La Rencontre Par Internet 2
Je te demande où se trouve la salle de bain. Tu me montres où elle se situe. Je te remercie dun bref baisé sur le menton, tu restes à lembrasure de la porte. Je décide donc daller chercher ma valise en me disant que quand je reviendrai, tu seras retourné au lit. En revenant, tu es toujours adossé au mur. Je te mets une légère claque sur les fesses et te dis que si tu vas mattendre sagement au lit, tu auras une surprise. Cest toi cette fois-ci qui me met une claque sur les fesses, la tienne est plus brusque et plus forte. Jai un mouvement de recul. Tu matts par la taille et me dis que ce nest pas à moi de donner les ordres mais que jai intérêt davoir une bonne surprise. Et tu retournes dans la chambre. Je suis enfin seule dans la salle de bain. Je ferme la porte mais je me rends compte quil ny a pas de verrou. Je ne me sens pas très à laise. Je commence à me déshabiller. Je fais couler le bain pendant ce temps. Je suis toute nue et à chaque bruit de craquement, jai peur que ce soit toi qui entre dans la pièce. Puis, il ny a plus aucun bruit. Je me dis quil est tard et que tu tes sans doute endormi. Je sors de ma valise, une mallette noire encore plus petite. Je la dépose discrètement au sol et louvre. Jy prends mon god et le dépose sur le rebord de la baignoire. Cette fellation ma beaucoup excitée. Je rentre enfin dans leau chaude. Leffet de lalcool sest légèrement dissipé. Ce bain me fait un bien fou, après cette longue journée intenable de stress. Je me laisse aller et me caresse la poitrine et le clito. Je rapproche le god de mon sexe. Je ne le rentre pas entier tout de suite. Jallume la vibration moyenne. Je mamuse à faire glisser le god sur mon clito, ensuite, je commence à enfoncer juste le bout dans mon sexe, je le rentre, je le ressort, et ainsi de suite, pendant quelques minutes. Je me sens bien et je ne pense plus à rien, même si je crois entendre le bruit dune porte. Je rentre le god en entier et jaccélère ses vas et viens.
Tu tires sur la chaine pour que je me lève rapidement et tu membrasses fougueusement. Tu passes ta main entre mes cuisses, je suis déjà toute mouillée, tu caresses le bas de mon ventre. Tu tires encore sur la laisse et je crois que tu me diriges vers ta chambre. Tu changes le baillon de ma bouche pour y introduire une grosse boule en plastique. Tu mordonnes de me mettre à 4 pattes, les bras allongés au maximum sur le sol, la tête abaissée, le dos cambrée et les fesses en lair. Tu passes une main, allant de mon cou jusquà mes fesses. Et dun coup sec, je reçois une fessée. Je sursaute vivement et je pousse un petit cri. Tu men remets une deuxième et me dis de ne plus maviser de crier, sinon mes fesses deviendront rouges rapidement. Ca y est, ma bouche commence à saliver fortement à cause du baillon, la salive se répand sur ma poitrine. Pendant quelques instants, je nentends plus rien. Je commence à me plaindre que je trouve le temps long et là je sens quelque chose de dur, en train dessayer de sintroduire dans mes fesses. Je pousse un cri, ça me fait mal. Tu te retires sans dire un mot. Et là, un coup fort de cravache me sort de mes rêveries. Je criais de peur que tu ne men administres de trop. Tu men mis une sur chaque fesse. Une larme séchappe alors de mes yeux et je sens mon ventre brûlé de lintérieur. Quelques minutes sécoulent, sans que rien ne se passe, puis, je sens quelque chose de doux et humide sinfiltré dans mon anus. Tu baves sur mes fesses et je crois même que tu craches dessus. Je nen suis pas sure. Et là, ton sexe sintroduit violemment en moi. Un cri de douleur méchappe. Tu me donnes une fessée avec ta main pour que je crie moins fort. Ta main droite est fortement accrochée à ma hanche tandis que lautre me caresse le dos.
-« Avale jusquà la dernière goutte. »
Tu matts les cheveux, force ma bouche pour faire rentrer tout ton membre dedans et te sers de ma bouche comme dun trou. Tu me pilonnes sans retenue. Tes mains derrière ma tête me lappui et tu ne te retires quune fois après avoir explosé au fond de ma gorge. Je suis encore plus excitée dêtre offerte à toi ainsi, nue et attachée. Jai vraiment envie que tu me prennes par devant mais tu ne cesses de me faire languir. Tu tires sur ma laisse et me dirige vers ce que je crois être langle de ta chambre, puisque je crois faire juste quelques enjambées. Jentends les bruits de ma chaîne sentrechoquer contre ce que je crois être un radiateur. Tu tallonges dans ton lit, jentends les bruits des draps et tu me dis :
-« si tu restes sage pendant une heure, je toffrirai une place auprès de moi, dans mon lit. »
Jattends le moment où tu tes endormi je crois, le temps me parait long, je nai pas envie de dormir, jai envie de ton corps sur le mien, dêtre au chaud sous les draps, de me blottir contre toi. Mon corps était si brûlant après nos ébats que le repos me refroidi, des frissons me parcourent tout mon corps, jen ai assez dattendre et je sens que des larmes me montent aux yeux.
Je ne sais pas depuis combien de temps je suis attaché à cet appareil mais ma patience éclate, je pleur à chaudes larmes, jessaye de le faire le plus discrètement possible, je ne veux pas que tu mentendes. Mais, je sens ton souffle tout près de moi, jentends des bruits de chaînes et je sens que tu me portes sur le lit, tu mallonges dessus, me chuchotes des mots que je ne comprends pas à travers mes pleurs. Tu me caresses les cheveux, me retires les bracelets en métal, le collier et tu membrasses tendrement. Je crois que je mendors dans tes bras.
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