Mon Rêve
Je viens de quitter une fille assez quelconque physiquement, mais portée sur le sexe. A vrai dire c'est elle qui m'a plaqué pour je ne sais trop quelle raison. Je n'en souffre pas du tout, ce qui me manque c'est une bonne baise. En attendant je me masturbe en rêvant à une autre.
Je rencontre par hasard une fille perdue de vue depuis le lycée. C'est donc assez vieux si l'on peut dire.
Odette aussi a été plaquée un jour et se retrouve également seule. Lorsque nous étions au lycée, nous flirtions souvent. Nous avons même failli faire l'amour, gêné par la présence d'un tiers nous n'avons pas pu aller plus loin qu'un vague touche pipi.
- Tu te souviens de nos 17 ans, demande-t-elle ?
- Bien sur et j'en garde une très bon souvenir, sauf que nous n'avons jamais été jusqu'au bout.
- C'est vrai et quelque fois je le regrette.
- Moi aussi je pensais à toi il y a quelques jours.
Ce peu de conversation faisait remonter en nous des regrets. Et aussi nous excitait un peu. Je m'approchais d'elle et posais ma bouche sur la sienne . Ses lèvres s'ouvraient et nous échangions un long baiser. Je sentais qu'elle embrassait mieux qu'avant. Sa langue était plus agile dans ma bouche.
Nous nous sommes donnés rendez vous pour le soir même chez elle à 21 heures. Le lieu de rendez vous n'était pas innocent. Nous avions envie l'un de l'autre tout simplement.
Précis comme un employé de la SNCF j'arrivais juste à l'heure. la porte s'ouvre et Odette se jette dans mes bras. Nous nous embrassons encore et je lui passe une main sur la poitrine: le sein que je touche est gonflé. Elle me fait rentrer dans sa salle à manger et m'offre un verre. je n'aime pas trop boire et je la remercie. Elle me fait asseoir sur un divan et vient près de moi. C'est elle qui m'embrasse à son tour. En passant sa main sous ma chemise, je devine que la nuit va être assez agitée. Je pose mes mains dans son dos à la recherche des agrafes du soutien gorge et ne trouve rien.
- Tu te souvient du jour où tu m'a peloté la première fois ? Moi je m'en souviens encore. J'en étais très excitée.
- Moi aussi je bandais même très fort cette fois là, comme les autres fois aussi. Tu sais je me suis branlé souvent en pensant à ta poitrine.
- Moi aussi je me branlais en pensant à tes mains.
- Je ne savais même pas que tu te branlait, sinon j'aurais hâté le jour où nous aurions pu baiser.
- Mais le jour est venu, mon chéri!!
- Tu me fais bander
- Et toi tu me fait mouiller.
Nous nous sommes déshabillés rapidement pour enfin avoir nos corps nus l'un contre l'autre, et nous avons repris nos caresses cette fois plus approfondies. Avant que je puisse lui mettre une main sur le con, elle se penchait vers moi et prenait ma bite dans sa bouche. Elle me suçait avec toute sa bouche: sa langue enveloppait mon gland et ses lèvres allaient et venaient sur ma bite qu'elle faisait aller très profond. Elle suçait comme si elle avait fait ça depuis des années. Je l'avertissais un peu avant de jouir. Elle prenait ma bite entre ses mains et la tenait pour que je jouisse en elle. J'adorais jouir comme ça dans une bouche consentante.
En attendant elle n'avait pas jouit. Je me penchais à mon tour et lui faisait écarter les jambes. Elle les ouvrait pour que je puisse passer ma tête jusqu'en haut, là où se trouve le point de la jouissance des femmes. Elle écartait avec ses mains les lèvres du sexe pour décapuchonner le clitoris. je le trouvais comme avant, toujours aussi gros et long: je pouvais le prendre dans ma bouche et le sucer comme une petit bite. Je la suçais longuement en arrêtant souvent. Elle ne me dirigeait même pas. elle fermait les yeux et avait la tête vers l'arrière. Quand elle jouissait elle poussait une sorte de râle.
Entre temps je bandais à nouveau et c'est elle qui me demandait de venir la baiser: elle en rêvait depuis le lycée.
Je ne pouvais pas la décevoir et je lui demandais de rester presque assise comme elle était et je posais ma bite sur son con. J'allais y rentrais. C'est elle qui pressée par le désir venait me devancer en se faisant pénétrer elle même. Notre accouplement durait plusieurs minutes: nous arrêtions souvent nos mouvements, nous contentant du plaisir, moi d'être en elle et de sentir la chaleur de son con et elle de l'avoir dans le sexe. Pour avoir d'avantage de plaisir elle posait une main sur le clitoris et se branlait en me regardant bien dans les yeux. Elle jouissait plus vite que moi. Je restais en elle un moment avant de me retirait: elle désirait être prise par derrière. elle restait dans la même position et je n'avais qu'à descendre un peu ma bite pour la lui mettre au cul. J'y rentrais bien vite: elle avait l'habitude sans doute: elle agitait ses fesses au même rythme que moi et continuait à se masturber. Je la sentais jouir plusieurs fois. Je restait dans son anus longtemps. Il m'étais très agréable de l'enculer et elle ne s'en lassait pas.
Je jouissais enfin: elle avait déjà jouit plusieurs fois. Nous prenions un moment de repos, une de mes mains posée près de son con, sur la cuisse et elle avec la main sur ma bite directement. Elle semblait de pas vouloir la lâcher. Enfin elle m'amenait dans sa chambre et là nous nous sommes couchés. Nous nous sommes encore embrassés longuement. Je touchais son clitoris et elle me caressait la bite. Nous étions prêts à nouveaux pour baiser. Pourtant à un moment, elle se penche sur la table de nuit et en sort un godemiché. Je lui demande ce qu'elle veut en faire dans l'immédiat:
- Je suis devenu vicieuse et j'aime bien les double pénétrations. Si tu veux du peux me baiser et m'enculer avec le gode.
Je pensais bien qu'elle avait changé,mais pas à ce point.
- Tu aime baiser en groupe ? Non.
- Bien sur. Tu n'a jamais essayé ?
- Ben non !
- Tu devrais: c'est un peu embarrassant au début mais ensuite c'est merveilleux de se trouver prise par plusieurs hommes ou femmes.
Cette conversation m'excite et j'accepte. En attendant nous continuons notre baise. Je la fais mettre en levrette, je l'encule et lui mets le gode dans le con. elle gémit sans arrêt: elle adore cette position et la double pénétration.
Il me tarde de l'accompagner. Pourtant je lui demande si je peux être son véritable amant. Bien sur ce n'est pas parce que l'on va se faire mettre par plusieurs qu'on n'a pas de vie privée. C'est sns doute la logique féminine, mais après tout pourquoi pas.
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