Sacré Dorothée 3
C'est aujourd'hui que Florent sort de l'hôpital. Il dot encore rester aliter une bonne semaine. Il peut se lever juste pour prendre ses repas avec sa femme et son frère. En effet, il a demandé à Hervé de rester quelques jours pour soulager son épouse. Les deux amants se lancent un regard complice. Ils en espéraient pas tant.
-Je tombe de fatigue, dit Florent.
-Tu veux que je t'emmène au lit? Propose Hervé.
-Merci, je veux bien. Tu viendras m'embrasser ma chérie.
-Mais bien sur mon amour, je prépare ton traitement, et j'arrive.
Quand Dorothée revient de la chambre, Hervé sort de la salle de bains vêtu d'un caleçon. Il s'avance derrière elle, et l'enlace en glissant une main sous la minijupe.
-Hum, décidément, ta chatte est toujours à l'air. Je vais tout de même pas te refaire le coup de la barrière. Dorothée glousse de plaisir. Elle penche sa tête sur l'épaule de son beau frère.
-Au fait, quand c'est que tu me niques, demande-t-elle.
-Tu es folle,répond-il, tu n'y pense pas, Une autre fois peut être. Quand je reviendrai.
-Quoi, s'exclame-t-elle, tu plaisantes j'espère. Justement, j'ai augmenté la dose de
somnifère pour être tranquille. Il va dormir comme un bébé. dans dix minutes dans
ta chambre, et d'être en forme.
Dorothée fini de débarrasser, passe une nuisette, et regagne la chambre. Hervé est assis au bord du lit, entièrement nu, la queue en érection.
-Miam, quelle est belle, salive Dorothée, tout çà pour ma petite chatte.
Elle le pousse sur le lit, se me a genoux, dos à lui, et l'enjambe. Son minou est déjà tout mouillé.
-Prend mes seins, je veux que tu me baise jusqu'à plus sois, dit-elle en s'empalant sur lui.
La queue d'Hervé, tendue au maximum, coulisse au fond de l'intimité de Dorothée. Ses mouvements du bassin s'accélèrent. Elle avait tellement envie de prendre un coup de queue ce soir. C'est sur, elle ne va pas tarder à venir.
-Salaud, qu'est-ce-que tu me fais, tu as pas vu que j'allais jouir. Pourquoi tu m'as fais çà.
-J'aime bien faire râler mes partenaires, ironise-t-il. Regarde ma queue comme elle est
grosse. Tu la veut,hein? Met toi à genoux, et essaie de l'attr avec ta bouche. Allez.
-Goujat, dit-elle, prie dieu que je te l'att pas.
Dorothée prend appuie sur ses mains, et avance. Hervé joue avec elle, lui laisse entrevoir des possibilités, comme offrir son gland à ses lèvres avides de gourmandises. Mais juste ce qu'il faut.
-Tu vas le payer casch, dit-elle.
-Oh, il me tarde de voir çà, répond-il.
Un moment d'égarement, Hervé bute contre la commode. D'un bond, Dorothée est sur lui. Elle avale la queue jusqu'au couilles. D'une main, elle lui saisit les testicules, et les tirent vers le bas.
-A genoux, ordonne-t-elle. Tu veux qu'on joue,OK. jouons. Mais c'est moi qui fixe les règles.
Une légère douleur envahit le bas ventre d'Hervé. Il tombe à genoux, face à sa maitresse. Elle lui sourit.
-Embrasse moi imbécile, dit-elle. Je t'es eu, j'ai droit à une petite récompense.
-Allons au lit ma chérie, répond-il tendrement, je vais t'offrir une nuit comme tu n'en
a jamais eu.
-J'espère qu'on va pas m'entendre gueuler, parce que là, je vais envoyer.
Dorothée se couche sur le dos, entièrement offerte à Hervé. Il se met position. Aussitôt, elle noue ses jambes dans le dos de son amant, et se fait pénétrer.
-Enfin,je me la fais mettre, soupire-t-elle. Et tu l'a sort plus de toute la nuit, compris?
Dorothée va se faire prendre dans toute les positions. Elle va hurler de plaisir. tant pis si elle réveille son mari. Elle a trop envie de baiser, et l'amant est à la hauteur, il tient parole. C'est en larmes qu'elle joui une dernière fois. Elle le supplie pour qu'il la garde dans ses bras le reste de la nuit.
-Non ma chérie, il est tard. Pense a ton mari.
Quand Florent se réveille, son épouse est à côté de lui. Elle dort les poings fermés. Il tend une main, et la caresse. Elle sursaute.
-Tu es bien mouillée ma chérie, remarque Florent. Tu veux que je te doigte. Tu as envie
de prendre un coup de queue, hein?
-J'ai vingt ans mon amour, j'ai des envies, et je suis en manque en ce moment.
-Tu sais, je comprendrai si tu...
-Tais toi idiot, je sors jamais, et puis çà m'intéresse pas. Je peux attendre.
-Ou est mon frère, demande Florent.
-Je sais pas, couché certainement. Pourquoi?
-Va le rejoindre, il est en manque lui aussi. Il peut te satisfaire.
-Quoi; tu es fou. Et si je disais oui, et que lui soit d'accord. Qu'est-ce-que tu dirais.
-Vas le rejoindre je te dis, prend du bon temps. Tu me raconteras après. Allez, va.
Amusez -vous bien.
Une fois la surprise passée, Dorothée embrasse son mati, et quitte la chambre. Elle arrive dans celle d' Hervé, et pousse la porte. Elle se glisse langoureusement dans le lit.
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