta pas de me sodomiser. De temps à autre, il venait séjourner dans ma minette avant de remettre ça. C'était bon
.
P "On change ?"
C'est que j'entendis, puis la réponse affirmative. Il décula dans ce bruit mouillé abject que je me surprenait à attendre. L'autre emmancha farouchement Gisèle par l'arrière. Benoîtement, celui qui venait de séjourner entre ses fesses vint proposer son sexe à sa bouche. Devant sa légère hésitation à absorber cette bite un peu souillée, l'autre lui pinça le nez. Obligé d'ouvrir la bouche pour respirer, celle-ci fut comblée par le gros membre. L'autre lui lâcha vite le nez
Gisèle le suçait avec ferveur
. Encore une fois; je puis constater qu'elle abdiquait toute mesure face à ces amants tyranniques.
G Oui
oui ils avaient deviné
je supposais qu'ils avaient tout deviné
mon abandon
ma docilité
mes envies cachées, refoulée
. Devenir
devenir un jouet sexuel
je crois que c'est cela que je voulais
qu'ils voulaient, eux aussi que je devienne. Ils allaient encore en profiter et que je n'avais pas fini d'en voir. D'en voir, d'en prendre, d'en sucer
même si elle sortaient de mon (ex) petit trou. Les deux hommes prirent un malin plaisir à se relayer entre mes fesses et mes lèvres puisque j'avais abandonné toute fierté. Avant que le premier ne jouisse au dessus de ma bouche ouverte, j'avais, moi aussi eu un bel orgasme anal. Je m'attendais à ce que ma bouche doive encore servir au minimum à l'un des deux qui attendaient patiemment leur tour, mais non. Celui qui me sodomisait se retira et avec l'aide d'un autre me firent glisser tête en bas du canapé. Ils ne furent satisfait que quand je reposais sur les épaules, tête un peu cassée, le dos appuyé sur le canapé et les fesses en l'air
. Mon enculeur m'enjamba et dirigeant sa pine vers le bas repris ses activités sodomites de haut vers le bas cette fois. La position était un peu pénible mais je m'en moquais. De toute façon cela ne dura pas. Il éjacula assez vite et mon cul fut de nouveau copieusement arrosé. Cette fois je n'eus pas de temps mort. Les deux inactifs désiraient à leur tour s'amuser un peu. L'un d'eux s'assit sur un canapé et me demanda de venir m'asseoir sur lui et de m'empaler sur sa virilité. Le pal
cette fois je serais la victime (bien consentante) de ce (en principe) supplice. Il se contenta de maintenir sa queue dressée et c'est moi qui dus faire tout le travail. Je m'écartais les fesses et plaçait le gland contre l'entrée de mon fondement. Vu ce qu'elle avait endurée elle devait âtre assez élargie désormais. Reprenant mes fesses à deux mains, je pliais progressivement les jambes pour la trique s'enfonce toute seule. Ils encouragèrent "la vieille radasse", "la grosse pute" à se la mettre à fond. Elle se la mit à fond
du moins elle le crut
je le crus
. Je pensais l'avoir bien prise en entier, puisque mes cuisses reposaient sur les siennes. Je n'avais pas (encore) l'habitude de la suite
. Il me prit par les seins et, en même temps qu'il me tirait vers l'arrière, il écarta brusquement les cuisses. Ce qui fit que, malgré mes talons hauts, mes pieds ne touchaient plus le sol. J'avais lu certaines confidences ou des femmes témoignaient d'avoir eu l'impression d'être ouverte en deux. Je compris ce que cela voulait dire et ressentais la même chose. Il me demanda de relever mes jambes. La queue s'enfonça encore plus
. Le dernier des quatre qui se masturbait devant moi s'approcha. Ma fente élargie lui était une offrande. Il s'y logea prestement et ainsi je pu à nouveau être la proie de ce fabuleux double pilonnage. Fabuleux est bien le mot car, ils me firent jouir deux fois d'une façon très intense d'abord derrière, puis devant. A leur tour eux aussi évacuèrent. Je fus encore une fois abondamment emplie de foutre. Ils me forcèrent, si l'on peut dire, à les nettoyer avec la bouche
. sous l'il froid de l'objectif je m'y consacrais de mon mieux. Cette fois je crus que c'était fini et que j'avais asséché leurs bourses. Pour d'eux d'entre eux c'était le cas. Mais pas pour les deux autres, qui me firent remonter dans ma chambre. L'anus me brûlant terriblement je les suppliais de l'épargner. Tout en me prévenant "que la prochaine fois il faudrait que j'ai le cul plus solide" ils y consentirent et me prirent par devant avant de me maculer le visage de foutre. Cette fois c'était la fin
de toute façon j'était complètement épuisée. Je n'eus même pas le force de les raccompagner et restait là étendue après qu'ils m'aient roulé chacun une dernière pelle.
P Quand je remontais elle dormait déjà. Je rabattis la couette sur elle et partis me coucher dans la chambre d'amis ou je pue enlever enfin mon pantalon souillé de mes excitations et de mes débordement prématurés. En partant ils m'avaient dit :
"On te rappelle !.... Dis lui qu'elle a été super ! Qu'elle n'oublie pas de regarder le site lundi dans la soirée". Je lui passais le message le lendemain quand elle émergea. Elle eut un dimanche d'enfer souffrant de partout. Je lui demandais si nous ne pourrions pas quand même essayer de trouver de moyens pour faire cesser cet odieux chantage, même si j'avais bien conscience qu'elle y prenait beaucoup de plaisir. Quand elle me dit d'un ton peu convaincu "Il nous tiennent
que veux-tu !", un peu de lucidité me fit comprendre qu'elle se complaisait dans cette relation de soumission, même si nos maîtres chanteurs exagéraient vraiment (et je n'étais pas au bout de mes peines
)
G Le lundi j'allais un peu (un peu) mieux
. En fin d'après midi en tremblotant un peu je connectais mon ordinateur. Cette fois le rectangle noir qui me dissimulait avait disparu, remplacé par deux petits ronds noirs sur les yeux. J'avais vu cela dans d'autres galeries. Malgré mes courbatures ces photos d'une crudité et d'une obscénité incroyable (s'agissant de moi) me firent chaud partout. Effectivement, non seulement, j'avais l'air d'une pute, mais la vision de mes ébats emprunt d'une telle bestialité me fit honte et
envie
encore
.
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