Chez Ma Copine Françoise (Début)
Ma copine, moins âgée que moi dun an habite elle aussi encore chez ses parents.
Ils sont mariés depuis maintenant une dizaine dannées et sont très amis à ma mère et mon beau-père.
A cause de leur coté trop religieux, cétait seulement la deuxième fois que je venais passer quelques jours chez eux.
« Tes parents sont là ? » ai-je demandé à Françoise.
- heu...oui. Mais ils partent à une retraite spirituelle demain matin pour quatre jours.
« Ah ! Au moins on aura quatre jours pour séclater avant que le calme plat ».
Puis repartirent les rires.
A quelques minutes de chez eux, Françoise fit une remarque.
- Elle est vraiment trop cool ta jupe...mais tu ne pourras pas passer inaperçue avec ça le jour de ton arrivée. Ils tattendent !
« Bien, il faut que je me change avant. Les pantalons sont toujours admis ? »
- Oui mais fais vite, je vais trouver un endroit bien pour que tu puisse te changer rapidement.
« Ne ten fais surtout pas, tu peux continuer à rouler. Seulement, vas-y molo »
Je me retournai pour prendre mon sac sur le siège arrière et y pris un pantalon assez correct.
Après lavoir déplié et apprêté, jôtai tout bonnement ma jupe et commençai à enfiler ce qui est assez correct pour rentrer chez les parents de Françoise...toujours sans rien en dessous.
Elle nen revenait pas.
- Ne me dis pas que tu as fais tout ce voyage pratiquement nue...
« Si...et encore tu ne sais pas tout ! »
- Fais vite, tu risques de te faire voir et puis on arrive là!
Elle ralentissait pour garer sa voiture devant leur portail quand je mettais mon dernier bouton.
- Comme tu as grandie Bélinda ! » me dit sa mère en me serrant contre elle.
Son père posa un baiser sur mon front en répétant la même chose.
Françoise me tira par la main :
- Tu dois être fatiguée par le voyage, viens te débarbouiller.
Une fois la porte de sa chambre fermée, jenlevai mon pantalon et mon haut pour me retrouver à poil avant de me jeter sur lun des deux lits.
- Mais tu es folle ! Ma mère rentre toujours dans ma chambre sans prévenir. Tu ferais mieux de filer sous la douche.
Je mexécutai en pensant que leau fraîche me ferait du bien dailleurs, surtout après ce voyage...sublime.
Je restai seule et je pris un bain très relaxant. Quand je descendis au salon, les parents de Françoise prirent des nouvelles des miens avant de nous laisser pour se rendre chez le curé.
- Voilà ! Tu es libre de redevenir toi même avant quils ne reviennent. Ils en ont pour une heure environ.
« Mais jai lintention de rester une sage jeune fille ! » dis-je en riant.
Nous nous sommes racontées nos aventures, nos joies, nos peines et nos facéties.
Il devait être 18 heures quand on entendirent les parents ouvrir le portail.
Françoise enleva rapidement ses vêtements y compris ses dessous, puis enfila une grande robe. Elle me demanda si je nallais pas faire comme elle. Javais oublié quelle pouvait devenir aussi folle que moi quand elle sy mettait.
Je portai moi aussi une grande robe sans rien dautre que ma peau en dessous et nous descendîmes à la rencontre des deux saints qui venaient de rentrer au salon.
Françoise me lançait des regards lubriques de temps à autres et cela menvoyait chaque fois une décharge dadrénaline.
Sa mère entra en cuisine pour préparer le dîner tandis que son père monta dans sa chambre.
Une fois seules au salon, Françoise sapprocha rapidement de moi et membrassa sur la bouche en me caressant mes seins. Puis elle alla retrouver sa mère dans la cuisine. Jétais complètement aux anges et je voulu aller plus loin quelle dans le risque.
Je me demandais bien ce que je pourrais inventer cette fois. Puis sans trop grande conviction, je montai dans notre chambre. La porte de celle des parents faisait face à la notre et cela me donna une idée. Cétait risqué mais tentant.
Jentrebâillai la porte et massurai quon me verrait de lautre chambre.
Je dû patienter cinq bonnes minutes dans cette posture avant dentendre la porte des parents de Françoise souvrir...
Je commençai à enfiler le slip lentement comme si je navais rien entendu. Cétait le silence derrière moi. Je me redressai en me retournant et fis semblant de seulement remarquer maintenant que ma porte était entrouverte. Je mavançai vers elle pour bien la fermer mais javais vu le père de ma copine.
Sans montrer que je le voyais mobserver, jarrivai à la porte et cest quand je la saisie que je sursautai comme si cétait maintenant que je voyais quon mobservait.
On resta deux délicieuses secondes à se regarder puis je reculai en refermant.
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