Chez Ma Copine Françoise (Suite)
Quinze minutes plus tard jétais en bas après avoir pris le soin de me mettre nue sous ma robe, et Françoise me demandait ce que je faisais tout ce temps.
« Laisse tomber, tu me croirais pas »
- Bof... je sais que tu nas pas grand-chose à te mettre sous la dent ici, alors arrête de faire la mystérieuse.
- On passe à table, les s ! Monte appeler ton père Françoise, il a du sendormir.
Pendant que Françoise prenait les escaliers pour avertir son paternel, jespérais de tout mon être quelle le trouverait entrain de se branler.
Mais cétait trop beau...elle le croisa dans lescalier et ils descendirent en semble.
Le dîner se passa calmement et les parents montèrent se coucher juste après car ils partaient tôt le lendemain.
Quand à nous, cest une fois la vaisselle finie que lon monta se coucher.
Françoise et moi étions nues sous la même couverture...donc dans le même lit.
« Tu nas plus peur que ta maman chérie te surprennes ? »
- Elle ne sort plus de sa chambre une fois quelle a souhaité bonne nuit.
Pendant plus dune heure nous nous sommes fais jouir mutuellement avant de nous endormir entrelacées.
Quelques petits coups à notre porte mont réveillés vers 6 heures du matin.
Jai regagné ma couchette tandis que Françoise allait ouvrir. Ses parents partaient déjà.
Cest à 10 heures passées que je suis descendue prendre mon petit-déj et toute nue.
Françoise sortait vider la poubelle mais elle, portait une robe de chambre.
En suite elle prit son bain dans la douche de la cour. Elle laissa la porte grande ouverte et je la regardais se caresser le corps avec plein de mousse sur elle.
- Tu aimes bien mater, hein Bélinda ?
« Oui mais tu sais que ce que je préfère cest dêtre vue ! »
Un peu avant midi, nous sommes sorties nous dégourdir les jambes. Il ne faisait chaud et nous nous sommes rendues à une boutique non loin de là.
- Deux bouteilles de soda sil vous plaît, nous consommons sur place ! dit Françoise au boutiquier.
Evidemment nous étions nues sous nos robes qui cette fois narrivaient que juste après les fesses. Et alors quand on levait le bras pour boire nos bouteilles au goulot, les robes remontaient et laissaient entrevoir une partie du postérieur.
Le jeu était de parler de trucs entre nous et faire comme si on ne savait pas que le mec nous matait. Un moment, il a quitté son comptoir et sest retrouvé à 1 mètre de Françoise.
Il transpirait à grosse gouttes mais ce nétait pas seulement à cause du soleil. Puis Françoise lui a fait face en vidant sa bouteille et là, elle poussa très haut sous coude.
Le mec ne put résister plus longtemps :
- Mes chéries, venez là...jespère que je ne vais juste regarder sans toucher ?
« Toucher ? Mais touchez donc, où est le mal ? Ai-je répondu en levant les deux bras.
Mais je dû les rabaisser rapidement car un client venait.
Une fois celui-ci parti, le boutiquier invita Françoise à le retrouver derrière son comptoir.
Elle minterrogea du regard.
« Vas y ! Je vous averti si quelquun samène »
Elle se fit prendre en levrette (position pratique dans les cas où est pressé) puis entreprit de faire la pipe au mec. Cest à ce moment quun monsieur vint acheter des cigarettes.
Je fis exprès de ne pas avertir car je savais que derrière leur comptoir, on ne voyait que le torse du boutiquier.
Quand celui-ci entendit quelquun demander un paquet de cigarettes, il failli paniquer mais réussi à garder son calme. Ma copine navait juste quà rester accroupie et elle pourrait même continuer sa fellation. Je compris quelle faisait cela quand je vis le visage du boutiquier.
Quand le client parti, notre compagnon poussa un petit cri rauque et quelques secondes plus tard, Françoise se releva avec encore un peu de sperme sur le menton.
« Fatigué ? » demandai-je au mec.
« Et si à mon tour on baisait côté clients ? Ma copine sera vigilante mais il faudra faire vite ! »
Je retroussais déjà ma robe et me courba tandis que Françoise se dirigeait à lentrée.
Le type me pénétra et me baisa par derrière. Je levai les yeux de temps à autres vers ma copine mais il semblait que personne ne venait.
Alors jôtai toute ma robe me retrouva à poil pendant que le mec sactivait comme un chef.
On avait tous perdu le sens des réalités quand mon baiseur éjacula enfin en moi. On resta collés ainsi encore quelques secondes puis je mécartai du mec. Il offrit du kleenex pour messuyer et quatre canettes de soda. Ceux là on les emporta...
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