Début De Soirée

Ceci est une histoire vraie. Par souci, les noms ont été modifiés. J’ai 30 ans, brun, yeux verts, 1m75, 75 kg. Je viens vous conter l’un de ces moments sensuels et torrides que je partage avec celle que je vais nommer Arielle, 24 ans, 1m65, bien proportionnée, une cambrure délicieuse et des seins magnifiques.
Le rendez-vous est fixé à 20h00, cela fait plusieurs jours que nous attendons de nous revoir pour baiser. Oui, pour baiser. Telle est notre relation : libre de tous tabous, nous avons appris l’un et l’autre à découvrir les désirs les plus cachés de l’autre et à parler librement de nos fantasmes les plus intimes, ces fantasmes que l’on n’ose (hélas) pas toujours dire. C’est ainsi que je l’ai découverte soumise et aimant sucer jusqu’à l’ et que par la même occasion je me suis découvert un désir terrible de baiser à plusieurs.
Il est donc 20h00, j’arrive chez elle. Je frappe, elle m’ouvre et je pose un regard sur elle pour découvrir sa tenue : une jupe et un chemisier. Elle a ce regard qui me dit « j’attends, j’ai envie de me faire baiser, mais j’attends ». Mine de rien, je la suis jusqu’à sa chambre, appréciant ses formes en la suivant. « Ce cul… » me dis-je en la regardant.
Nous voilà dans sa chambre, je m’approche sans un mot, glisse ma main le long de ses cheveux blonds et mi-longs, j’effleure son cou et la fixe dans les yeux lorsqu’elle se relâche et s’approche de moi pour m’embrasser. Ces lèvres approchant des miennes, je lui saisi les cheveux pour la stopper à quelques millimètres du baiser et lui murmure « pas tout de suite ma jolie, attends et tu verras le plaisir monter encore plus… ».. Le désir est trop fort pour elle et elle persiste à tenter de m’embrasser. Je saisi fermement son visage d’une main, approche mes lèvres près de son oreille, elle sent mon souffle chaud sur sa peau et je l’admire fermer les yeux…elle trépigne, je vois ses joues rosir.
- « je veux jouer avec toi, ma coquine, et tu vas prendre ton pied comme ça.

.. » lui dis-je doucement en basculant sa tête en arrière.
Je peux apprécier l’effet que tout cela lui procure : sa main est en train de glisser le long de sa cuisse, glissant sous sa jupe.
-« tu veux te caresser ? »
-« oui, j’en ai très envie, j’ai envie que tu me baise, je veux te sucer, je veux jouir avec toi.. » me dit-elle,
Ces quelques mots sont entrecoupés par des soupirs, son corps se trémousse et il se dégage une sensualité de plus en plus torride. Elle tente à nouveau de m’embrasser et je la retiens à nouveau, ma main ayant attrapé son visage. Pour la taquiner, j’approche mes lèvres des siennes en restant à distance raisonnable pour éviter ses coups de langues.
-« retire ton chemisier, que j’admire tes seins » lui dis-je dans la foulée.
Elle s’exécute et profite de cet instant, durant lequel je m’égare à imaginer ma langue titiller ces tétons déjà tendus, pour glisser sa main dans sa culotte et se caresser le clito. Elle pousse un long soupir de soulagement.
-« petite salope va, je t’ai dis que c’est moi qui décide » lui dis-je fermement.
Sur ces mots, je me saisi de ces deux mains, les plaque contre son corps. Elle résiste et me supplie :
-« j’ai trop envie, je veux baiser et je sais que toi aussi, alors prends moi..».
Sur ces supplices, je sourie. Je la fixe du regard et sans rien dire lui glisse ma langue dans sa bouche. Comme libérée, elle m’embrasse goulument, Ce baiser dure, il est torride et le fait que je continue à lui plaquer ses mains le long de son corps, rend la scène encore plus intense. Moi-même, j’ai envie de la baiser, de lui donner ce qu’elle demande, mais je résiste à la tentation pour faire durer ce jeu si excitant. Je termine ce baiser et lui dis de ce mettre à genoux. Elle sourie, elle sait que je vais lui demander de ma sucer et je sais qu’elle adore ça. Je sors ma queue qui est déjà toute dure et la présente devant elle.
-« regarde moi et montre moi comme tu sais sucer ma coquine » lui dis-je en tapotant mon gland contre sa joue.
Elle se saisit de mon sexe et commence à le sucer, tournant d’abord sa langue autour de mon gland et rapidement je peux l’observer avaler de plus en plus ma verge.
« Humm, ma salope, j’aime comme tu me suces » lui dis-je excité par ce spectacle et posant mes mains sur sa tête pour accompagner le mouvement de sa tête. Peu à peu, les mouvements s’accélèrent, deviennent plus amples et je fini par quasiment baiser sa bouche. Elle aime ça, elle se caresse le clitoris et les seins en même temps. Au bout de plusieurs minutes d’une telle fellation, je ne résiste plus à cette envie de baise, et mon ton calme jusque là se précipite lorsque je lui prends la main pour la relever et la plaquer contre le mur
-« tourne toi que je te baise » lui dis-je avec le ton d’un affamé.
Je ressens encore aujourd’hui le plaisir de mon sexe entrant dans sa chatte chaude, tendue et mouillée. Cet instant était le début d’une longue nuit de baiser dont je raconterai la suite dans un autre récit.