Baise En Forêt



Belle au bois dormant


Le matin de ce juillet était chaud, mais l’envie de faire le tour du domaine de mon oncle me prend,et ce afin de revivre les souvenirs des vacances de printemps que j’ai passées dans ce territoire.
De bonne heure j’ai sellé un cheval et j’ai pris le chemin du bois afin de profiter au maximum et seul de la campagne de notre cher Maroc, et spécialement la région de Fès.
Il faisait un temps merveilleux,il ne faisait pas encore chaud,sur le chemin il y avait les bergers et bergères qui conduisaient leur troupeau vers la prairie à la lisière de la forêt,il y aurait peut être une qui pourrait avoir besoin d’une aventure moi j’ai pris le chemin du ruisseau pour pouvoir remonter ensuite à travers le bois,j’ai longé le ruisseau sur une grande distance ,je me suis arrêté pour pouvoir admirer la beauté de l’eau qui descendait des hauteurs du Moyen Atlas ,et aussi pour pouvoir regarder les plantes aquatiques qui ornaient les rives de ce grand ruisseau. Je suis descendu de cheval et j’ai marché un peu le long du ruisseau m’approchant le mieux que je peux pour pouvoir voir de près certaines plantes intéressantes, j’en ai cueilli quelques unes, j’ai passé une heure à flâner sur les rives du ruisseau Ensuite je suis remonté à cheval et je me suis engouffré dans la forêt.
Avant d’arriver j’ai vu,de loin,une fille qui scrutait la forêt,je me suis approché et j’ai vu finalement qui c’était ,c’était Fatiha ,oh quelle rencontre inespérée !!!,elle me reconnut et elle vient à ma rencontre ,c’était là que nous avons fait notre première rencontre,elle s’est suspendue a mon cou,me couvrant de baisers,elle était contente de me revoir. Elle est toujours belle,la même fille depuis notre dernière rencontre,sans maquillage,sans artifice, une innocente fille de la campagne, qui ne cherche qu’à assouvir son instinct sexuel du à son âge.


La cachette dans le fourré était encore debout, j’ai attaché le cheval et j’ai suivi Fatiha à l’intérieur, elle a refermé avec des branchages, étendue la natte, enlevé sa robe et s’est étendue, toute nue, quel monument, quel beauté, toujours la même et quelle innocence ;
Je me suis étendu à côté d’elle et on s’est enlacé dans un baiser interminable, elle m’a dit :
Je savais que tu venais au mariage de la cousine, j’avais le sentiment que tu passerais par là, au moins pour te souvenir de nos rencontres du printemps ;je lui ai répondu :je ne suis pas venu par hasard,c’est que moi aussi j’avais l’intention de te chercher , on a commencé à nous caresser, et ma verge a réagi, je venais d’avoir une érection,Fatiha a commencé a me lécher comme une louve , elle a commencé par mon torse et elle est descendu petit à petit vers mon ventre et ensuite elle arrivée à mon entrejambe, elle a pris mon phallus en érection et elle l’a embrassé en disant viens mon bel outil de jouissance et elle l’a gobé,elle a commencé une fellation qui m’a transporté vers le paradis,oh que c’était délicieux, elle a continué a sucer ,j’étais sur le point de jouir,je l’ai arrêté, je l’ai basculée et j’ai commencé a lui téter les nichons ,elle grommelait d’excitation, j’ai laissé mes mains sur ses nichons et je suis descendu en léchant tout son corps ,en arrivant a son entrejambe j’ai écarté les cuisses et je me suis attaqué à son minou, il était récemment rasé, j’ai engouffré ma langue entre les lèvres et j’ai commencé à lécher, elle criait de plaisir, elle poussait des AH ,tout en m’agrippant la tête et en l’enfonçant entre ses cuisses, elle serre les cuisses et crie,mon visage est inondé de cyprine, Fatiha vient de jouir, elle se relâche et laisse tomber ses mains en croix, je monte sur elle et je commence à l’embrasser, elle se rend compte et lève haut les jambes, je profite et je lui pose le gland de mon chibre à l’entrée de son minou ,elle m’enlace avec ses jambe et me fait pénétrer en elle,que c’est chaud et douillet, j’ai commencé mes va et viens elle me disait oh oui vas y vas y que c’est bon et moi je faisais ça doucement ,je n’étais pas pressé, elle haletait,elle respirait péniblement tout en gesticulant comme quelqu’un qui se noie ,elle pousse un soupir et s’arrête elle vient d’avoir un second orgasme, je me suis retiré d’elle et je lui ai demandé de se mettre a quatre patte ce qu’elle fit avec plaisir, elle met sa tête sur la natte et sort le cul,quel vue magnifique, elle écarte les jambes, je lui mets le gland et elle recule et elle happe mon chibre ,en moins de rien il était dedans ,elle bougeait se trémoussait, moi je ne faisais rien ,elle avait un plaisir énorme a se faire baise de cette façon, je l’ai prise par les hanches et je suis allé le plus profond que j’ai pu,elle a crié mais de plaisir,j’ai accéléré mes mouvement,j’ai senti la sève monter,mon corps tremblait ,mes dents grinçaient,et j’ai joui sauvagement ,j’avais sorti ma verge éjaculé un torrent de sperme sur ses fesses,et je me suis effondré sur elle .
On est resté collé pendant cinq minutes. Après elle se lève et elle met sa robe et elle va voir son troupeau, je suis resté nu à l’attendre,elle a fait un tour et elle est revenue au bout de cinq minutes, je lui dis d’enlever sa robe elle le fait et elle s’étend à coté de moi, je lui dis j’ai encore envie de toi, elle m’embrasse et on a commencé à se caresser ce qui a fait que j’ai une érection, je lui dis que j’ai envie de lui faire le cul, elle me dit qu’elle avait envie elle aussi mais qu’elle n’avait pas apporté de beurre, je lui dis pas besoin, j’ai ce qu’il faut ,j’ai sorti de ma poche un tube de lubrifiant,elle se tourna et se mit à plat ventre,elle à cambré son cul,et a écarté les lobes de ses fesses , j’ai mis de la vaseline sur son trou de cul et j’ai introduit un doigt pour mieux lubrifier ,elle a sursauté, j’ai mis un deuxième doigt et elle a lancé un soupir,j’ai mis un peu de lubrifiant sur ma verge et j’ai mis le gland sur la rosette,celle-ci a réagi en s’ouvrant et se refermant,j’ai appuyé un peu et le gland a disparu, j’ai poussé et tout est allé d’un seul coup,mon chibre était happé par ce trou de plaisir, arrachant à la pauvre Fatiha un cri de douleur qui s’est vite estompé ,se transformant en râles de plaisir,malgré la canicule de juillet , le fourré,où nous étions,était frais par l’air continu qui se déverse entre les branchages,c’était climatisé nature ;j’ai continué à pomper doucement avec des allers et venues au ralenti,savourant le plaisir intense qui se dégage de cette enculade champêtre,la fille m’aidait avec ses gémissements à réveiller les instincts débiles,elle savait s’y faire,elle savourait le plaisir a petite dose comme s’il s’agissait d’un nectar rare ;je lui ai relevé le derrière de façon a l’avoir en levrette,je me suis retiré d’elle et j’ai admiré la beauté de cette croupe saillante,je me suis approché ,je l’ai pénétré par le chatte histoire de mouiller mon chibre et je me suis remis au cul,j’étais sur le point de finir,je l’ai prise par les hanches et je suis allé d’un seul cou dans le trou du cul,elle pousse un gémissement long et fort,j’ai continué a la besogner,j’ai ma main en dessous et je lui ai titillé le clitoris,elle pousse de plus en plus de gémissements,à un certain moment j’ai senti que son sphincter m’enserrait la verge,elle a tremblé et elle s’est relaché avec une expiration, elle venait d’avoir un orgasme,en même temps j’ai commencé à aller plus vite tout en tenant bien la croupe,j’ai senti mon corps trembler et j’ai senti la remontée de la sève,c’était la jouissance qui arrivait en trombe,j’ai joui dans le cul,j’ai lâché trois bons jets de foutre et je me suis effondré sur la fille qui s’était allongé ,je suis resté fiché en elle,nous étions en sueur produit de l’effort fourni a la fin de l’acte sexuel.
le fourré sentait le sexe ,ça sentait le cul et le foutre,un parfum de baise. On est resté étendu dans cette position longtemps avant qu’on ne soit réveillé par l’aboiement des chiens bergers de Fatiha, on s’est levé et on s’est rhabillé, elle est allée voir, c’était les chiens qui avisaient que quelqu’un passait par là, c’était une fausse alerte ,Fatiha est revenue rassurée, je suis sortie ,on s’est dit au revoir et j’ai pris mon cheval et j’ai entamé ma chevauchée vers la ferme. Fatiha m’a suivi longtemps avec les yeux…Je me suis dit il faudra que je revienne un autre jour à ce bois, voir la belle au bois dormant…………….. !!




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