Humiliée Par Un Jeune Homo (Suite) - Le Lendemain Chez Paul

Le lendemain matin, je me réveillais dans le lit de Paul. J'étais très gênée et un peu honteuse. Il était beaucoup moins charmeur au réveil avec son front dégarni et sa bedaine. Prise de panique, je voulais m'enfuir.

Au moment où je commençais à bouger et relever la couette, il ouvrit les yeux et me sourit, je ne savais pas quoi faire. C'est alors qu'il tourna et me coinça le bras sous lui. Il continua à m'attirer vers lui et m'embrassa. Je résistais un peu mais sa langue trouva facilement le chemin vers la mienne. Et comme la veille, son baiser était si doux que je m'y abandonnais cessant toute résistance. Il colla son ventre au mien et sa main vint me caresser le sexe.

Là encore, très vite je commençais à mouiller. Pas râgoutant pour un sou, mais un amant hors norme. Il pressa ma tête de son autre main et je me retrouvais sous la couette son sexe dans la bouche qu'il faisait coulisser comme s'il me prenait. D'ailleurs, je savais qu'il n'allait pas tarder à le faire. Il m'allongea et là stupeur, il descendit jusqu'à mon entrejambe et me fit un anulingus.

J'étais affolée, tant les souvenirs de la veille était encore présent et m'horrifiait. Mais, sa douceur vainquit à nouveau mes réticences. Il pénétrait mon anneau de sa langue humide et je ne sentis même pas qu'il avait introduit ses doigts dans mon vagin puis dans mon cul. Une double pénétration en somme mais au combien plaisante. Puis, il m'encula profondément.

Le voir me besogner, les jambes sur ses épaules, son ventre arrondi venant heurter mon bassin à chaque coup de boutoir m'excitait tant que je finis par jouïr par derrière. Et il se déchargea très vite dans mes tréfonds. Je me sentais humiliée, mais comblée à le fois. Il me dit qu'il aimait beaucoup me faire l'amour, et que je devrais plaire à beaucoup de gens. Je souris et il me demanda alors si je voulais essayer. Je ne comprenais pas. Il me dit alors que parmi ses connaissances, de nombreux « vieux » aimeraient se faire une « jeunette » comme moi et que comme visiblement je prenais mon pied avec lui, cela pourrait être très sympathiques pour chacune des parties.

Je ris. Jamais, je n'avais pensé m'offrir ainsi. Mais, je ne sais pas pourquoi, je ne dis pas non. Il en conclut que c'était oui et qu'il me rappellerait, si je souhaitais toujours le revoir. En disant cela il avait l'oeil malicieux.

Je ne sais pas pourquoi, mais cette fois je lui dis oui, que je voulais bien le revoir. Dans ce cas, à très bientôt conclut-il avant que je ne parte après m'être douchée. A suivre...