Une Exhibition Qui Mène Loin
Cétait il y a un an.
Avec ma femme, les parties de sexe prenaient de plus en plus dimportance et nous avions envie daller plus loin dans notre expérience de couple. Lexhibition ne faisait pas particulièrement partie de nos fantasmes mutuels, bien que dans certains cas nous prenions le risque de nous faire repérer pendant nos ébats.
Ce dimanche là, le temps plutôt clément nous emmena pour une promenade dans un des grands parc de notre ville. Il faisait même chaud et une tenue légère simposa presque pour ma femme qui passa une des robes que jaime particulièrement, courte sans trop lêtre, une rangée de boutons devant qui vont du haut en bas (faciles à enlever) et une légèreté qui la faisait voleter au moindre souffle de vent.
Il y avait du monde ce jour là. Les familles côtoyaient les couples sans s, les jeunes se mêlaient aux moins jeunes mais nous savions que nous allions croiser bon nombre dhommes seuls, voyeurs ou pas, ce qui ne nous dérangeait pas, et qui sont à laffût de la moindre parcelle de peau féminine.
La terrasse où nous étions assis pour prendre une boisson fraîche était bondée comme un oeuf, et nous avions repéré un homme seul à une dizaine de mètres de nous. Il buvait tranquillement une bière, lair de rien, mais nous avions remarqué que son regard choisissait ses cibles. Les femmes susceptibles de lui dévoiler, volontairement ou pas, un décolleté plongeant, une cuisse découverte, voire un entrecuisses avec ou sans culotte.
Ayant observé son manège pendant une dizaine de minutes, nous sommes tombés daccord sur une stratégie à adopter pour mener à bien un petit jeu qui, nous le pensions, nous mènerait uniquement à faire monter lexcitation qui nous amènerait à une partie de jambes en lair.
Nous nous sommes levés et nous sommes partis pour revenir deux minutes plus tard séparément et nous asseoir chacun à une table différente. Elle, bien en face du voyeur et moi derrière lui légèrement de coté de façon à ne rien rater non plus de lexhibition de ma femme.
Après avoir commandé une boisson, elle commença à attirer le regard de lhomme par des croisements de jambes de plus en plus hauts et fréquents. Lhomme ne se fit pas prier pour fixer son regard sur ses cuisses qui se découvraient de plus en plus. Elle avait aussi déboutonné légèrement le haut de sa robe pour laisser entrevoir la naissance de ses magnifiques seins. Lhomme commençait à bouger de plus en plus. Au bout dun moment, il mit la main dans son sac et en ressorti un appareil photo muni dun téléobjectif impressionnant.
Je pris mon téléphone portable et appelais ma femme.
- vas-y, excites-le bien. Ecarte les jambes encore plus et montre lui discrètement ton entrecuisses. Je veux quil se branle sur ses photos ce soir.
- comme tu veux, mon chéri.
Elle commença alors à ouvrir les cuisses. Dabord timidement puis, la famille située dans le même axe que lhomme étant partie sans même se rendre compte de quoi que ce soit, elle pu continuer tranquillement son manège pour en arriver à avoir les jambes ouvertes à 90 degrés. Cest alors que je pu voir quelle ne portait rien en dessous. Elle adorait me faire ce genre de surprise de temps en temps. Javais la queue qui commençait à se dresser dans le pantalon. Je ne pouvait voir la tête de lhomme doù jétais, alors je lappelais une nouvelle fois.
- génial! Tes super excitante et tu me fais bander très fort. Dis-moi quelle tête il fait.
- il est rouge et narrête pas de prendre des photos. Ça mexcite terriblement de savoir quil me mate la chatte pendant que tu regarde.
Il me vint alors une idée qui allait nous faire passer un moment inoubliable.
- aguiches-le de plus en plus. Je veux quil vienne te rejoindre à ta table.
- tu es sûr? Ça peux aller loin.
- vas jusquoù tu veux. Je suis là au cas où...
Elle commença alors à lui faire de grands sourires tout en continuant ses mouvements de jambes. Elle croisait tellement haut maintenant, quon voyait carrément ses lèvres sûrement déjà humides de plaisir souvrir et se refermer.
Cest elle qui prit l'initiative et décida de se lever. Elle passa à coté de la table de linconnu, fit une légère halte en arrivant à sa hauteur, passa sa main nonchalamment sur son ventre, descendit doucement jusqu'à sa chatte au travers du fin tissu de la robe, et continua son chemin, non sen sêtre retournée avec un franc sourire à lattention de lhomme puis dans ma direction.
Le type prit rapidement son sac et, sans lâcher son appareil, entreprit de suivre ma femme qui faisait balancer son cul en marchant. Les talons hauts quelle portait lui donnait lair de ce quelle était à ce moment : une salope prête à se faire tirer par nimporte quel mâle en rut, et linconnu lavait bien compris.
Je suivais bien sûr le cortège, tout en maintenant une distance qui me permettrait dintervenir en cas de problème. On voyait trop de pervers de nos jours et il valait mieux être prévoyant.
Mais mes craintes savérèrent sans fondement. Ma femme sorti du parc et regagna notre voiture tout en sassurant que le type la suivait toujours. Elle savait que jétais là et mappela au téléphone.
- on fait quoi, maintenant?
- attends-le près de la voiture, on verra bien.
Elle sarrêta et attendit. Lhomme arriva à sa hauteur, sarrêta à son tour et entama la conversation. Doù jétais, je ne pouvais pas entendre, mais je voyais que cela avait lair de tourner tranquillement. Isabelle riait aux propos de linconnu qui apparement la complimentait sur sa tenue et lart quelle avait de sen servir.
Au bout une dizaine de minutes, ma femme qui jetait de plus en plus de regards dans ma direction me fit signe de venir les rejoindre.
Ce que je fis avec empressement, voulant savoir comment les choses tournaient. Mon coeur battait la chamade et ma queue était raide à lidée quun plan cul était en train de pointer son nez.
Lhomme me regarda approcher, lair quand même un peu déçu de nêtre pas seul sur le coup.
- bonjour!
- bonjour! Je suis Gilbert le mari dIsabelle.
- ah! et moi Daniel. Vous avez de la chance davoir une femme aussi belle et aussi peu farouche. Je vous envie même. La mienne ose à peine se déshabiller devant moi. C'est pour ça d'ailleurs que je me permets de suivre des femmes dans la rue et de prendre des photos quand je peux. Mais là, c'est la première fois qu'un truc aussi flagrant m'arrive.
- vous êtes amateur de photos et de belles femmes, ça nous plait. Si ça vous dit et si Isabelle est daccord, on peut continuer dans un endroit un peu plus discret.
Isabelle me jeta un drôle de regard en coin, mi-figue, mi-raisin, lair davoir envie daller plus loin avec néanmoins la crainte de ne pas assumer ce que nous allions faire.
- si madame est daccord, cest sans problème pour moi. J'en serais même plutôt ravi.
Daniel avait lair plutôt gentleman et le sourire candide qui barrait son visage eut pour effet de faire tomber les dernières réticences de ma femme qui me glissa à loreille :
- jespère quon va bien samuser. Je suis excitée comme une puce.
Nous sommes donc montés en voiture tous les trois, les deux hommes devant et Isabelle derrière.
Je connaissait un endroit sympa à la sortie de la ville qui surplombait la région. Jen prenais donc la direction pendant que Daniel regardait les photos quil avait déjà prises à la terrasse tout à lheure.
- votre... enfin, ta femme est vraiment belle et pas farouche du tout. En plus, comme elle prenait la pose, jai des clichés dune parfaite netteté pour une fois.
Dans le rétroviseur, je voyait ma femme sourire à ce que venait de dire Daniel à son sujet.
Elle avait une petite lueur de fierté dans loeil et les dernières barrières tombèrent immédiatement, ce qui eut pour effet de lui faire ouvrir les jambes.
Nous étions presque arrivés et la vue de ma femme, assise sur la banquette arrière, les cuisses écartées et la main qui commençait à caresser sa chatte lisse et douce comme un abricot me fit ralentir pour pouvoir profiter du spectacle.
Après un bref coup doeil dans ma direction, Daniel sentit quil se passait quelque chose. Il se retourna et poussa un cri étouffé à la vue de cette chatte gonflée de désir.
- nom de dieu! Comme cest beau et excitant.
Il prit son appareil et recommença à shooter comme un malade.
Je garais la voiture dans ce qui ressemblait à une clairière au milieu dun bouquet darbustes. De là où nous étions, nous pouvions voir la campagne environnante sans être dérangés. Pour y être venus une paire de fois pour nos ébats, nous savions, elle et moi, que cétait un endroit tranquille.
Je coupais le moteur, descendis et me dirigea vers le coffre où je savais trouver ce quil fallait pour notre confort.
Pendant ce temps, Daniel continuait ses photos, mitraillant ma femme qui se tordait déjà de plaisir devant cet inconnu. Sa main allait et venait entre ses cuisse au rythme de sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée. Elle avait carrément ouvert le haut de sa robe, dévoilant ainsi sa magnifique poitrine nue, et se touchait les seins de son autre main. La voir ainsi, se faire plaisir, indécente, devant un autre homme dont nous ignorions lexistence il y a encore une heure me mettait en ébullition. Bien sûr, nous avions déjà goûté à lamour pluriel, mais toujours avec des amis que nous avions appris à connaître avant de nous lancer, mais là, cétait du brut de décoffrage.
Je méloignais de quelques mètres de la voiture, étalais la couverture sur l'herbe et revins chercher Isabelle et Daniel.
Ce dernier avait sorti sa queue du pantalon et la caressait. Une goutte d'excitation perlait au bout du gland qui grossissait à vue d'oeil.
Isabelle avait les yeux révulsés. Elle était au bord de l'orgasme et je la laissais faire. Le cri quelle poussa ne laissa aucun doute sur la puissance de son plaisir et retomba, presque inconsciente, sur la banquette arrière.
Daniel en profita pour changer la carte de son appareil photo pour, me dit-il, une carte qui pourrait en contenir plus.
Je pris Isabelle par la main et doucement, la fis sortir de la voiture. Elle me donna un baiser fougueux au passage. Son haleine avait cette odeur caractéristique de la femme en quête d'orgasme.
- on commence à peine, hein? Jai envie de ta bite et de celle de lautre. Vous allez me prendre comme une chienne. J'aime mon doigt, mais maintenant il me faut du concret.
- ne tinquiète pas, avec la queue que je me trimbale, tu vas en prendre plein ton cul de petite salope. Et vu comme Daniel te regarde, il ne sera pas en reste, crois-moi.
Celui-ci terminait les manipulations de son appareil (avec du mal, tellement il était excité) On sest allongés, ma femme et moi sur la couverture et avons commencé à nous caresser mutuellement. Les nichons dIsabelle étaient fermes et les pointes, dures et dressées, roulaient sous mes doigts. Elle avait ouvert ma braguette et avait sorti ma pine pour une lente et tendre masturbation. Mes yeux étaient plongés dans les siens et je voyais y poindre une lueur de lubricité qui attisa mon envie. Elle se mit à genou, quitta sa robe qui vola dans lherbe et entreprit de me déshabiller aussi. Ses mains couraient sous mes vêtements et me donnaient des milliers de picotements nerveux. Quand elle eût fini, elle se pencha vers mon sexe et le porta à sa bouche. Ses lèvres étaient chaudes et douces et sa langue humide me léchait le dard de la base au gland. Je devenais fou et lui pris les cheveux pour lui faire accélérer le mouvement. Nous étions seuls au monde lorsque quun crépitement me fit revenir à la réalité.
Nous avions oublié Daniel qui était toujours là, à prendre des photos de nous, tournant autour de nous comme un vrai pro, se rapprochant même parfois pour des gros plans sur la chatte dIsabelle ou sur ma bite qui disparaissait une fois sur deux dans sa bouche.
Il sétait déshabillé sans que nous nous en apercevions et je pouvais voir un énorme sexe, encore à moitié mou, pendre entre ses jambes. Les couilles qui étaient à sa base navaient rien à envier, question taille, au reste de lobjet.
Voyant cela, Isabelle, d'abord impressionnée, tendit une main un peu tremblante vers la bite de Daniel. Celui-ci sapprocha doucement pour permettre à la belle de le saisir et quand ce fût chose faite, il se laissa caresser sans bouger, pour ne pas la brusquer. Vraiment délicat de sa part, nous étions bien tombés.
Isabelle était toujours à genou et nous branlait tous les deux. Après un regard dans ma direction, elle pencha la tête vers l'autre queue qui avait atteint une taille impressionnante et commença à la sucer, dabord doucement, puis accéléra son mouvement. Daniel bandait maintenant très fort, à tel point quIsabelle avait parfois des hauts-le-coeur rapport à la taille de l'engin, ce qui ne lempêchait pas de continuer. Elle me fit signe de me lever et de venir à coté de Daniel. Une fois en place, elle alterna sa fellation, tantôt moi, tantôt Daniel, qui continuait à prendre des photos.
Jétais excité comme jamais et je savais quIsabelle aussi. Jentendais, au bruit de clapotis que faisait sa main entre ses cuisses, que la mouille coulait fort de sa chatte.
Elle quitta alors sa position pour se mettre à quatre pattes. Nous avions compris tout de suite ce quelle voulait. Daniel qui visiblement appréciait sa bouche se mit devant et je me présentais donc derrière elle, la queue tendue à lorée de son vagin. Je la pénétrais lentement mais fermement. Devant moi, je voyait la queue de Daniel aller et venir dans sa bouche et sa main libre peloter ses nichons.
- tes une gagneuse, toi! Tu suce comme une reine et tas un cul denfer qui ne demande quà se faire pilonner. Tout à lheure tu vas prendre ma pine dans le fion.
Il parlait à ma femme comme à une pute et, à ma grande surprise, cela augmenta mon plaisir .
Mais je nétais pas le seul à réagir positivement à ses propos. Je sentais trembler légèrement Isabelle sous mes coups de boutoir et elle fini par lâcher un long jet de cyprine sur moi.
Jadorais cela, sentir son jus intime masperger et couler ensuite sur moi me faisait vibrer et mamenait souvent au bord de léjaculation.
Daniel était passé au caméscope et se prenait maintenant pour John.B.Root.
Cela ne semblait pas déplaire à Isabelle qui commença à prendre des poses plus suggestives. Elle devait avoir l'impression de tourner dans un film de cul, ce qui y ressemblait fortement.
- changez de place maintenant! Jai envie de la grosse bite de Daniel dans mon cul. Viens devant moi, mon chéri, je vais te pomper le dard jusquà ce tu vienne dans ma bouche et je boirai tout ton jus.
Elle n'avait plus aucune retenue et devenait folle de cul. Je savais que ses mots égalaient sa pensée. Nous avons donc changé de position.
Il lui fallut un petit temps dadaptation pour prendre le sexe de Daniel dans le cul. Il était énorme et, bien qu'elle ait lhabitude de mes sodomies, elle poussa quelques gémissements pendant quil senfonçait au plus profond delle, malgré la capote lubrifiée quil avait prit soin denfiler avant de lenculer. Lorsquil parvint au bout, il resta quelques minutes sans bouger pour quelle shabitue à sa présence. Elle même ne faisait plus un geste, la tête immobile, la bouche sur ma queue, je sentait sa salive couler le long de mon manche. Elle était cambrée au maximum, une main me caressant doucement les couilles et lautre, glissée entre ses jambes, touchant celles de Daniel . Elle attendait que celui-ci soit rentré complètement. Il continuait de filmer et, subrepticement, se remit à faire de lents va-et-viens.
Elle gémissait bien encore un peu mais lorsque je vis quelle remuait son cul et allait à la rencontre des coups de bite, je fus rassuré. À mon tour de la forcer un peu. Je lui attrapais les cheveux et tirais dessus pour la pénétrer toujours plus profond. Je sentais mon gland taper au fond de sa gorge.
Cétait maintenant une salope baisée par deux gros vicelards en pleine campagne. Je voyais déjà le titre du film de Daniel et ça me faisait fantasmer encore plus. Nous allions avoir plein de choses à montrer à nos amis les plus intimes.
Les coups de bites saccéléraient des deux cotés, la mouille jaillissait maintenant de la chatte de ma femme et les cris quelle poussait en disaient long sur létat dexcitation dans lequel elle se trouvait.
Daniel était rouge dapoplexie, la caméra ne filmait plus grand chose, vu les mouvements quil lui imprimait. Puis il lâcha celle-ci dun coup, se retira du cul de ma femme rapidement, enleva sa capote et, dans un grand cri de jouissance, lâcha un gros jet de sperme dune puissance inouïe qui vînt sétaler du cul jusquen haut du dos et sur les cheveux dIsabelle. Jen pris même sur le ventre sous la force du jet. Il prit ensuite sa queue dans la main et la frotta entre les fesses rougies par cette sodomie sauvage pour étaler le jus encore chaud. À la vue de cet énorme bite qui glissait sur le cul de ma femme, je jouis à mon tour. Isabelle arrêta ses mouvements de tête et déglutit plusieurs fois afin de récolter toute la semence qui sortait de mon sexe. Elle releva les yeux vers moi, me fit un grand sourire et lorsquelle vit les gouttes de sperme que Daniel avait balancé sur moi, elle se mit à les lécher avec avidité.
Son ménage terminé, elle sallongea sur le dos, nous attira prés delle et nous suça tendrement, comme pour nous remercier. Daniel avait reprit la caméra et filmait maintenant ses doigts qu'il glissait doucement dans le sexe de ma femme pour bien profiter de la mouille qui finissait de couler. je regardais ce spectacle en me disant que j'avais de la chance d'avoir une femme comme elle.
Nous étions tous les trois aux anges et navions pas envie que cela se termine.
Nous sommes restés une bonne demi-heure comme ça, allongés côte à côte, à nous caresser.
Lorsque nous sommes repartis, la nuit commençait à tomber. Nous avons déposé Daniel à sa voiture et sommes repartis, non sans lui avoir laissé nos coordonnées internet. Nous voulions absolument avoir une trace de ce merveilleux après-midi pour réchauffer les futures soirées dhiver.
Daniel nous fit parvenir les photos et le film et nous ne lavons jamais revu.
Nous attendons maintenant loccasion de recommencer une autre expérience du même type, et cette fois, à la demande dIsabelle, avec plusieurs inconnus.
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