Je Me Donne - La Transition 8
Nous sommes le cinquième dimanche. Dans une heure je dois descendre dans la loge du gardien. Malgré mon indisposition dû à la nature, le gardien veut quand même que je vienne le voir. Anthony me prend la tête pour que jarrête de subir le gardien. Moi je ne le souhaite pas, je veux encore en profiter.
Je me prépare donc pour retrouver mon gardien.
Je frappe à la loge, il mouvre et me fait entrer.
-ça na pas lair daller, il y a un problème ?
-non, non, cest
..
-cest quoi ?
-disons que mon mari veut que jarrête de venir ici le dimanche.
-ah bon, alors très bien, je vais moccuper de lui.
-non, ne lui fait pas de mal.
-ce nest pas le sujet, je vais juste le calmer, il na pas compris que tu étais à moi et que lui sétait le cocu.
Il me plaque dos sur sa table en bois, retire mon pantalon de jogging, tenue dans laquelle il veut absolument me voir. Mon haut, il ny touche pas, mes seins ne lintéresse pas, certes ils sont petits, voir très petit, mais il pourrait au moins faire semblant de sy intéresser. Ce monsieur ne fait pas dans la recherche de gentillesse ou dans le faux semblant. Etant indisposé côté intimité, le gardien plonge sa bouche entre mes fesses et commence à me lécher lanus, il bave abondamment, sa langue me pénètre la rondelle. Il me lèche de longues minutes. Le gardien se relève, sort sa queue déjà bien dure et la présente devant ma rondelle. Il pousse, son gland écarte ma rondelle et je sens sa queue prendre possession de mon fondement, les mouvements commencent en moi. Il me prend encore et encore, faisant monter mon plaisir. Dun coup, il se retire complètement de mes fesses, il me prend le bras et me fait mettre à genoux au sol. Il me présente sa queue à sucer.
-non, pas après
.
Le gardien matt la tête par les oreilles et me force à prendre son membre en bouche. Je suce un membre qui vient de me sodomiser, ça mhorrifie, mais la force de cet homme est tel que je ne peux résister.
-aller suce, suce-moi bien, oui comme ça, continu.
Je respire par le nez, ma bouche étant pleine de son membre. Un premier jet vient taper mon palet, puis un deuxième et encore et encore. Je métouffe presque avec tout ce jus en bouche. Sa main sur ma nuque me force à le garder en bouche avec le jus.
-rrraaaahh, avale tout, je veux que tu ne perdes pas une goutte.
Javale autant que possible cet abondant jus, je déglutis avec difficulté. Son jus est par contre agréable au goût, contrairement à certains hommes. La queue se retire finalement de ma bouche, me permettant de reprendre un peu de souffle. Lui, ne souhaite pas perdre de temps, je suis relevée, plaquée face à la table. Je sens quil masse ma rondelle avec un gel ou une crème.
-cest quoi ? tu fais quoi ?
-cest pour éviter que ta rondelle chauffe.
Des doigts me pénètre pour y déposer du gel. Son membre pointe déjà à lentrée. Il pousse, il entre sans aucune, mais aucune difficulté. Je suis rapidement labouré de toute sa longueur et sest parti pour me faire prendre à sa guise.
-tu ne jouis pas, compris ?
Il refuse que je jouisse, il me claque violement les fesses, me les pinces, il fait tout pour ralentir la montée mon plaisir. Je mexprime, quil sache que cest bon.
-oh oui, huuuummm
-ne jouis pas salope, cest moi qui décide.
Face à moi, je vois une horloge, il a commencé cette deuxième fois il était 11h05, à 11h20, il est encore en moi, il me sodomise toujours et encore et je dois retenir mon plaisir avec ses coups sur mes fesses. Jai envie de jouir maintenant. Je tente de retenir mon plaisir, il faut avouer que la fessée commence à me faire mal, jai les fesses qui chauffent.
-ah oui encore, aaahh ouiii
..
Je sens le membre se crisper en moi et déverser sa semence chaude et abondante. Une fois vidé, il reprend quelques mouvements en moi et je craque.
-oh oui, oh ouiii, fais moi jouiiiirrrr, aaaaaaahhhhhhhhhh
Le gardien se retire de mes fesses, je suis totalement affalée sur la table.
-cest bon, tu peux rejoindre ton cocu.
Sans rien dire, je me lève et remets mon jogging.
-file-moi ton 06.
-mais pourquoi faire ?
-ton mec nest pas content, très bien, maintenant tu descendras me voir quand je te sifflerais par un sms, fini que le dimanche, cest quand je veux.
-jai peur que ça pose problème.
-problème, tu rigoles, passe-lui ce message « sil nest pas satisfait, quil vienne me voir, nous règlerons ça ».
Lorsque je suis remontée à lappartement, Anthony ma demandé des détails sur le temps passé dans la loge. Je lui ai tout détaillée, sans omettre que dorénavant ce nétait pas que le dimanche.
Anthony na pas réagi plus que ça. Les sms ont commencé à arriver les jours de semaine. Au début un jour, puis deux jours et à un moment cétait presque tous les soirs. Lorsque nous nétions pas disponibles, je devais passer le lendemain matin tôt pour le sucer et repasser le soir pour me faire prendre.
A un moment, Anthony en a eu marre. Ce soir-là, je reçois un sms pour que je descende.
-non, tu ny vas pas, je vais descendre régler le problème.
-non chéri, ça risque de mal se passer.
Anthony ne mécoute pas et il descend à la loge furieux.
10 minutes passent, 20, puis 30 minutes, toujours pas de retour. 45 minutes plus tard, Anthony revient.
-alors mon chéri, ça va ?
-euhh
je suis désolé, mais jai pas pu faire grand-chose, enfin pour le moment, mais ce soir tu nas pas besoin de descendre.
-mais non tinquiète pas, javais juste peur quil te fasse du mal.
Je suis rassurée que mon Anthony aille bien et je reconnais que je ne mimaginais pas ne plus être prise par le gardien. Cette situation me plaît horriblement, cette sensation quand je suis appelée pour descendre immédiatement et être à disposition de monsieur, cest terrible lexcitation que ça déclenche chez moi.
-tu sais mon chéri, ce nest pas grave, je préfère que ça se passe comme ça, crois-moi.
-peut-être, peut-être.
Le gardien na effectivement pas arrêté de me contacter pour que je descende le satisfaire dans sa loge.
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