Mes Deux Bergères Occasionnelles
Après avoir suivi des cours de berger dans une école d'agriculture, je devais faire un stage dans un élevage. Je connais bien le monde agricole dans son ensemble et je voulais découvrir la transhumance en alpage.
Dès mon arrivée en Savoie, je fus initié par un vieux berger de plus de quarante ans de métier. Et au bout de quelques semaines, on me proposa de remplacer toutes les quinzaines un berger perché dans l'alpage à la tête de plus de 500 bêtes. Nuit et jour nous surveillons les moutons bien secondés par des chiens border. Nous choisissions les paccages, suivant leur abondance, leur constitution. Dès qu'une brebis boitait nous la soignions... L'air était pur et vif et la liberté totale. Dans la journée, je mettais un short et une chemisette. Dans mon sac un pancho, des chaussettes et quelques nourritures pour l'estomac. Il faut beaucoup d'énergie pour grimper dans la montagne, surtout quand on n'y est pas issu comme moi. Le soir, nous regagnions une roulotte, qui avait été amenée par un cheval au printemps, et qui repartirait avant l'hiver. Les animaux rassemblés par les chiens étaient parqués par des barrières en bois que nous attachions les unes aux autres.
Un soir, alors que je tirais de l'eau de la citerne, j'entendis des voix. Les chiens pris à contre vent ne les avaient pas entendu venir. Mais dès qu'ils s'aperçurent de l'arrivée des intrus, ils se mirent à aboyer violamment.
A l'arrivée des chiens, les deux jeunes filles se figèrent de peur et regardaient mes gardiens avec beaucoup de méfiance. Un coup de siflet, je rappelaient mes chiens et fis signe au deux promeneuse, qu'elles pouvaient approcher. A ma vue elles sourièrent, soulagées de ne pas avoir été mordues, et s'approchèrent à grands pas.
C'étaient deux anglaises s'exprimant bien en Français avec un accent typique qui est bien le leur. Elles étaient ereintées, leurs visages étaient rouges et tranchaient bien avec leurs nattes blondes. Je leur proposais de s'assoire sur le banc près de la table, en face des marches de la roulotte.
Pendant qu'elles sortaient leurs affaires de leur sac, je sortis et allais faire ma toilette avec l'eau que je partageais avec les bêtes. Je les invitais à faire de même, et avec des grands rires elles pataugèrent s'arrosant mutuellement, puis vinrent me rejoindre.
Elles avaient toutes les deux un grand tee-shirt qui leur servait de T.shirt et de chemise de nuit. Beautifull, m'écriais-je, en les regardant. Elles me firent la révérence
et s'accroupir sur la banquette en face de moi en souriant. Je sortis pour mettre à mon tour ma chemise de nuit, en toile épaisse que j'affectionnais et elles applaudirent quand je pris place sur la banquette en face.
Je commençais à être excité de la situation et mon sexe libre, sous ma chemise de nuit, prenait une dimenssion conséquente et je faisias bien de efforts pour ne pas le laisser voir. Mais par moment, pendant notre discussion, je me laissais aller et laisser entrevoir ma nudité. Très vite les filles s'aperçurent que je n'avais rien dessous et leus yeux constament allaient à mon entrejambe. Pour ne pas être décontencé, je reprenais un petit coups de cidre, ou je me roulais une cigarette.
Une fille s'approcha de la lampe à pétrole et d'un petit souffle, éteignit la flamme.
Les filles en parfait concert, dans le noir, s'approchèrent et vinrent m'encadrer. Je voulus rallumer la lampe, mais elles s'y opposèrent et me dirent :"tu ne crois pas que c'est mieux comme ça ?" Leurs visages étaiernt tout près du mien, et chacune se misent à me lècher la joue et à poser quelques petits baisers au coin de la lèvre.
Leur main posée sur ma cuisse me caressèrent et remontèrent pour se rejoindre sur mon sexe tendu à moitié décalotté. Je me laissais aller en arrière, leur abandonnant mon corps. Celle de droite me dévora la bouche et me mordit la langue tandis que l'autre s'était glissée entre mes cuisses et après m'avoir complètement décalotté avec sa main, goba mon gland entre ses lèvres pulpeuse. Elle suçait à merveille, faisant aller et venir entre ses lèvres pleines de salive mon chibre tendu.
Celle qui m'embrassait se mis debout devant moi et soulevant son t.shirt approcha sa chatte trempée vers mon visage. Son sexe était plein de cyprine et je me mis à la lècher avidement entre ses lèvres dégoulinantes. Celle qui me suçait lâchait des petits cris de plaisir entre deux pompes et l'autre hurlait en ondulant du bassin et frottant sa chattesur mon visage. Mes deux mains retenaient celle de debout par les fesses, un doigt lui caressant la rondelle. Cette dernière s'agita davantage et un orgasme fantastique la secoua dans un hurlement strident, tout en me retenant et pressant ma tête.
Une fois calmée, elles échangèrent et celle que j'avais bu me tétait maintenant, alors que l'autre allait et venait sur ma bouche avec sa chatte super mouillée. Je finis par lâcher tout mon jus dans la bouche de ma suceuse qui avala tout sans perdre une goutte.
J'étais erienté, la fille de debout se dégagea et vint rejoindre l'autre qui s'était pelotonné contre moi. Plusieurs fois dans la nuit, nous remettions ça. Le soleil se leva, et je laissais mes deux gourmandes dormir, alors que j'allais m'occuper de mon troupeau.
Le soir, à mon retour, sur le banc, je vis un petit mot de mes amies me remerciant de la soirée, me promettant de revenir avant la fin de la transhumance, mais je ne les ai jamais revues jusqu'à aujourd'hui.
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