Mon Meilleur Copain Était Fou Amoureux De Ma Copine - Suite Et Fin.
Après la conversation que nous avions eue, je ne savais que penser. Tout cela allait si rapidement, jétais dépassé par les évènements. La perspective dune nouvelle soirée avec Kallyl avant son départ définitif pour lAfrique nétait pas désagréable bien au contraire mais peut-être nétait-ce en réalité quun test dAxelle pour savoir si je tenais vraiment à elle.
Mais non, ce nétait pas possible, sa voix, son regard le léger tremblement de son corps, tout transpirait la sincérité, tout. Il fallait néanmoins que jen ai le cur net si bien que tout en la caressant, je me mis à lui poser un tas de questions pour mapercevoir que finalement, je ne la connaissais pas si bien que cela.
En effet, cest elle qui prit avec autorité lorientation de la discussion, devançant mes questions, me convaincant finalement quelle était sincère et même que cétait un de ses fantasmes dêtre offerte par son ami (cest-à-dire moi) à lun de ses copains.
Ce qui semblait lintéresser particulièrement cétait la taille du sexe de Kallyl car la rumeur qui accompagne souvent les gens de couleur et en particulier les africains, cest la taille de leur sexe. Kallyl effectivement possédait un sexe débène très long, hors norme je dirais mais, incroyablement fin avec par contre un gland énorme contrastant étrangement avec le reste de la hampe. Le mien, était beaucoup plus épais, plus large mais bien moins long.
Lorsque je lui confirmais quil avait effectivement une longue queue, beaucoup plus longue que la mienne, ses yeux semblaient pétiller denvie. Cela me persuada que ce nétait pas un test de sa part et encore plus lorsquelle finit par se lâcher en mavouant tout de son fantasme.
A peine étonné après ce quelle mavait déjà confié, Axelle maffirma quelle aimerait être attachée sur un lit, à moitié e et offerte à la lubricité dun gros noir monté comme un âne qui la défoncerait pour finalement éjaculer sur son visage et sa poitrine, en labandonnant couverte de grosses traînées de sperme blanchâtre sur sa peau fine de blonde.
Je finissais par lui poser la question franchement en précisant :
- Tu sais mon cur, jaimerais que ce soit toi qui me demande de toffrir à Kallyl. Je veux que ce soit clair entre nous, cest moi qui tattacherais et même touvrirait les cuisses pour lui permettre de senfoncer dans ton ventre, mais je veux que ce soit qui me le réclame.
- Jai honte de te demander çà. Jai envie mais jai honte.
- Tu ne vas pas être déçue tu sais, il en a vraiment une grosse. Moi je nen ai jamais vu daussi grosse.
- Arrêtes Kevin, çà mexcite de savoir quil est monté comme une bête et que si je le veux, il pourrait me lenfoncer, mouvrir le ventre avec son gros machin.
- Joubliais, il nest pas question que tu prennes un cachet et que tu sois dans les vaps pendant la séance. Tu pourras faire semblant mais je te veux bien lucide, je veux que tu sentes bien sa grosse queue quand je la guiderais entre tes lèvres puis quelle senfoncera jusquaux couilles.
Axelle, réfléchit encore un bon moment. Ma main entre ses cuisses sentait quelle mouillait un max. Jenfilais un doigt dans son châton en le faisant tourner suivit dun deuxième qui sengouffra tout aussi facilement. En même temps je les écartai à lintérieur en lui faisant remarquer quils étaient loin de la longueur du sexe de Kallyl. Sa poitrine se soulevait de plus en plus rapidement, elle lâcha dans un souffle :
- Oui, jai envie quil me baise devant toi. Offres-moi à lui, offres-moi à lui.
Cétait dit, au moins elle avait décidé delle-même. Il me restait à me convaincre daller jusquau bout car, envisager doffrir sa copine à la bite dun ami est une chose, loffrir vraiment et être là quand une autre queue senfoncerait dans le ventre de sa copine est tout autre chose.
Même sil est vrai que javais joui de voir les doigts de Kallyl, entrer et sortir de son ventre, luisants de mouille, atteignant des « sommets » dexcitation lorsquelle sétait mise à jouir, commet est-ce que je réagirai au moment fatidique cest-à-dire lorsque son gros gland forcerait lentrée et quil sera trop tard pour tout arrêter.
Jétais vraiment dans lexpectative, incapable dy penser calmement, sereinement. Je demandais une dernière fois à Axelle :
- Et si tu aimes trop sa grosse queue. Si tu taperçois au bout de quelque temps quelle te manque beaucoup plus que tu ne lavais imaginé ?
- Il ny a aucun risque. Cest à toi que jappartiens. Mon fantasme, ce nest que du sexe. Nous aussi, nous sommes capables de baiser pour baiser, ce nest pas réservé aux hommes tu sais ?
Le départ définitif de Kallyl approchait à grands pas. Dans moins dune semaine il ne serait plus là. Axelle le savait mais ne fit rien pour précipiter ma décision. Elle attendit patiemment que finalement, un soir je lui annonce :
- Kallyl vient ce soir. Il va te trouver attacher au lit, les yeux bandés car tu nes pas censé savoir qui va senfoncer dans ton ventre, et je toffrirai à lui.
Elle me sourit amoureusement puis maffirma :
- Jespère que je serai à la hauteur et que tu me trouveras aussi belle que la dernière fois.
Rajoutant :
- Mais rappelles-toi, cest à toi que jappartiens et à toi seul.
Cétait deux jours avant quil ne nous quitte définitivement. Tout était prêt, il était inutile de faire des chichis, chacun savait ce pour quoi on avait décidé quil passerait à la maison. Javais dit à Kallyl quAxelle avait depuis longtemps le fantasme que je loffre à lun de mes copains, rajoutant que je lavais choisi lui dune part à cause de son prochain départ définitif et surtout parce quil était mon ami et quil avait su la dernière fois, la faire jouir sans insister pour la posséder par la suite.
Inutile de vous dire quil était aux anges car depuis la dernière fois, il pensait quil naurait plus jamais loccasion de la voir nue et encore moins de lui faire lamour. Il ne savait plus comment me remercier.
Je déshabillais Axelle moi-même, et malgré ses demandes pour conserver son petit string et son soutien-gorge, je refusais tout net, car en tirant sur les draps, je voulais quil comprenne ce pour quoi il était là. Inutile de tomber dans le romantisme à deux balles.
Dailleurs pour quelle soit encore plus « disponible, je lui demandais de replier ses jambes contre ses fesses et, je lattachais aux montants du lit dans cette position. Les bras au-dessus de sa tête, les jambes ouvertes, les chevilles ramassées contre ses fesses, la chatte déjà presque ouverte aux attouchements de son futur amant.
Après avoir terminé de lattacher, je lui demandais une dernière fois :
- tu es toujours partante nest-ce pas ? Ce soir, tu vas accueillir dans ton ventre un autre homme que moi, cest bien ce que tu veux ?
- Oui, mon amour. Je veux que tu me voies jouir en me faisant baiser par un autre mec, car je sais que tu aimes çà.
Je passais mes doigts dans sa fente. Elle était trempée et je le lui dis vertement :
- Tes trempée. Çà texcite nest-ce pas, petite salope adorée ?
- Cest vrai, vite quil arrive, jai envie de sentir une bonne queue dans mon ventre.
Un dernier doigt que jenfonce dans son fourreau. Un premier gémissement et déjà, quelquun frappe à la porte. Je porte mon doigt à mes narines. Çà sent bon, jai bien envie de le faire sentir à Kallyl dès quil entrera.
Jouvre. Il est là. Je le fais entrer, il balaye déjà le studio du regard et voit Arielle, recouverte dun drap, sur le lit.
Je lui précise quArielle voulait être un peu dans les vaps aussi, je lui ai fait prendre un cachet censé la shooter car cela fait parti de son trip. Tout bas, il me demande sil peut lui parler, je lui réponds que oui car lappareil auditif quelle porte déforme les voix, elle ne pourra donc pas te reconnaître.
Je finis en lui disant quelle était toute à lui et quil pouvait en faire ce quil voulait à partir de maintenant.
Kallyl cachant mal son impatience, sapprocha doucement du lit puis, tira sur le drap, pour la découvrir petit à petit. Ses seins apparurent, les bouts bandaient outrageusement, preuve de son excitation puis son ventre, ses genoux et dun seul coup, sa chatte blonde, à moitié ouverte comme je lavais laissé quelques instants auparavant.
Arielle demanda :
- Il est là ?
- Oui, il est en train dadmirer ta chatte.
- Comment il me trouve.
Kallyl répondit lui-même :
- Tu es magnifique. La plus belle fille que jai jamais vue.
Ses mains se posaient déjà sur la face interne de ses cuisses pour descendre vers la fente offerte. Kallyl sallongea sur le lit, le nez en avant et le posa sur le sexe dAxelle. Il inspira un bon coup en commentant :
- Tu sens bon. J'ai envie de te lécher. Je peux ?
Axelle bien quimmobilisée, avança son bassin à la rencontre de la bouche qui se posait déjà sur ses lèvres. La langue se fraya un passage entre les grandes lèvres pour parcourir toute la fente du clitoris jusquà lentrée de la vulve puis, se fit plus fine pour entrer dans lorifice.
- Tu coules. Jadore ton goût.
Axelle ne répondais pas mais commençait à pousser des petits gémissements que je ne connaissais que trop lorsque le plaisir prend peu à peu, possession de son corps.
Se rappelant, la première jouissance quil lui avait procuré, il se redressa et, glissa son majeur dans lorifice cherchant comme la première fois la petite zone rugueuse si sensible. En quelques frottements, il mannonça :
- Je lai. Ah oui. Je la sens bien. Je vais te faire jouir comme çà. Tu veux bien ?
Axelle toute à ses sensations, se contenta de répondre :
- Mon homme ma offerte à toi. Tu peux me faire tout ce que tu veux. Moi je ne veux quune chose, jouir, jouir et jouir encore.
Sa respiration plus courte témoignait quil disait vrai. Il avait trouvé comme la dernière fois, son point G, agitant de plus en plus son doigt dans la vulve offerte. Axelle commençait à bouger la tête dans tous les sens. Elle me dit :
- Je veux que tu me voies jouir. Enlève-moi ce bandeau. Je vais jouir. Viiiiiiiiiiite.
Dun coup sec, je tirais sur le nud derrière sa tête. Le large foulard se déploya autour de son cou, libérant ses yeux. Le temps de shabi à la lumière, son regard était déjà dans le mien, elle me fixait intensément, mais pourtant javais limpression quelle ne me voyait déjà plus. Tout dun coup, Kallyl mannonça tout fier :
- Elle jouit. Elle jouit.
- Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh.
Axelle dont les pupilles venaient de basculer vers larrière, laissa échapper un long gémissement plus sourd, plus rauque que les autres. Tout son corps, tendu comme un arc, vibrait au rythme des déferlantes qui lui parcouraient le corps, remontant le long de sa colonne vertébrale jusquà la base de son cerveau pour y exploser dans un final étourdissant.Elle resta un long moment tétanisée par lorgasme qui la secouait, expulsant de sa chatte un liquide translucide que je ne lui connaissais que dans les grandes jouissances, puis, se laissa retomber inerte sur le lit.
Sa poitrine se soulevait à un rythme infernal, elle était au bord den perdre le souffle. De longues secondes passèrent avant quelle narrive à se calmer.
Elle venait de jouir vraiment fort. En général elle aime bien à ce moment, se sentir pénétrée et, cest ce que je fis comprendre à Kallyl, en linvitant à la prendre sans tarder.
Il comprenait vite et, en deux secondes, débarrassé de ses vêtements, il était déjà contre ses fesses, son phallus dans la main doù émergeait lénorme gland. Sûr de lui, il le fit glisser entre les lèvres, dans la fente pour bien le lubrifier des secrétions dAxelle puis, fit entrer son gland dans louverture.
Axelle ouvrit les yeux puis, faisant mine de ne découvrir qu'à ce moment précis, qui j'avais choisi pour satisfaire notre fantasme commun, lui dit :
- Kallyl, je suis contente que ce soit toi, quil ait choisi mais tu n'es pas vraiment un inconnu.
- Je suis content moi aussi, lui répondit Kallyl. Tu veux bien me laisser goûter au plaisir de ton ventre.
- Viens, Idiot.
Plus quun léger mouvement en avant du bassin, et il investissait des lieux connus de moi seul jusquà présent. On y était. Le moment fatidique où plus rien ne sera comme avant.
Axelle regardait le sexe posé devant sa grotte le gland à moitié engagé. Elle leva ses yeux vers moi puis me sourit tandis que je lisais sur ses lèvres :
- Je taime.
Kallyl poussait déjà. Un premier coup de rein qui fit disparaître une bonne moitié de la tige entre les lèvres de mon amour. Celle-ci ouvrit la bouche mais aucun son ne réussit à sortir. Une deuxième poussée, le mandrin était enfoncé jusquà la garde. Ses couilles toutes velues, butaient contre les fesses dAxelle. Elle poussa un :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiii. Cest bon. Tes gros dans ma chatte. Je te sens bien. Baises-moi. Baises-moi maintenant.
Ils se regardaient maintenant, les yeux dans les yeux, échangeant du regard, les sensations qui remontaient de leur sexe étroitement imbriqué lun dans lautre. Axelle semblait lui dire, tu me possèdes Kallyl, je sens ta queue dans mon ventre, elle vit en moi, baises-moi.
Je ne pouvais pas mimmiscer dans leur tête à tête. Le monde autour deux nexistait plus. Ils étaient liés par le sexe mais aussi par leurs yeux qui ne se quittaient plus. Kallyl commença à bouger, ressortant son vit presquentièrement pour replonger le plus profondément possible et le plus lentement possible, ils semblaient se parler pourtant aucun son ne sortait de leur bouche. Seule Axelle, ouvrait la sienne pour accompagner la lente progression entre ses chairs du sexe de Kallyl. Sans jamais se quitter des yeux, Kallyl augmenta progressivement sa cadence, en diminuant lamplitude de ses mouvements. A chaque coup de rein, des éclairs semblaient illuminés les prunelles dAxelle, peu à peu, je les voyais se troubler, perdre de leur éclat mais elle les gardait obstinément ouvert, sans doute pour offrir sa jouissance à cet amant si attentionné.
Kallyl la secouait maintenant de plus en plus fort et je voyais son corps reculer en encaissant les assauts. Elle était heureuse. Çà se voyait dans son corps dont les cuisses souvraient un peu plus pour accueillir le vit sur le point de cracher sa semence. Elle se donnait entièrement, sans aucune retenue et à cet instant précis, il aurait pu se retirer brusquement et la sodomiser sans quil ne trouve à y redire quoi que ce soit. Le don total, sans condition, elle était magnifique dans le plaisir.
Mais Kallyl ny pensait même pas. Sa seule préoccupation était de la faire jouir encore et encore, jusquà ce quelle lappelle en jouissant. Il contrôlait ses sensations, maîtrisant à la perfection, la montée de son propre plaisir.
Axelle nen était déjà plus là. Dailleurs il nétait pas dans ses intentions de retarder son orgasme. Il était là, cognant à la porte de son ventre, tambourinant du gland le fonds de sa matrice.
Tout à coup, sans quitter des yeux son amant, elle tendit sa main dans ma direction :
- Je vais jouir mon amour. Il va me faire jouir avec sa grosse queue. Donnes-moi la main. Je veux partager cette jouissance avec toi. Viiiiiiite. çà vient.
Sans réfléchir, je lui tendais mon bras qu'elle saisit comme s'il s'agissait d'une bouée. Plantant ses doigts dans mes chairs, presqu'à m'en faire mal.
- Oui, çà vient. çà vient. Aaaaaaaaaaaaaaaah.
Elle se laissa aller une nouvelle fois, hurlant presque cette fois pour manifester lultime plaisir.
Tandis quelle jouissait par tous les pores de sa peau, Kallyl ralentit la cadence pour ne succomber lui aussi à l'appel de lextase, se contentant de flatter le bouton turgescent qui se raidissait devant lui, hors de son fourreau.
Il était heureux, la plus belle femme du monde à ses yeux, se tordait de plaisir grâce à lui. Elle jouissait à en perdre haleine, manifestant son plaisir sans aucune retenue.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis. c'est trop bon.
Moi aussi, jétais heureux de la voir jouir aussi fort, encore plus belle dans lorgasme.
Après cette deuxième jouissance, Axelle semblait beaucoup moins fringuante. Toujours aussi belle mais physiquement émoussée.
Kallyl tendit ses mains vers les foulards qui limmobilisaient et, tira sur les bouts pour la libérer puis, la retourna, profitant du peu de réaction de sa partenaire. Il attrapa un oreiller pour le placer sous son ventre et, à genoux sapprocha entre ses jambes, la forçant à lui faire plus de place puis, sallongea sur son dos.
Jétais derrière eux et je pouvais voir quil cherchait lentrée sans saider de ses mains puis au mouvement de ses fesses, je compris quil était de nouveau en elle. Dès lors, comme un métronome, il sest mis en mouvement. Le mouvement régulier de ses fesses qui montaient et descendaient, ne mit pas longtemps à faire de nouveau grogner Axelle.
Il la tenait par les poignets, au-dessus de ses épaules, plaqués contre le matelas et, la pénétrait par derrière à grands coups de reins puissants. Axelle, épuisée, râlait de bonheur. Elle subissait avec délices la puissance sexuelle de son infatigable amant. Il avait passé sous son ventre une de ses mains et, caressait de son pouce, son clitoris qui nen demandait pas tant.
Elle se concentrait pour lui offrir un troisième orgasme. Elle tendait sa croupe pour mieux sentir le vit louvrir, la pourfendre mais çà tardait à venir. Elle décida de prendre les choses en main et, lui fit comprendre de la laisser soccuper de son bouton elle-même ce quil accepta tout de suite, se concentrant lui, sur son propre plaisir.
Là cétait mieux, en peu de temps, le plaisir pointait à nouveau son nez. Elle continua à se masturber de plus en plus vite, se faisant gémir elle-même, concentrée sur ce bouton de chair en pleine effervescence.
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh.
Çà y était. Un nouvel orgasme la transperçait, rapide cette fois, presquinsupportable dès les premiers spasmes terminés. Kallyl toujours sur son dos, arrivait lui aussi, au point de non-retour. Les mains bien calées sur ses hanches, il se laissait aller, déversant sa semence en longues giclées dans le ventre accueillant.
Cen était trop pour moi, jexplosais à mon tour, sans même m'être touché.
Une soirée magnifique et un cadeau d'adieu inoubliable offert à mon ami grâce à la complicité de celle qui allait devenir ma femme.
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