Une Partie Carrée... La Suite
Le café fut vite bu. Le baiser avec Frédérique me laissait un goût de reviens-y entre les lèvres. Ce fut pourtant Simon qui prit les devants. Assis à côté de moi sur le canapé, il posa sa main sur ma cuisse droite et la fit glisser jusquà ma chatte. Marc regardait et je remarquais que sa queue se redressait à la vue de cette main glissante. Frédérique la remarqua aussi et, sans hésiter, lavala avec ce qui semblait être délectation.
Simon en profita pour me caresser le clitoris et me sucer les tétons. Cela eut pour effet immédiat de les faire se dresser et me refaire mouiller de plus belle. Je saisis sa bite de ma main droite et me mit à le branler. Il était de nouveau bien dur. Sa bite était ferme, un peu plus massive que celle de Marc, un peu plus courte. Son gland était joufflu, comme une cerise gorgée de soleil. Ses doigts jouaient avec ma chatte. Je basculais la tête en arrière pour me laisser aller au plaisir, tout en branlant ce nouvel amant. Jécartais mes cuisses sous ses caresses et il profita de la béance pour faire pénétrer, un, puis deux, puis trois doigts. Il me fouillait, jécartais encore plus les cuisses et sans effort, sa main entière fut absorbée.
Cétait la première fois que je me faisais fister et cela déchaina un orgasme monstrueux. Il fourailla ma chatte pendant un temps qui me sembla infini. Puis tout aussi soudainement quil était entré, il retira sa main et me donna ses doigts à lécher. Jétais dans un état second. Je remarquai alors que Frédérique sétait assise sur Marc et quelle allait et venait autour de sa queue. Elle lui tournait le dos, avait posé ses pieds sur les cuisses de mon mari et je vis alors quil lenculait. Elle offrait sa chatte à nos regards. Jétais émerveillé par la scène. Simon me passa alors un bras autour des épaules et me fit asseoir sur lui. Sans men rendre compte, je mempalai sur sa queue. Il me prit par la taille et se mit à onduler violemment du bassin.
Le temps semblait sêtre arrêté. Nous baisions comme des fous, nos cris se mélangeaient à nos baisers et nos caresses. Je jouissais en continue, passant dune vague à lautre. Javais la chatte en feu. Je voulais maintenant sentir le sperme de Simon. Je sortais alors sa queue de mon minou, arrachait la capote et me mis à branler ce chibre tout en en léchant le gland. Au bruit de lenculade de Frédérique, je devinais que la jouissance ne devait pas être loin non plus. La puissance du jet de Simon me surprit et méclaboussait le visage. Jeu le temps de reprendre la queue dans ma bouche pour recevoir le reste du sperme au fond de la gorge. Je pompais violemment pour arracher les dernières gouttes, comme sil sagissait dun grand cru.
Marc éjacula dans la capote, au fond du cul de Frédérique. Les deux amants retombèrent de fatigue, lun à côté de lautre, mais elle en profita pour lui enlever le préservatif et lui caresser la bite comme pour la remercier du plaisir quelle venait de lui donner. La soirée tirait à sa fin. Nous étions tous les quatre épuisés, mais dune fatigue merveilleuse, de tant de plaisir et de jouissance. Cela ne faisait que préfigurer les nombreuses autres parties fines que nous aurions ensemble, tout en élargissant le nombre de nos amis, mais cest une autre histoire
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