Cicatrice Et Fellation
J'étais partie en vacances avec ma collègue Sabine et son compagnon Marc. Sabine avait 38 ans mais été restée très jeune d'esprit. Nous avions très vite sympathisé et après une déception douloureuse j'avais accepté avec plaisir son invitation. Marc était plus âgé, 46 ans, ancien parachutiste, il était encore très musclé tout en étant très sec. Son physique me plaisait assez même si du haut de mes 25 ans, il n'entrait pas dans ma catégorie de target.
Nous étions à la mer et je remarquais une longue estafilade qui commençait de son téton gauche pour descendre jusqu'à son maillot de bain. La blancheur de sa cicatrice contrastait avec sa peau bronzée et lui donnait un effet très sexy. Sabine me dit qu'il s'était fait ça à l'armée pendant une mission et qu'elle se terminait juste à côté de ses couilles et que ses poils ne repoussaient pas à cet endroit. Je trouvais cela amusant et commençait à fantasmer sur son sexe.
Un jour Sabine partit faire les courses après la plage et nous laissa seuls dans le bungalow. Marc se rinçait sous la douche et je l'imaginais se nettoyant les couilles en se passant la main sur sa cicatrice. J'étais si excitée que je commençais à mouiller.
Soudain Marc cria. Je m'approchais pour voir pourquoi il avait poussé ce cri. En fait il avait oublié sa serviette dans la chambre et me demandais de lui en apporter une pour se sécher.
Je revins dans la salle de bain et le vis nu. Je ne pus m'empêcher de chercher sa cicatrice et restais fixé sur sa verge qui pendait mollement entre ses jambes. Elle était d'une longueur impressionnante. Très fine, elle lui arrivait quasiment à mi cuisse au repos.
Il vis que je scotchais sur lui et me dit qu'il savait que je fantasmais sur sa cicatrice. Sabine le lui avais dit la veille. Il prit son sexe dans ses mains sans gêne et me montra ses testicules. Sabine avait dit vrai. Aucun poil ne poussait là où il avait été blessé. Timidement je lui demandais si je pouvais toucher.
Il prit ma tête de ses deux mains et imprima son rythme. Il commençait à vraiment apprécier quand la sonnette retentit, c'était Sabine. La panique l'envahit, mais perverse, c'est à ce moment que j'accélèrais. Il jouit dans ma bouche au deuxième coup de sonnette. Je l'avais pour moi. Je me levais et allais ouvrir en lui disant « chut » les doigts sur les lèvres. Ce ebeau mal était en mon pouvoir. Mais c'est une autre histoire.
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