La Veuve Noire

Jeanne, 25 ans a perdu son mari dans un accident de voiture depuis 6 mois. Le couple était sans complexe et avait une vie sexuelle intense. Veuve à 25 ans était dur à supporter et Jeanne avait souvent des envies de baise. Alors elle se contentait de se masturber au moins le soir. Elle se déshabillait avant d'aller se coucher: Une fois nue, elle se caressait les seins devant la glace et excitée elle mettait sa main droite sur son bas ventre. Sa main gauche venait se placer en haut de ses lèvres qu'elle écartait pour faire ressortir son clitoris et avec trois doigts de la main droite qu'elle mouillait avec e la salive, elle se caressait le bouton. Si l'envie était trop grande elle ajoutait à sa main le godemiché que lui avait offert en cadeau son mari pour la Saint Valentin. Pour se faire du bien elle se couchait écartait ses cuisses et lentement se baisait seule. elle faisait durer le plaisir et après un orgasme recommençait pour en avoir d'autres.
Vivre sans avoir de queue à se mettre dans l'abricot devenait de plus en plus dur. Heureusement pour elle sa meilleure amie, Maïté, se préoccupait de son état d'esprit. Un jour Jeanne lui avouait qu'elle manquait de sexe et que la masturbation c'était bien mais un partenaire serait mieux. Maïté cherchait parmi ses relations laquelle pourrait convenir à Jeanne. Elle ne connaissait personne qui puisse être discret. Elle ne trouvait pas qui.
Le lendemain de l'aveu de Jeanne, Maïté qui avait réfléchi à la chose n'avait trouvé qu'une seule solution: convaincre Jeanne que de temps en temps elles pourraient se caressaient ensemble. Quelques caresses entre filles, ce n'était pas extraordinaire à l'époque où nous vivons. en plus c'était sans risque.
Maïté allait voir son amie un soir et lui donnait son avis sur le plaisir qu'elles pourraient retirer ensemble. Elle insistait tant et tant que Jeanne convenait avec son amie que finalement ce serait une bonne formule de remplacement. Les deux femmes étaient très ignorantes du lesbianisme et se disaient qu'après tout elles apprendraient bien toutes seules.


Maïté peut être plus entreprenante que Jeanne l'embrassait sur la bouche. L'ambiance était telle que Jeanne répondait: leurs langues se battaient pour venir dans la bouche de l'autre. Ce simple baiser les excitait tant que Jeanne demandait sans honte à Maïté de lui mettre la main à la chatte. Maïyé avait justement envie de branler son amie et n'hésitait plus du tout à passer une main entre les cuisses ouvertes: elle atteignait enfin le bouton source de plaisir charnel. Elle branlait doucement son amie qui prenait son plaisir en lui décrivant les sensations qu'elle avait. Jeanne allait jouir et l'annonçait: Maïté dosait ses caresses pour que l'orgasme soit à la hauteur de ce qu'attendait son amie. Brusquement Jeanne se crispait en disant: je jouiiiiiiis, ce qui ne lui était plus arrivé depuis son veuvage.
Maïté excitée par ce qu'elle venait de faire et qui mouillait depuis le début voulait que ses caresses lui soient rendues. Jeanne à son tour mettait une main au panier passait depuis le périné jusqu'à trouver le clitoris et le branlait. Maïté jouissait bruyamment comme Jeanne. Elles arrêtaient là pour la journée. En partant au lieur d'échanger un baiser amical, elles s'embrassaient sur la bouche, comme deux amantes. Elle devaient se revoir le lendemain soir.
La nuit et la journée étaient longues tant tour l'une que pour l'autre. Même éloignées elles se branlaient en pendant à ce qu'elle allaient faire. Enfin Maïté revenait et Jeanne l'accueillait en l'embrassant sur la bouche: elle ne portait sur elle qu'un mince peignoir de soie transparent qui montrait largement ce que la morale cache. Elles allaient se mettre sur le divan et s'embrasaient comme des amants. Jeanne sans honte ôtait son vêtement et commençait à déshabiller Maïté qui se laissait faire. Enfin nues elles se serraient l'une contre l'autre: Maïté posait une cuise sur celle de Jeanne et offrait son con. Jeanne en profitait pour lui caresser le bouton d'amour. Maïté en faisait autant et les eux femmes se branlaient ensemble.
Les orgasmes se succédaient.
Elles échangeaient leurs impressions de leur baise et elles en déduisaient qu'elles pourrait sans doute aller plus loin. Le plus loin pour elle était non pas une branle commune mais se sucer et être sucer. Pour celà une seule solution: le 69.
Bien qu'elles aient pratiqué le 69 avec un homme elle ne l'avait jamais fait entre femmes. Mais avant il leur fallait être encore plus excitées. Jeanne allait chercher son godemiché et voulait baiser Maïté avec. Elle se laissait faire mettre dans le con ce jouet. Jeanne avait prit la bonne cadence et faisait jouir sa compagne elle même en était excitée. Enfin elles se mettaient en position pour le 69. Jeanne se retournait la tête au pied et enjambait Maïté. Le con presque sur son visage elle passait sa langue le long de la fente pour accéder au clito. Jeanne de son coté posait ses seins sur le ventre de son amie et penchait sa tête pour aussi aller sucer le con de l'autre. Elle jouissaient. Brusquement une envie prenait Jeanne: elle aurait voulue que Maïté la suce en l'encule avec le gode: la sodomie faisait partie de ses habitudes. Maïté n'osait le proposer et c'était avec plaisir qu'elle enfonçait le jouet dans l'anus de Jeanne. Evidemment l'orgasme suivant était plus fort. Jeanne jouissait formidablement bien.
C'était au tour de Maïté d'avoir le cul occupé. Jeanne la suçait et l'enculait en même temps: le nirvana assuré.
Au bout de quelques semaines il manquait aux deux jeunes femmes une véritable bite. Elles furetaient de droite et de gauche quand Maïté trouvait enfin un homme capable de les baiser ensemble: pourquoi ne pas demander à une collègue ? Dès le lendemain d'une baise particulièrement agitée Maïté allait sans aucun scrupule demander directement et sans fard s'il voulait participer avec une autre femme à une bonne baise ?
Aucun homme de résiste à une telle demande et le lendemain il arrivait chez Jeanne. Une surprise l'y attendait les deux femmes nues ouvraient la porte et s'embrasaient.
Sa bite se mettait à bander et bien sur les filles voyait la bosse sous le pantalon: il en fût vite débarrassé ainsi que le reste. Jeanne lui prenait la queue entre les main et d'en servait comme d'une laisse pour le guider vers le divan. Les deux femmes le violaient presque. Il devait servir à leur foutre la pine dans le con. Aussi elles le ménageaient pour le réserver à la suite des réjouissances. Pour lui montrer qu'elles savaient se donner du plaisir elle pratiquaient devant lui un 69, avec des doigts dans le cul. Ce brave homme prenait déjà sa bite en main et se branlait.
Ce n'était pas du jeu: s'il voulait jouir il fallait qu'elles lui en donne l'autorisation. Il était malheureux, sa queue était de plus en plus gonflée et il ne pouvait rien faire pour se satisfaire. Enfin les filles se préoccupaient de lui: Maîté lui prenait les couilles pour les caresser et Jeanne ouvrait la bouche et lui prenait la bite. Elle se servait de ses lèvres comme d'un véritable sexe. Sa langue allait caresser le gland et elle avalait la presque totalité de la pine. Pendant leur manège les deux filles continuaient à se branler en solitaire. Jeanne veillait bien à ne pas faire gicler cet homme. Les désirs les plus fous animaient les deux femmes. Maïté qui avait découvert cet amant voulait être baisée la première.
Elle venait sur lui et se mettait la queue dans le con. Jeanne lui mettait une main entre les fesses pour aller découvrir la pénétration. Elle en profitait pour mettre un doigt dans le cul de son amie. Celle-ci ne résistait pas longtemps et jouissait rapidement. Elle se retirait et Jeanne venait lécher la bite encore pleine de sperme et de mouille.
Jeanne avait elle aussi envie d'avoir en elle la bite de cet homme. Elle l'excitait doucement et arrivait à faire bander encore cette queue. Elle aimait être couchée pour jouir: elle s'allongeait sur le divan et enfin il venait sur elle. elle dirigeait la bite vers son vagin et d'un seul coup de rein elle avait en elle l'objet de sa convoitise.
Il fallait plus de temps pour que le sperme jaillisse, quand ce fût le cas c'était Maïté qui venait récolter le sperme et la mouille de son amie.
Si elles se voyait tous les jours, l'homme n'avait le droit de venir que le samedi soir.

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