Histoire Sans Titre

J'ai rendez-vous dans un dispensaire. Je me suis reiseigné pour trouver un médecin gay et j'ai trouvé le docteur Jacaud. A l'entrée, je m'adresse à la secrétaire :
- Bonjour, j'ai rendez-vous avec le docteur Jacaud !
- Vous allez tout droit, jusqu'à la double porte. Après la porte, vous tournez à gauche. Vous vous asseyez sur le banc, on viendra vous chercher.
Quand j'ai atteint la double porte, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis retourné. La secrétaire était penchée par-dessus la banque de son bureau et selon moi, elle regardait mes fesses. Haussant les épaules, j'ai franchi la porte et me suis dirigé vers le banc où je me suis assis. Dix minutes à peine sont passées, quand une infirmière vint me chercher. Elle me fit entrer dans une salle obscure et dit :
- Déshabillez-vous entièrement, le docteur va venir !
Je me suis exécuté et effectivement, une porte s'est ouverte. Une faible lueur éclairait
l'embrasure et j'ai pu distinguer le médecin. Il m'a pris par la main et s'apercevant que je portais encore mon slip, il a ajouté :
- On vous a dit entièrement !
J'ai enlevé le sous-vêtement et l'ai rejoint. Nous avons pris un autre couloir non éclairé, et nous nous sommes arrêtés devant une porte. Le médecin l'ouvrit.
La pièce était violemment éclairée. Un lit aux draps blancs trônait au milieu de la chambre. Couché dessus, un jeune noir complètement nu, d'environ 20 ans, tenait dans sa main son sexe en érection. Le médecin se tourna vers moi et dit :
- Vous savez faire du vélo ?
- Oui ! répondis-je !
- Sans selle ?
Devant mon air incrédule, il ajouta :
- Allez, grimpez ! Vous êtes bien venu pour ça ! dit-il en me tendant un préservatif.

J'ai pris le plastique, l'ai déroulé le long de la matraque de chair et suis monté sur le lit. J'ai enjambé le garçon et me suis mis à genoux. Il a mis ses mains sous mes fesses, les a écartées et reprenant son sexe en main, il l'a dirigé vers mon trou du cul. Il a soulevé ses reins pour maintenir le contact puis, ses mains se sont posées sur mes hanches. Avec fermeté, il m'a empalé sur son manche. Quand il eut tout rentré dans mon cul, il m'a enserré dans ses bras et m'a couché sur son torse.
Soulevant ses reins en cadence, il m'a limé pour faciliter le passage. Dés que ça a bien glissé, il m'a redressé, a passé ses mains sous mes fesses et m'a soulevé, pour me laisser retomber sur sa grosse bite, me faisant comprendre que maintenant, c'était à moi de monter et descendre le long de son mat d'amour.