Visite Immobilière

Bonsoir,
je m'appelle Sandrine, j'ai trente ans, je suis marié depuis trois ans avec Pierre qui a 38 ans et que que je connais depuis cinq ans. Je mesure un mètre soixante dix, j'ai les yeux bleus je suis brune, une jolie poitrine 95 B., et un petit cul bien rond, et depuis que j'ai quinze ans, j'adore le sexe sous toutes ses formes.
Je voulais vous raconter une histoire qui m'est arrivée il y a deux semaines, en ce milieu du mois de mars ou il a fait si beau, presque l'été déjà. Et quand le printemps arrive ...
Je travaille dans une agence immobilière dans une petite ville de province dont je tairai le nom pour ne pas être reconnue, et je dois donc me déplacer assez souvent pour visiter ou faire visiter.
Cette fin d'après midi là, j'avais rendez vous avec deux hommes qui voulaient visiter une ancienne bergerie à retaper au milieu d'un champ, en pleine campagne. Ma patronne qui avait trouvé cette affaire n'était pas disponible ce jour là, (et puis, ce n'est pas une grosse affaire, j'imagine que ça l'intéressait que très peu de perdre la moitié de son après midi avec ça), ma patronne donc m'a demandé d'aller faire visiter et m'a donné toutes les explications pour trouver l'endroit. Je prends ma voiture pour aller au rendez vous sur la place de l'église d'un gros village pas très loin de l'endroit ou se trouve la bergerie ; je préfère que la première rencontre se fasse dans un endroit pas trop isolé pour des questions de prudence, d'autant plus que ce n'est pas fréquent que ce soit deux hommes qui visitent : d'habitude, c'est plutôt des couples, ou parfois des hommes seuls que leur femme envoie en reconnaissance. C'est pour cela que, quand le temps le permet, j'ai une façon bien a moi de m'habiller : une jupe courte, et un décolleté attirant, le tout recouvert par un manteau léger un peu long : quand j'ai un couple, je garde le manteau, surtout si je sens la femme jalouse. Par contre, quand l'homme est seul, je laisse volontiers le manteau dans la voiture, l'homme s'intéresse alors plus aux qualités de mon anatomie qu'aux défauts de la maison que je lui fais visiter ; parfois, il m'est arrivé de promettre de céder quand je sentais que ça pouvait aider à conclure l'affaire, mais je passe toujours à l'acte une fois le compromis signé !
Les deux hommes m'attendaient déjà dans leur petite voiture, deux hommes aux alentours de 45 ans, pas du tout des homosexuels comme je le pensais au départ : deux frères qui venaient de faire un petit héritage et qui voulaient placer dans une petite maison à retaper pour les vacances.

Les présentations faites, ils me proposent de me suivre dans leur voiture, et mous voilà parti sur les petites routes de campagne pour rejoindre cette sacrée bergerie. Mais des explications ne valent pas un bon plan ou une bonne visite par soi-même, et au bout d'un quart d'heure à tourner en rond, force est de constater que je n'arrive pas à trouver l'endroit. J'essaie d'appeler ma patronne à plusieurs reprises, mais elle est en rendez vous et elle a du couper son portable, je relis maintes et maintes fois ses explications que je montre aux deux frères qui ne comprennent pas mieux que moi, on tourne encore un petit moment et enfin mon téléphone sonne, c'est ma patronne qui me rappelle et qui me guide enfin vers le bon endroit : en fait on était passé devant, mais comme le bâtiment est en plein milieu d'un pré entouré de haies, on ne l'a pas vu.
Nous descendons de voiture et nous dirigeons à travers les prés vers la bergerie, en piteux état il est vrai, et pendant toute cette traversée, je sens le regard des deux frères vissé dans mon décolleté. Après en avoir fait le tour, nous essayons d'entrer, mais la porte est fermée à clé alors que ma patronne m'avait certifié qu'elle ne l'était pas. Tant pis, on rentre par une des fenêtres qui n'a plus de carreaux, et sous prétexte de m'aider, le plus jeune des deux frères en profite pour placer sa main un peu plus bas que le bas du dos et un peu plus longtemps qu'il n'était nécessaire !
Nous faisons le tour des pièces, ce n'est pas long à vrai dire, il n'y a pas grand chose, il ne reste qu'un lit, une petite table et deux chaises, une vielle gazinière et un petit meuble bas : visiblement, ce bâtiment a été habité il n'y a pas si longtemps que ça, ce que je profite pour souligner dans la conversation.
La ou les choses se sont gâtées, c'est quand j'ai eu cette phrase malheureuse à la fin de la visite : "voilà, on a fait le tour, il n'y a pas grand chose à voir, comme je vous l'avais dit c'est tout petit, je ne sais vraiment pas comment me faire pardonner de vous avoir fait tourner en rond aussi longtemps !"
je n'avais pas fini ma phrase que je réalisais mon erreur en voyant les deux frères se lancer un regard complice et le plus vieux de me répondre :
- "Nous on sait .
..", avec un grand sourire vicieux !
- "Pas tous les deux ... ?"
- "Ben si, pourquoi pas ?"
je les regardais tous les deux tour à tour, ils me semblaient bien décidés. J'ai senti mes jambes se dérober sous moi et je me suis assise sur la chaise la plus proche. Ils se sont alors approchés de moi et j'ai balbutié :
- "Par qui je commence ?"
Le plus jeune a ouvert sa braguette, en a sorti un chibre en train de prendre de la vigueur et a posé son gland à l'entrée de mes lèvres ; je n'avais plus qu'à ouvrir la bouche pour qu'il s'enfonce au plus profond de ma gorge. Prenant ma tête à deux mains, il commença à me donner le rythme en poussant des grognements rauques. Son sexe devenait de plus en plus dur et de plus en plus gros au fur et à mesure que je le pompais.
Mais pendant ce temps là, son frère ne restait pas inactif : il avait fait glisser mon gilet sur mes épaules sans défaire les boutons, puis les bretelles de mon soutien gorge pour pouvoir me peloter les seins tout à son aise. Puis il a sorti sa queue déjà bien dure, et il s'est mis à me caresser les seins avec sa bite et a m'agacer les tétons avec son gland. Je commençais à trouver la situation très excitante, et je prenais plaisir à sucer le plus jeune, défaisant entièrement son pantalon pour qu'il soit plus à l'aise. J'ai sorti les bras des manches de mon gilet pour pouvoir lui caresser les couilles en même temps que je le suçais et son grand frère à dégrafé mon sous tif pour me peloter plus facilement. Puis il s'est mis à genoux et s'est mis en devoir de remonter ma jupe, passant ses mains entre mes cuisses et remontant dans mon entrejambe vers ma chatte qui commençait à dégouliner, et moi, je lui facilitais l'accès en écartant les cuisses et en soulevant mes fesses pour qu'il puisse faire glisser ma petite culotte en dentelle. J'étais donc là, dans une bicoque ouverte à tous les vents, la jupe remontée jusqu'au nombril, les seins à l'air, en train de tailler une pipe à un type de quinze ans plus vieux que moi et que je ne connaissais pas il y a une demi heure, pendant que son grand frère titille mon clito avec sa langue et introduit sans difficulté deux doigts dans ma chatte grande ouverte !
Mais ce n'était que les préliminaires, les deux lascars ne comptaient pas en rester là : au bout d'un petit moment ponctué par les bruits de gorge de celui que je suçais et par les floc floc des doigts qui rentraient et sortaient vigoureusement de ma chatte maintenant trempée, ils me firent lever et me couchèrent en travers de la petite table, le cul tendu vers le frère que je suçais précédemment, alors que le plus agé faisait le tour pour présenter sa bite devant ma bouche ; Le plus jeune enfila un préservatif et sans plus de formalités s'enfourna jusqu'à la garde dans ma chatte béante.
Ses couilles battaient en rythme contre mon clito, ses doigts s'affairaient sur ma rosette, me pénétraient et me dilataient le cul et je ne tardais pas à avoir un premier orgasme... Mon baiseur se retira alors, posa son gland sur mon anus en m'enfila d'un seul coup jusqu'au plus profond de moi. De surprise, j'en eu le souffle coupé, coupé aussi d'ailleurs par le vieux qui profita de ce moment pour forcer mes amygdales. J'ai cru que j'allais mourir, embrochée par devant et par derrière en même temps et un nouvel orgasme m'a submergé, balayant toute douleur par une onde de bonheur...
Mon enculeur ne tarda pas à décharger dans mon cul en s'effondrant sur mon dos. Son grand frère décida alors de prendre sa place et entreprit de faire le tour de la table pour venir me prendre à son tour ; quelle ne fut pas ma surprise de voir alors à la fenêtre qui m'était cachée par le propriétaire de la bite que je suçais, un jeune homme en cotte de travail verte, sans doute l'agriculteur exploitant le champ dans lequel se trouve la bergerie, en train de se faire une branlette ! Personne ne l'avait vu arriver, sans doute attiré par les voitures garées à l'entrée du pré, il était venu voir ce qui se passait et avait l'air de trouver le choses plutôt à son goût. Le frère qui avait joui et qui retirait sa capote lui proposa :
-" viens donc t'amuser, elle est super bonne, c'est une vraie chienne, elle suce comme une reine !"
Il ne se le fit pas dire deux fois, il enjamba la fenêtre et je me retrouvais avec une troisième bite inconnue dans la bouche, en train de pomper comme une folle pendant que le vieux me défonçait le cul. Je ne sais pas combien de fois j'ai joui, pendant plus d'une heure ils se sont relayés dans mon cul et dans ma chatte, et quand ils avaient joui, il fallait que je les re-suce pour qu'ils reprennent de la vigueur pour retourner me défoncer. C'est la panne de préservatifs qui nous a contraint à arrêter ce petit jeu, et nous avons fini par regagner nos voitures après les formalités de visite.

Je n'ai pas eu de nouvelles depuis, la bergerie ne les intéresse-elle pas ou attendent-ils que le temps soit plus clément pour y retourner ? Je ne sais pas, mais j'aimerais bien y retourner, je n'en ai pas encore parlé à mon mari, mais si ça se fait, je lui proposerai peut être de venir ...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!