Vendue À Henri Par Paul
Paul m'avait recontacté pour nos petites affaires. Je ne l'avais pas revu depuis la dernière fois. J'étais très gênée. Autant, il était presque repoussant, autant, chaque fois que nous avions fait l'amour ensemble, j'avais été comblée. Cette fois, le rendez-vous était un restaurant. Je n'avais pas envie d'y aller mais m'y rendis quand même finalement. A ma grande surprise, Paul était accompagné d'un autre homme qu'il me présenta comme un ancien collègue. Effectivement, Henri était grisonnant un peu bedonant aussi. Son ventre gonflait sa chemise et quelques poils apparaissant entre les pans de la chemise qui avait du mal à rester entièrement dans son pantalon. Quand je m'assis, il dit à Paul que j'étais encore plus jeune et plus jolie que dans les descriptions que Paul lui avait faite de moi. Nous mangeâmes et burent beaucoup. Beaucoup trop pour moi car je les suivis à l'hôtel.
Là, Paul fit quelque chose qui me surprit rofondément et me choqua. Henri lui glissa quelques billets dans la poche puis Paul partit, me laissant seule avec Henri. Il m'avait vendu. Trop estomaquée, je rentrais dans la chambre. Henri entra avec moi et ferma la porte à clef. Il me dit : « A toi de jouer maintenant. Au travail. » Il se déshabilla sans attendre. Son ventre proéminent était gonflé comme un ballon, il ne pouvait plus voir sa queue frippée qui pendouillait entre ses jambes décharnées. Il avait dû être musclé, mais ses pectoraux n'étaient plus qu'une masse de chair flasque, comme des seins mous. Pourtant, j'acceptais mon sort. Je me mis à genou et pris sa queue entre mes mains avant de l'introduire dans ma bouche. Elle sentait l'urine, c'était horrible. « Continue ma petite salope dit-il ». Ces mots crus me firent monter les larmes aux yeux. En même temps, je commençais à mouiller. C'est ce qui m'horrifiait le plus. J'éprouvais du plaisir au fond de moi. Il commença à bander. Je retirais mon jean et ma culotte et me mis à quatre pattes sur le lit en chaussette.
Enfin, exténuée, je pus aller me doucher et je me sauvais.
J'allais directement chez Paul pour m'expliquer avec lui. Je le trouvais dans son salon vêtu d'un peignoir. Je lui décrivis ce qui s'était passé. Il me sourit, en me disant : « Mais finalement, tu as aimé, c'est ce qui compte. » Les larmes me vinrent aux yeux. « Comme ce qui va se passer maintenant. » Sur ces paroles, il m'atira vers lui, m'embrassa. Et comme à l'accoutumée, je jouis quand il me sodomisa...
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