Mon Meilleur Copain Était Fou Amoureux De Ma Copine (1)
En lisant une histoire sur votre site, je me suis remémoré un épisode de ma vie avec lune de mes ex qui allait dailleurs devenir ma femme quelques années plus tard. Nous étions très jeunes à lépoque, dix neuf et dix sept ans. Axelle était dune beauté à couper le souffle, un visage et un corps de rêve, naturellement bronzé comme le sont les filles du pacifique mais blonde comme les blés.
Kallyl, mon meilleur copain était fou amoureux delle. A chaque fois quelle était avec nous, il bavait littéralement en la regardant, il navait dyeux que pour elle, aucune autre fille, aussi jolie soit-elle, narrivait à capter son attention.
Nétant pas particulièrement jaloux, cela ne me dérangeait pas. Axelle samusait beaucoup de le voir dans tous ses états à chaque fois quelle lui parlait ou, quun contact physique aussi anodin soit-il, avait lieu entre eux.
Beaucoup de nos copains pensaient avec envie que nous nous la partagions dans lintimité. Il nen était rien mais nous ne faisions rien pour les en dissuader, amusés de les rendre fou de jalousie.
Lorsque nous étions seuls, Kallyl et moi, il nétait pas rare de parler dAxelle et je me rendis compte quil connaissait le moindre détail physique la concernant, la petite cicatrice quelle avait juste sous le nombril, le grain de beauté dans le creux de ses reins etc. etc. Il lui vouait une admiration que moi-même je trouvais excessive et déplacée.
Petit à petit je compris que rien ne lui ferait plus plaisir que den découvrir un peu plus. Sans quil me le demande vraiment, je compris quil aimerait savoir si Axelle était une vraie blonde car pour lui les blondes étaient le summum de la féminité.
Il est vrai quétant métis tous les deux, les blondes avaient un attrait particulier pour nous et encore plus pour Kallyl.
Leurs poils blonds si discrets, presque transparents sur certaines dentre elles et cétait le cas dAxelle, les rendaient à nos yeux encore plus attirantes.
Cest vrai quAxelle avait une toison de blonde à peine visible tant ses poils pubiens étaient fins, ce qui ne cachait rien de ses lèvres intimes quelle avait plutôt développées (du moins pour ce que jen savais à cette époque).
Amusé, jen parlais à Axelle qui me dit sur le ton de la boutade, quil fallait peut-être lui faire un petit cadeau (sans être plus explicite) pour le remercier de sa gentillesse et de la disponibilité sans faille quil lui manifestait en permanence.
Loccasion se présenta un soir, alors que nous étions tous les trois dans mon petit studio détudiant en train de regarder la télé après avoir mangé.
Axelle qui dormait de temps en temps chez moi avec laccord de sa mère, pas intéressée par le film, pris un demi-somnifère et partit sétendre sur le lit à deux pas de nous.
Au bout dun moment, je maperçus que Kallyl jetait de plus en plus souvent, des coups dil en direction de mon lit. Faisant mine daller chercher à boire, je me levais pour voir ce qui attirait ainsi son attention.
Je découvris quAxelle endormie dans sa position favorite sur le ventre, une jambe repliée par-dessus les draps, lui offrait un spectacle des plus ravissants dautant que son grand tee-shirt était remonté, découvrant une bonne partie de ses cuisses, juste en dessous de ses fesses.
Elle était magnifique. Kallyl sapercevant tout à coup que javais compris ce quil regardait me dit :
- Oh putain, ce quelle est belle. Jen ai des frissons partout. Tu as vraiment de la chance.
A ces mots, je me souvins de ceux dAxelle parlant de lui faire un petit cadeau. Sans rien dire, je mapprochais dAxelle puis, métant assuré quelle dormait profondément, je demandais à Kallyl :
- Elle dort profondément avec son cachet. Si tu veux, je peux te montrer ce qui te fait fantasmer depuis des mois.
- Tu ferais çà ? mais pourquoi ?
- Axelle est daccord, je suis sûr quelle a fait exprès de prendre un cachet pour me permettre de toffrir ce petit plaisir.
- Je promets mais tes sûr quelle est daccord ?
- Je suis sûr mais il ne faudra jamais lui en parler, ce sont ses conditions, à elle.
- Ok, jai compris.
Jattrapais alors le tee-shirt pour le tirer sur ses reins mais Kallyl arrêta mon geste.
- je peux le faire moi-même sil te plait ?
Je mécartais pour lui laisser la place et le regarder faire. Axelle dormait paisiblement, sa respiration était régulière, ses traits apaisés la rendaient encore plus belle. Je vis la main de Kallyl attr le tissu puis, le faire glisser doucement en direction de ses reins. Petit à petit, le galbe de ses fesses apparut puis la totalité de son fessier totalement dénudé. Je maperçus quelle avait retiré son string ce qui me conforta dans lidée quelle avait provoqué cette situation car habituellement, elle portait toujours un sous-vêtement en dormant.
Sa jambe repliée permettait une vue plongeant sur sa petite chatte blonde. Kallyl pouvait comme moi, voir les grandes lèvres, légèrement ouvertes et étonnement luisantes de mouille.
Kallyl se tourna vers moi, un large sourire barrant son visage :
- Elle est magnifique. Jétais sûr que cétait une vraie blonde.
A ce moment, Axelle changea de position et se mit sur le dos, les jambes bien à plat. Elle nous apparaissait le bas-ventre libre de toute entrave. Sa chatte sétait refermée mais les lèvres étaient toujours aussi bien visibles à travers sa fine toison.
Kallyl la bouche ouverte et les yeux exorbités, la buvait du regard. En plaisantant je lui dis :
- Ferme la bouche Kallyl, tu vas lui baver dessus.
- Oh, je nen reviens pas comme elle est belle. Cest mieux que tout ce que javais imaginé.
- Pourquoi tas imaginé çà souvent ?
- Oh putain, si tu savais le nombre de fois que je me suis branlé en y pensant. Merci de moffrir çà.
- Pas de quoi, its my pleasure.
Nous parlions souvent en anglais pour éviter que les copains comprennent certaines de nos conversations. Il sourit puis me dit en tendant ses mains vers les jambes dAxelle :
- Je peux soulever ses jambes ?
- Ten vois pas assez ?
Kallyl ne répondit pas craignant sans doute que le cadeau ne sarrête là mais devant sa mine comblée je neus pas le cur de refuser, de plus pour être franc, de voir mon copain maté la chatte de ma copine, commençait à me déclencher des bouffées de chaleur dans le bas-ventre :
- Vas-y si çà te fait plaisir.
En spectateur de plus en plus excité, je regardais Kallyl attr Axelle par les chevilles puis, lui replier les jambes, les pieds contre ses fesses et finalement les laisser retomber pour souvrir vers lextérieur comme une fleur.
Axelle nous livra une vue profonde de lentrée de sa vulve parfaitement visible grâce à la lampe de chevet. Lentrée était vraiment très humide. Je me dis intérieurement quelle avait dû penser à ce scénario en sendormant car elle mouillait vraiment beaucoup.
Kallyl ne pouvait pas ne pas sen apercevoir. Il fixait lentrée gluante de mouille, subjuguée par le spectacle. Moi aussi dailleurs, je narrivais à détacher mon regard de sa vulve visiblement prête à recevoir le mâle.
- çà te plaît ?
- Ouh là là. Jai chaud partout. Si çà nétait pas ta meuf, jy glisserai bien un doigt pour le plaisir de connaître la chaleur de son corps.
Je ne répondis pas tout de suite mais moi aussi, javais une furieuse envie de lui planter ma queue dans le ventre. Cétait trop excitant de la voir ainsi, avec Kallyl si près de sa foune quil devait en sentir les odeurs intimes. Il murmura :
- Tas vu, Kevin, on dirait quAxelle mouille comme une malade. Elle est peut-être en train de faire un rêve érotique.
- Oui, çà cest sûr, elle mouille et pas quun peu.
- Tu me laisses la toucher ?
Jhésitais mais je nétais déjà plus dans mon état normal.
- Ouais. Tu vas voir comme elle est douce à lintérieur. Cest un régale.
Nen croyant sans doute pas ses oreilles et, de peur que je ne change davis, Kallyl avait déjà tendu sa main vers lentrejambe offert. Je tressaillis en voyant la main se poser bien à plat sur son mont de vénus, caresser les poils blonds dans un geste emprunt de tendresse et, tout de suite glisser vers la fente entrouverte. Je sentis ma respiration saffoler lorsque deux de ses doigts séparèrent les lèvres pour parcourir lentement toute la fente puis, comme dans un rêve je fis son pouce sencastrer dans lorifice, en écartant les chairs sans difficultés. Il le fit pénétrer le plus profondément possible puis, après cette première reconnaissance, il le retira pour présenter devant lentrée son majeur.
Cétait à mon tour de me mordre les lèvres, incapable de la moindre réaction mis à part les décharges qui me secouaient le bas ventre. La queue men faisait mal tellement javais limpression dêtre à létroit dans mes vêtements.
Le majeur senfonça lui aussi sans difficultés jusquà la garde. Je vis aux mouvements des tendons sur son poignet quil était en train de bouger son doigt à lintérieur du con de ma chérie, recherchant sans doute dans cette position face de la main tournée vers le haut, la petite zone sensible que je lui avais décrite comme très réceptive chez Axelle.
Cette dernière qui jusquà présent était restée sans réaction, poussa un gémissement, puis un autre, et encore un autre jusquà nous faire entendre une douce mélodie parfaitement rythmée par les mouvements du doigt qui lui caressait lintérieur de la vulve.
Kallyl était aux anges dentendre Axelle soupirer ainsi de plaisir car cétait bien de plaisir quil sagissait. Nen pouvant plus de la voir prendre son pied alors que cétait le doigt de mon copain qui la pénétrait, je libérais mon sexe pour commencer à me branler nerveusement. Kallyl tout fier de lui mannonça :
- Kevin, çà grossit, çà sélargit comme tu mas dit sous mon doigt. Je sens sa chatte qui me sert le doigt, elle va jouir non ?
- Si tu continues, cest sûr je connais ses gémissements, elle va jouir.
- Jai envie de la faire jouir. Je peux ?
- Oui, continue.
Kallyl avait essayé de glisser un deuxième doigt mais les gémissements sétaient espacés aussi, il lavait immédiatement retiré pour la reprendre avec son seul majeur. Je voyais des vagues se former sur le ventre dAxelle ou plutôt je voyais les muscles de son bas-ventre se tendre de plus en plus fort. Elle était tout près de la jouissance. Dailleurs ses gémissements aussi avaient changé dintensité, plus brefs mais plus forts aussi. Je prévenais Kallyl :
- Elle va jouir. Narrêtes pas Kallyl. Narrête pas.
- Je sais, sa chatte me serre de plus en plus fort. Ça y est, ça y est elle jouit. Oh putain, cest trop bon. Cest trop bon.
Une longue plainte séchappa de la gorge dAxelle, elle se redressa dans le lit, presquà se plier en deux, puis, se laissa retomber en arrière, le visage tordu par lorgasme qui terminait de parcourir tout son corps. Elle avait ouvert les yeux en se redressant mais heureusement, ses magnifiques yeux verts avaient immédiatement basculer dans ses orbites comme elle le fait à chaque fois quelle jouit fort. Sa vision avait été trop fugace (du moins je lespérais) pour quelle réalise que ce nétait pas moi mais Kallyl qui se trouvait entre ses cuisses.
Elle avait été magnifique. Une folle envie de la prendre dans mes bras, se faisait sentir. Jallais me rapprocher delle quand, tout à coup, je sentis quelque chose couler sur mes doigts. Je venais de jouir presque sans men rendre compte tant lémotion avait été forte. Jétais juste derrière Kallyl aussi mon regard se porta aussitôt vers lui et, je ne pus que constater les traînées de sperme qui maculaient son épaule.
- Oh putain, Kallyl, excuses-moi, jai carrément déchargé sur toi.
- Ne texcuses pas, tu pouvais bien te permettre çà après ce que tu viens de me faire vivre.
Je nétais plus en état de la prendre mais Kallyl qui avait réussi à extraire son chibre de son pantalon pendant quil caressait Axelle, me présentait une queue en pleine érection. Il bandait comme un cerf, attendant visiblement que je lui accorde mon feu vert pour senfoncer illico dans cette petite chatte où, deux de ses doigts continuaient à coulisser doucement.
La tension était retombée dun cran, plus lucide, javais néanmoins à affronter un affreux dilemme. Que faire ? Un seul geste de ma part et, Kallyl prenait sous mes yeux ma copine endormie. Cétait tentant mais ce nétait pas ce quelle mavait suggéré, un simple petit cadeau que javais dailleurs largement dépassé.
Kallyl me regardait presque suppliant, ses doigts coulissaient doucement sur sa tige. Axelle sétait rendormie paisiblement malgré les doigts qui la fouillaient encore.
Il fallait que je décide rapidement car dans quelques secondes, prenant mon absence de réaction pour un accord, Kallyl senfoncerait irrémédiablement dans la chatte de ma copine. En un éclair, je choisis la moins mauvaise des solutions qui soffraient à moi. Je lui dis, la mort dans lâme :
- Kallyl, je suis désolé mais je ne peux te permettre de la posséder. Elle ne ma pas dit quelle était daccord pour çà et nous sommes allés très loin déjà. Je ne pourrais pas lui expliquer.
Kallyl déçu, était sur le point de se dégager, retirant déjà ses doigts lorsque je poursuivis :
- Mais, si tu veux, tu peux te branler entre ses lèvres sans la pénétrer. Elle va faire la gueule mais bon ce sera moins grave que si je tavais laissé la prendre.
Ouf. Kallyl retrouva immédiatement le sourire. Il se replaçait déjà entre les cuisses grandes ouvertes. Sa queue dune main, il se mit à faire glisser le gland entre les lèvres quil maintenait ouverte avec ses autres doigts.
Axelle dégoulinait de partout aussi, cest sans difficultés quil parcourait sa fente, de son anus à son clito, appuyant un peu plus que nécessaire à chaque fois quil passait sur lentrée de la vulve.
La tension remontait progressivement, je sentais à nouveau mes couilles se raffermir, ma queue se tendre avec ces nouvelles poussées de chaleur dans mon bas-ventre.
Kallyl passait de plus en plus vite dans la fente, sa queue était luisante de la mouille quil récupérait à chaque passage devant lentrée de cette vulve qui semblait lappeler de toutes ses fibres. A chaque fois, je voyais le gland senfoncer un peu plus, il ne fallait quil mette trop de temps à jouir car sinon, le gland entier senfoncerait en passant.
Heureusement, dun seul coup, il se raidit puis prenant son gland entre ses doigts, lagitant en grognant quil jouissait. Il sarrêta de bouger pour diriger le premier jet vers lentrée puis, tout de suite recommençant à se branler il sarrêta à nouveau pour diriger son deuxième jet vers son clitoris et recommencer son manège jusquau dernier spasme. Le troisième jet atterrit sur le pubis zébrant la toison blonde de sa semence. Le 4ème et le 5ème beaucoup moins puissants lobligèrent à poser son gland sur le ventre dAxelle pour les laisser sy répandre.
Cétait terminé. Axelle, certainement sans le vouloir, passa sa main sur son sexe comme pour le lisser, étalant toute la semence qui sy trouvait sur ses doigts mais aussi sur son ventre et lintérieur de ses cuisses.
Kallyl, qui assista à la scène se retourna vers moi, son magnifique sourire aux lèvres et :
- Merci Kevin. Jamais je ne vais oublier çà. Jamais. Tu peux me croire.
- Je sais Kallyl mais noublie pas aussi que çà doit rester un secret pour toujours.
La soirée était terminée et Kallyl sen alla discrètement, me laissant avec un sentiment mitigé. Pas très fier de moi, pas très fier de mêtre laissé débaucher ou plutôt davoir entrainé Axelle dans la débauche aussi facilement. Je la regardais dormant paisiblement, confiante, inconsciente de ce que je venais de permettre.
Je mendormis avec cette pensée et cest Axelle qui le lendemain me réveilla, comme souvent elle sait le faire, avec le plateau de mon petit déjeuner à côté de moi, me suçant le sexe jusquà ce quenfin je me réveille.
Javais toujours en tête les mêmes pensées mais je me gardais bien de faire sentir quoi ce soit à ma copine. Celle-ci semblait toute guillerette, dexcellente humeur. On discuta de choses et dautres puis, Axelle plus sérieusement me demanda :
- Dis-moi, tu ne maurais pas prise hier soir pendant que je dormais ?
- Non pourquoi, tu me demandes çà ?
- Eh bien figures-toi que ce matin au réveil, javais la chatte toute poisseuse, comme lorsque je mendors sans mêtre lavée après lamour, si tu vois ce que je veux dire.
- En fait, je ne tai pas prise mais je me suis caressé sur toi.
- Tes sûr ? il nest rien arrivé de spécial.
- Pourquoi dis-tu çà ?
- Hier jai rêvé que jétais en train de jouir et dans mon rêve je tai vu toi mais aussi Kallyl entre mes jambes. Jai joui fort et çà me trotte dans la tête depuis ce matin. Tes vraiment sûr quil ne sest rien passé de spécial hier ?
Jhésitais un bon moment avant de répondre aussi, Axelle, se rendit compte à mon air « pas franc du collier » que je lui cachais bien quelque chose. Elle poussa le plateau de mes jambes pour sinstaller à califourchon sur mes cuisses puis, ses deux mains de chaque côté de mes tempes pour mobliger à la regarder bien en face, elle demanda une nouvelle fois :
- Kevin, je suis sûre quil sest passé quelque chose. Tu nes pas normal depuis ton réveil. Je le sens, ne me demande pas pourquoi, je ne sais pas mais je suis sûre que tu dois me dire quelque chose. Je te promets quon peut en parler tous les deux calmement mais tu dois me dire, sil sest passé quelque chose.
La mort dans lâme, je finis par lui raconter ce qui sétait passé, lui rappelant la conversation que nous avions eue tantôt au sujet du cadeau quelle avait suggéré pour Kallyl. Axelle assise sur mes cuisses, mécouta attentivement sans jamais minterrompre, des petites larmes coulaient doucement le long de ses joues. En voyant ses yeux sembuer puis des larmes déborder de ses yeux pour glisser le long de ses joues, jenvisageais immédiatement le pire. Je venais de la perdre, je venais de commette lirréparable en loffrant à mon copain dans un moment de folie des sens.
A la fin, elle se pencha vers moi pour se blottir dans mes bras. Après un long moment pendant lequel je me demandais quelles allaient être ses premières paroles, elle se recula pour plonger ses yeux dans les miens, au plus profond de mon être et, finalement membrasser à pleine bouche, mêlant avec passion sa langue à la mienne, dans un long tête-à-tête.
A la fin de notre baiser, elle souffla juste ces mots qui, sans être exceptionnels, revêtait à ce moment une importance capitale :
- Je taime.
Sans que je puisse maitriser quoi que ce soit, des larmes de joie menvahir les yeux pour couler, elle aussi, le long de mes joues. Soulagé, je la serrais encore plus fort dans mes bras, si fort quelle me dit en souriant :
- Eh doucement, mon cur, doucement, tu métouffes.
Lalerte avait été chaude mais heureusement, nous étions maintenant en train de nous embrasser comme au premier jour, faisant courir nos mains à la découverte du corps de lautre comme la première fois. Cette histoire nous avait rapprochés au point quil devenait urgent de se réapproprier le corps de lêtre aimé. Axelle, dans un souffle, mordonna :
- Prends-moi, mon cur, je suis à toi, prends-moi.
Je lembrassais à pleine bouche, dévorant sa langue, buvant sa salive et, menfonçait dans son ventre, ouvrant ces chairs si douces, si tendres à mon cur. Coupés du monde, étroitement imbriqués lun dans lautre, nous voguions tendrement vers la destination ultime, doucement mais aussi sûrement que la terre tourne, quaprès la nuit vient le jour, que lamour appelle lamour. Dans une symbiose parfaite, dans le même souffle, on arrivait enfin, laissant lorgasme libérateur submerger nos sens et nos corps tétanisés dans le même élan.
Ni elle, ni moi nétions pressés de nous séparer, continuant à nous caresser tendrement après avoir joui. Cest elle qui finalement rompit le silence :
- Jai vraiment joui ? Ce nétait pas un rêve ?
Je confirmais que sans aucun doute elle avait joui.
- Tu as aimé me voir jouir avec un autre homme ?
- Tu étais magnifique, sublime, je nai jamais rien vu de plus beau que lorsque tu as joui, les yeux écarquillés dans lextase, cétait irréel, irréel et magique.
Elle réfléchit un moment puis :
- Tu aurais aimé quil me prenne et quil me fasse jouir avec son sexe dans le mien ?
- Je ne sais pas mais te voir jouir est tellement exceptionnel que oui, oui, jaurais aimé.
Elle membrassa encore et encore puis :
- Je taime. Je ferais tout ce que tu veux. Même offrir mon ventre à ton copain si tu le voulais car je tappartiens.
A suivre
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