A Quatre Pattes
Et bien me revoilà ! Jai inventé avec mes « amis » un nouveau jeu érotique que je vous recommande :
Il faut être trois, quatre ou même cinq. Tout le monde sassoit à poil au tour des divans ou fauteuils disposés en cercle ou demi-cercle, sauf un, sauf moi. Moi je suis à quatre pattes et je suce : je suce le premier qui tombe sous mon regard, je peux aussi le toucher lécher ses couilles, astiquer son cul
bref je suis libre de tout faire, et les autres aussi, mai uniquement sur mon corps :ils peuvent me caresser la bite , le cul même, me sucer , mais personne doit toucher un autre que moi. Au maximum ils peuvent se branler, tout en évitant de jouir. Oui parce que tout ce sperme va à celui qui se trouve au milieu à quatre pattes, c'est-à-dire à ma place préférée. Évidemment hier jai participé de cette façon à ce jeu et je vous assure cétait le pied. Plus que le pied, cétait la bite, les bites toutes pour moi, au moins jen avais limpression. Pendant que je suçais Marc, je regardais les autres, certains narrêtaient pas de se branler, Frank ma enduit la raie avec un lubrifiant tout en me caressant avec ses doigts et a laisse la place à Fabrice, lhomme à la grosse pine, qui ma enculé pendant que je suçais.
Pendant que Fabrice restait presque immobile sur mon cul, je me suis déplacé sur une autre bite puisque la précédente avait déjà explosée dans ma bouche en me remplissant la gorge dun nectar exquis. Jarrive à sucer la queue de Karl avec un peu de difficulté puisque Fabrice ma ramait avec une telle fougue que je narrivais pas à la garder bien en bouche. Alors pendant quil menculait avec tellement de douce violence je me suis contenté de branler la bite de Karl qui en voulait encore de ma langue de mes lèvres et de ma bouche. Ca y est Fabrice éjecte son jus dans le fonds de mon cul et moi aussi tout en jouissant je reprends en bouche Karl qui explose à son tout
Quel bonheur. Jen pouvais plus. Je donne ma place de suceur à Francis qui est bien heureux de se mettre à son tour à 4 pattes et le jeu continue jusquà lépuisement de chacun dentre nous
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Rien quen vous racontant tout cela je bande encore
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