Épître À Une Jeune Femme Soumise (3/5)
Chapitre 3
Tu mets tes chaussures, et tu sors de lappartement. Je laisse ma porte entrebâillée, pour pouvoir te surveiller, et écouter ce qui va se passer. Je tadmire, de dos, pendant que tu te diriges vers la porte de mon voisin. Tes fesses rougies et quadrillées par les coups de cravache. Le bijou qui brille entre les deux globes fermes et serrés. Et cette démarche très sensuelle, qui rend ta nudité encore plus provocante. Jérôme, lui, va te découvrir côté face.
Tu passes devant lescalier, dans lequel résonnent des bruits inquiétants. Et si dautres voisins arrivaient ? Jimagine ton angoisse, et mes seins dardent de plus belle.
Tu appuies sur la sonnette. Jérôme nouvre pas immédiatement, prolongeant ton attente. Puis, la clé tourne dans la serrure, et il apparaît dans lembrasure. Un grand mec, au teint mat, et au torse de sportif moulé dans un tee-shirt noir. Il nen croit pas ses yeux
Une femme à poil, les seins et le clito pincés, rouge de honte
Cest la première fois que cela lui arrive !
- Bonjour. Vous êtes Jérôme ? Lui demandes-tu dune voix à peine audible.
- Euh
Oui.
- Je mappelle Laure. Cest votre voisine qui menvoie. Une petite brune, avec qui vous avez discuté dans le hall, et qui loue un appartement meublé à cet étage.
- Ah oui, je vois ! Elle sappelle Chloé, cest ça ?
- Oui.
- Elle mavait lair assez chaude, mais à côté de vous
samuse Jérôme, qui a retrouvé ses esprits, et te mate avec un air vicieux. Vous voulez entrer ?
- Non. En fait, je viens vous inviter chez Chloé. Elle voudrait que nous fassions connaissance.
- Faire connaissance
Je ne demande que ça ! Avec elle et avec toi Jérôme te tutoie déjà. Vous mavez lair de deux belles salopes qui ont le feu au cul. Je me demande laquelle est la plus chaude.
- Oh, moi, je suis la pute soumise de Chloé.
- Je vois. Tu vas être servie ! Je te suis.
Tu fais demi-tour, pendant que Jérôme ferme sa porte. Il découvre tes fesses rougies, le bijou calé dans ton petit trou, et il bande déjà.
Pour ton malheur, au moment où tu passes au niveau de lescalier, une voisine est en train de monter les marches, et tu passes devant elle, en fixant le sol pour ne pas croiser son regard. Les battements de ton cur saccélèrent. Elle va imaginer que tu es une prostituée, et jamais tu ne tes sentie autant humiliée.
Je taccueille avec un grand sourire, toute réjouie de ce que je viens de te faire subir, et je pose mes lèvres sur la joue de Jérôme, pour une bise qui finit sur sa bouche. Il se recule un peu, pour contempler ma robe, et surtout mon corps complètement visible à travers la maille.
- Bonsoir Chloé, dit-il. Merci pour cette invitation. Je ne sais pas si ce que Laure ma dit est vrai, mais si cest le cas
- Laure est ma salope soumise, et elle ne se permettrait pas de dire nimporte quoi. Elle te plaît ?
- Bien sur ! Autant que toi, si tu veux tout savoir.
- Tant mieux. Elle va nous servir à boire, pendant que je te parle un peu delle.
Nous nous asseyons tous les deux dans le canapé, et je te lance sur un ton sévère :
- Alors, salope, quest ce que tu attends ? Sors les verres et les bouteilles.
Tu texécutes les yeux baissés, et tu remplis nos verres. Pendant que nous discutons, je tai ordonné de te mettre à genoux, à côté de Jérôme, qui te pelote sans douceur. Même si cest depuis peu, je te connais, et je sais que ses caresses, associées à ta honte, te font mouiller, et tu es obligée de te mordre les lèvres pour ne pas gémir sous la morsure des pinces qui écrasent tes tétons et ton clito.
Je raconte au voisin comment je tai connue, la scène dans le bar pour lesbiennes, et ce que nous venons de faire ici.
- Tu as vu à quel point elle est douée pour lexhib ? Il y a une heure, elle était à poil sur le balcon.
- Ça, pour lexhib, je sais déjà. Tu aurais vu la tête de la voisine quand elle la aperçue
Il faut vraiment quelle soit salope, pour se montrer comme ça.
- Oh oui ! Si tu savais combien elle mouille, quand on la mate. Et il ny a pas que se montrer nue qui lexcite. Je lai fouettée avec une cravache, et elle aime.
- Tas pas du y aller de main morte, vu létat de son cul.
- Et en plus, telle que tu la vois, cette pute, elle vient de se faire fister. Maintenant, on va soccuper delle. Elle ma dit quelle aimait autant les mecs que les femmes. On va voir ça.
- Bonne idée, répond Jérôme en se levant, et en commençant à déboucler la ceinture de son jean.
- Si tu veux, pour te mettre en condition, elle adore sucer et faire des gorges profondes.
A quelques centimètres de tes yeux, tu le vois ouvrir sa braguette et baisser son slip.
- Oh mon Dieu, murmures-tu, en découvrant son énorme queue à demi dressée, tandis quil se met à poil aussi.
- Regarde Laure, tu en as de la chance ! Ce nest pas tous les jours que tu suces une bite de cette taille
Profites en. Montre à Jérôme ce que tu sais faire.
Je tempoigne par les cheveux, et je te force à approcher ton visage du long pieu, qui gonfle et sallonge à vue dil.
Tu oublies ta gêne et lhumiliation. Ta main, dabord tremblante, enserre la longue et épaisse tige, et tu poses tes lèvres sur le gland, que tu décalottes avec adresse. Je suis sure que tu nen es pas à ta première fellation, et que tu aimes ça ! Tu lembrasses avec tendresse, tu le caresses à petits coups de langue.
Tu lèves les yeux vers Jérôme, et tout en te mettant à le sucer avec avidité, tu suis sur son visage la montée du plaisir que tu lui procures. Comme toutes les salopes, ton regard se trouble, quand il se crispe sous leffet de lexcitation.
Tu pompes maintenant sa queue comme une forcenée. Tes joues se creusent, tant tu aspires son gland, en le titillant dans ta bouche, de la pointe de ta langue. Jérôme râle, les yeux fermés, luttant pour ne pas éjaculer. Mais avant de te repousser, il enfonce quand même son énorme bite jusquau fond de ta gorge.
Tu hoquettes, et tu finis par abandonner la partie.
- Quelle salope ! sexclame Jérôme. Jai failli décharger dans sa bouche, mais cest trop tôt.
- Tu as raison, lui dis-je. Je crois quil faudrait la punir.
- Daccord. Tiens la, pendant que je moccupe delle.
- Attends
Jai une idée
.
Je vous entraîne tous les deux dans la chambre, et je sors des cordes de bondage et des bougies.
- A toi de jouer, dis-je à Jérôme, en lui tendant les bougies, et un briquet qui traînait sur la commode.
En prononçant ces mots, je toblige à tallonger sur le lit. Jattache tes poignets aux barreaux de la tête de lit. Tes seins pointent vers le plafond, et tes cuisses écartées laissent voir les marques de cravache de la punition que je tai infligée tout à lheure. Ton corps est devenu hypersensible, et tu commences à pleurer, en silence.
Jai envie de tépargner, de te cajoler, mais ce nest pas le moment. Avec une corde, jentrave tes chevilles aux barreaux du pied de lit, en les écartant, de manière à ce que ta vulve soit accessible.
Lexcitation de Jérôme, elle, est à son comble, après cet incroyable début de soirée. Il se déshabille et rentre dans le jeu, presque naturellement. Cest un dominateur né, ou il a une grande expérience du bdsm. Sans doute les deux
Pendant quil allume une bougie de cire rouge, je détache les pinces qui écrasent tes tétons et ton clito. Ta poitrine te soulève irrégulièrement, au rythme de ta respiration haletante, et des sanglots que tu réprimes. Ton image est celle de lesclave sexuelle idéale, et lenvie de te soumettre à des s qui te feront jouir reprend le dessus dans ma tête.
Avec un sourire sardonique, Jérôme sapproche de toi, et sassied sur le lit, la bougie allumée dans une main. De lautre, il caresse ta chatte, écarte les petites lèvres, et il fait aller venir son majeur le long de ta fente entrouverte.
- Cest extraordinaire, me dit-il, elle mouille déjà. Elle devine ce qui lattend, et ça lexcite.
- Je te lavais dit. Cest une vraie chienne soumise. Vas-y !
Jérôme incline lentement la bougie. Une larme de cire brûlante se forme, sétire, et vient sécraser sur ton sein droit.
Tu hurles de surprise et de douleur. Je place mon index dressé devant mes lèvres, pour tintimer le silence, car je crains que de tels cris nameutent les voisins. Voire la police.
Alors, je fais signe à Jérôme dattendre, et je sors un bâillon boule dun tiroir. Je lis la panique dans tes jolis yeux verts, mais je place la boule dans ta bouche, et je soulève ta tête pour passer la sangle derrière ta nuque.
- Tu peux continuer, dis-je à Jérôme.
Je le regarde pencher à nouveau la bougie. Très lentement. Il sait faire durer ton attente et ton angoisse, comme ton excitation. Et une nouvelle goutte de cire tombe, sur ton sein gauche.
Tes cris sont étouffés, mais ton corps parle pour toi. Il se raidit, sarque. Tes reins se soulèvent. Des larmes roulent à nouveau le long de tes joues. Ce qui nempêche pas Jérôme de faire couler à nouveau la bougie, sur ton ventre, près de ton nombril.
Jattends que tu te calmes, et je détache brièvement ton bâillon, le temps de te demander :
- Tu aimes ça, ma petite salope ?
- Oui ma Maîtresse. Tu me fais découvrir un monde de douleur et de plaisir.
- Tu veux que Jérôme continue ?
- Oui. Ça fait horriblement mal, mais ça mexcite.
Je refixe le bâillon, et Jérôme amène la bougie au niveau de tes cuisses. Vers lintérieur, près de ta chatte, là où la peau est si douce et si sensible. La cire chaude sécoule de nouveau, sur ta cuisse droite, et presque aussitôt cette fois, sur ta cuisse gauche. Tu renverses ta tête en arrière, et tu te tortilles sur le lit, en fermant tes yeux.
- Elle me fait bander cette petite pute, commente Jérôme. Jai rarement vu une soumise aussi douée et aussi excitante.
Moi aussi, mon entrejambe est trempé. Je regarde avec envie lénorme bite, dressée à la verticale. Mais Jérôme nen a que faire, et il fait passer la bougie allumée au dessus de ton corps, cherchant sa prochaine cible.
Tout en me caressant, je frôle du bout des doigts ton petit bouton dardé, pointant hors de son étui. Tu tournes ton visage vers moi, et tu me regardes dun air implorant, de tes yeux verts remplis damour. Je te souris, et jécarte tes petites lèvres, entre lesquelles sécoule un flot de cyprine.
Moi aussi, je mouille de plus belle, et jenfonce directement, sans effort, trois doigts dans ta fente gluante.
Je commence à les faire coulisser dans ton fourreau, au moment où une nouvelle goutte de cire en fusion tombe de la bougie. Elle atterrit sur ton mont de Vénus, juste au dessus de ton clito, et tu pousses un cri de bête blessée, que ton bâillon nétouffe pas complètement.
Je sens les parois douces et chaudes de ton con se contracter brutalement sur mes doigts, pris comme dans un étau, serrés au rythme des spasmes de ton plaisir. Car tu jouis
Dautres gouttes de cire viennent se figer sur ta peau, presque au même endroit. Les élancements de douleur provoqués par les brûlures et les orgasmes se succèdent, en te faisant te tordre sur le lit.
Jérôme éteint la bougie, et la pose sur ma table de nuit. Lui et moi ressentons une excitation irrépressible. Nous avons tous les deux envie de baiser. Mais je veux tassocier à nos ébats, et pas seulement comme spectatrice.
Je glisse quelques mots tout bas à loreille de Jérôme, et il te détache. Mais cest pour mieux te garrotter, en tinstallant à genoux sur le parquet, cuisses écartées.
Je sors dun tiroir un uf vibrant, et je lintroduis dans ta chatte, avant de te libérer du bâillon boule, et de texpliquer :
- Jérôme va me prendre en levrette, juste sous tes yeux. Durant tout le temps pendant lequel je vais moffrir à lui, je vais mamuser avec la télécommande de ton uf. Tu ne jouiras que si je te lautorise, sinon tu seras châtiée.
Tu as écouté mon explication, sans manifester de réaction. Tu restes là, haletante, résignée, attendant la suite dévènements que tu ne contrôles pas, et je réalise à quel point tu mes totalement soumise.
Je magenouille, juste devant toi. Tu seras aux premières loges pour voir le braquemart de Jérôme menfiler et me pilonner.
Avant même quil me pénètre, je lance un court instant les vibrations de luf, et tu frémis.
Moi aussi, je suis affamée de sexe brut, de jouissance. Je me penche en avant et je me cambre, passant une main entre mes cuisses pour ouvrir grand ma fente avide. Je nattends pas longtemps. Je sens le gland de Jérôme forcer le passage de mes petites lèvres, distendre lentrée de ma grotte, sy enfoncer. Il progresse, distendant les parois de mon fourreau. Il me remplit, lentement, complètement, et je laccompagne de mes gémissements obscènes.
Jétais tellement concentrée sur ma pénétration que jen ai oublié de jouer avec ton uf. Je me ratt avec une série de courtes vibrations, qui te font gémir à ton tour.
Et Jérôme se déchaîne ! Lexpression "se faire démonter" ne ma jamais paru aussi juste. Il plonge sa bite dans mon minou, à grands coups de reins, et je suis obligée de me cramponner dune main à un pied de mon lit pour ne pas être déséquilibrée.
De lautre, je joue avec la télécommande, en synchronisant lintensité des vibrations de luf à celle de mes sensations. Jy parviens si bien, que nos cris montent dans les aigus, à lunisson.
- Je tinterdis de jouir, te dis-je entre deux feulements. Pas encore.
Nos vocalises excitent encore plus Jérôme, dautant que je contracte ma chatte autour de sa tige, spasmodiquement. Il cramponne mes hanches, et me baise de toutes ses forces.
Je te regarde. Je devine ce que tu éprouves, à travers les grimaces qui déforment ton visage. Tes lèvres humides sont entrouvertes, je vois ta langue remuer dans ta bouche. Tu souffres de ne pas pouvoir te toucher, de ne rien pouvoir contrôler.
Je nen peux plus. Je sais que Jérôme va bientôt décharger. Je veux que nous prenions notre plaisir au même moment, tous les trois. Je te crie :
- Jouis, salope ! Maintenant !
A cet instant, je sens le foutre de Jérôme inonder ma chatte. Un orgasme violent te fait hurler, et je viens aussi, en imaginant ce que tu éprouves. Je jouis autant de te voir te tordre de plaisir, nue, ligotée, que des coups de bite que Jérôme continue de me prodiguer, sur sa lancée.
Nous sommes épuisés, tous tes trois, et nous nous écroulons sur le parquet. Je trouve juste assez de force pour dénouer les cordes qui timmobilisent, et pour récupérer luf vibrant luisant de ta mouille qui glisse entre mes doigts.
Tes grimaces de douleur disent combien cette position inconfortable a été pénible pour toi, et combien les courbatures te font souffrir. Tu te détends difficilement, jusquà être étendue nue, haletante, sur le sol.
Je te contemple. Jadmire ton corps parfait, marqué par les coups de cravache, ta poitrine ronde et ferme qui se soulève, au rythme de ta respiration hachée. Et ces gouttes de cire figées sur ta poitrine, sur tes cuisses, et sur ton ventre. Tu es encore plus désirable, attendrissante.
Je me rapproche de toi, et je viens te chevaucher, sur ton visage. Des flots de cyprine et de sperme continuent de sécouler de ma fente, rougie par les allers et retours de lépaisse verge de Jérôme.
- Bois, salope, te dis-je. Lèche moi. Je veux que tu boives ma mouille et le foutre. Tout !
Je sens ta bouche se coller contre mon petit abricot, le dévorer. Tu ne te fais même pas prier. Tu bois, aspire, ta langue sactive dans ma fente, sur mon clito. Jusquà aller recueillir les dernières gouttes dans mon con qui palpite encore.
Petit à petit, nous sommes revenus à nous. Jai proposé à Jérôme un dernier verre, sur ma terrasse, et je tordonne de nous servir. Il fait maintenant nuit. Tu texécutes, toujours nue, sans la moindre réticence, et nous admirons ta soumission, parfaite.
Tout en sirotant nos verres de vodka, Jérôme me parle dun club libertin en Allemagne, tout proche de la frontière, qui héberge des soirées bdsm, et il se propose de nous y emmener.
Tu baisses les yeux, presque honteuse, mais les pointes de tes seins qui se dressent soudain te trahissent. Et jai envie de faire cette expérience, autant que toi. Avec toi.
Je ne suis pas libre le lendemain soir. Une soirée organisée par lentreprise qui memploie, dans un restaurant de la région. Mais je me mets daccord avec Jérôme : ce sera vendredi soir.
Quelques instants plus tard, Jérôme prend congé, et nous nous retrouvons toutes les deux.
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