Autoroute Express

En janvier dernier j'ai quitté Mayotte pour me rendre en métropole pour assister à un séminaire ; cela se passait à Auxerre. Ayant eu connaissance de ce déplacement assez tôt, j'ai contacté pas mal de mecs qui s'étaient manifesté après avoir lu mes aventures en "taxi brousse" à Mayotte. Ils voulaient faire ma connaissance deux dans la région parisienne et deux autres dans le sud de la france m'attendaient.
Du moins, c'est ce que je pensais parce qu'à Paris pas de nouvelles de mes contacts seuls ceux du sud répondaient au téléphone.

Je loue une voiture un vendredi soir et je prends l'autoroute après avoir diné légèrement me disant que sur l'autoroute du sud, je trouverai bien de quoi me sustenter sur les aires d'autoroute.

Une autre chose me tenaillait quand même, c'est que je n'avais pas joui depuis plus d'une semaine et je comptais le faire avec mes contacts parisiens. C'est donc avec les bourses pleines que je file vers le sud. N'ayant pas l'habitude de rouler aussi longtemps je me suis donné un rythme : une et demi de conduite et une demi heure de repos sur les aires de l'autoroute.

Arrivé sur une aire quasi déserte j'ai une petite envie que je vais satisfaire dans des toilettes sur le parking ; je traverse le parking des routiers et dans le froid, j'avais laissé ma veste dans la voiture, une idée chaude me vient à l'esprit : essayer d'attirer un ou deux routiers dans les toilettes et pour ce faire je vais devant un urinoir et je sors ma queue pour urine et en meme temps, je descends mon pantalon de façon à montrer mes fesses habillées d'un string rouge.
J'espère avoir de la visite dans peu de temps et au bout de cinq minutes dans cette posture, j'entends des pas. C'est un gars qui vient à côté de moi regarde ma queue flasque . Il touche mes fesses les prend à deux mains et, me traitant de salope, s'en va

deux minutes après même truc un gars arrive et lui il me met la main au panier ce qui a pour effet de m'exciter, je tortille du cul il me fouille la raie du cul avec un doigt me caresse la rondelle qui commence à chauffer et puis lui aussi s'en va en me disant à plus tard.



Je me suis dit que d'ici dix minutes je vais pouvoir passer à l'action, j'en mouillais d'envie.

Et deux minutes après, des pas qui s'approchent et moi sentant le bon coup, je tends mes fesses encore plus. Je sens un mec debout à l'entrée des toilettes et aussi une voix qui me dit : "Gendarmerie Nationale. Réajustez vos vêtements s'il vous plait!"

Je suis passé par toutes les couleurs je me réajuste et je me retourne vers le gars. En effet je vois un gendarme avec une lampe torche, le regard grave :"suivez-moi, c'est de l'exhibition sexuelle, ça fait une demi heure que je vous observe!"
En sortant je vois les routiers dans leurs cabines qui me regardent retraverser le parking accompagné d'un gendarme et nous arrivons à côté de ma voiture de location. Il me demande ma destination je leur dis Marseille pour dire quelque chose. Je lui montre mes papiers, il s'éloigne vers son véhicule où j'aperçois un deuxième gendarme, ce dernier prend mon passeport mon permis de conduire ; c'est lui qui interroge le fichier je pense. Cinq minutes passent et je patiente tandis que les deux gendarmes discutent entre eux.

"Nous avons une procédure à établir pour exhibition sexuelle et nous devons vous ramener à la brigade. Laissez votre véhicule ici et nous vous ramènerons quand ce sera terminé il y en a pour une heure" me déclare apparemment le chef. L'autre était un jeune on dirait un auxiliaire, antillais ou métis africain.

Ils m'installent à l'arrière de leur véhicule et nous démarrons pour sortir par une grille de service située sur le parking même de l'aire de repos. Le jeune descend ouvre le portail et referme après notre passage. Je m'inquiète auprès du chef pour savoir ce que je risque. "il y a fort à parier que le procureur retienne l'infraction et vous etes bon à passer en comparution immédiate..". Les mots procureur et comparution ne donnent des frissons. Alors je tente le tout pour le tout : "je ne suis pas d'ici et si je suis retardé je vais raté mon avion.
Sans les conséquences que cela aura si on venait à apprendre pourquoi je suis au tribunal".

Le chef me dit alors : "nous en avons discuté avec le jeune collègue, si vous continuez pour nous ce que vous faisiez dans les toilettes, on sera plus gentil ; juste un strip-tease. Ok?".

Et comment je suis d'accord mais il faisait froid. En fait nous avions roulé cinquante mètres en tout puisque leur voiture s'est garée derrière un bosquet sur un chemin terre. A côté le grillage qui nous sépare longe la bretelle de sortie du parking d'où on venait.

Je leur donne mon accord et ils me demandent de sortir de la voiture. J'ai du avancer une quinzaine de mètres devant et m'arrêter là. Tous ceux qui sortaient en longeant le grillage me voyaient mais n'apercevaient pas quelle voiture m'éclairait. Je me suis mis en string, les pieds nus. Pis j'entendais un des deux qui me disait de bouger, d'écarter mes jambes de montrer mes fesses aux automobilistes qui sortaient du parking trop contents du spectacle que je donnais. J'ai du rester deux minutes le cul exposé et les fesses écartées par mes mains.
Ils m'ont demandé ensuite de revenir toujours à poil vers la voiture en trounant les fesses comme une pute. Je le fis sans problème et j'ai fait deux allers retour.

A un moment donné le plus jeune me dit par la portière "récupère tes fringues et reviens sans t'habiller". Je me suis dit ça y est j'ai payé l'amende je vais pouvoir repartir. Les phares de la voiture m'aveuglaient et j'arrivais tant bien que mal à la voiture. Le jeune était assis à l'arrière et le chef toujours au volant. Ce dernier me dit de m'installer derrière. Et en entrant dans la voiture, quelle fut ma surprise de découvrir le jeune à poil, un corps d'athlete, la bite raide.

"Alllez on va rouler un peu et on te ramène. En attendant occupes toi du jeune ça fait six mois qu'il n'a pas vu sa copine."

Je pris la queue du gendarme et je mis à la sucer comme un esquimaud.
"Suces grosse salope, tu verras c'est mieux que la bite d'un routier". Je m'appliquai tant bien que mal car la voiture était toujours sur le chemin de terre. A un moment leur radio leur a demandé leur position, le chef a répondu en patrouille sur l'autoroute. Mon oeil, l'autoroute était de l'autre côté du grillage et nous dans la campagne. Moi je suçais mon jeune qui m'enfonçait sa queue dans ma bouche :" Tu suces mieux que ma meuf, grosse pute".

La voiture s'arrêta je ne sais où ; j'avais la tête au niveau des couilles du gendarme. Je devinais le chef qui sortait ; il ouvre la portière arrière et se retrouve derrière moi qui suis à genou sur la banquette arrière, le cul en évidence avec mon mini string comme seule défense. Il passa sa main le long de ma raie il prit mon string et le déchira d'un coup (45 euros quand même) ; puis je sentis un de ses doigt titiller mon anus avant d'y pénétrer. Je suçais son collègue et lui, le chef, il entreprit à me glisser deux doigts dans le cul et commença à me limer jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de résistance.

Je m'attendais à ce qu'il me prenne avec sa bite que je n'avait pas encore vue. Et a mon grand étonnement, il s'arrêta et me demanda de descendre de la voiture. Les phares allumés éclairaient toujours le chemin et la voiture n'était pas visible de l'autoroute qui longeait aussi le chemin ; une grande ligne droite.

C'est accompagné des deux gendarmes que je me suis retrouvés à genous suçant le chef tandis que le jeune glissa son chibre sans capote dans ma chatte de mec avec puissance et me lima en me tenant par mes hanches larges. Son chef me tenait par la tete pour me guider sur sa grosse verge qui me remplissait la bouche. Ils changèrent de trou trois ou quatre fois et moi j'avais moins froid mais j'étais fatigué quand meme. J'ai demandé un petit répis mais le chef m'a dit que c'est fini dans deux minutes.

En effet le jeune me repris le cul et en dix quinze allers retour , il jouit dans mon cul.
Je sentais son sperme chaud et abondant me tapisser l'anus. Le chef ne voulant pas etre en rest prit sa place et sa grosse queue envoya un gros jet de foutre dans mes fesses, aussi chaud que le précédent. J'étais rempli de jus. Les voitures et surtout les camions qui passaient à grande vitesse klaxonnaient à chaque fois qu'ils remarquaient ce qu'on faisait. Pas d'accident mais tout juste.

Nous sommes repartis vers la voiture. Les deux gendarmes se sont rhabillés et moi mes vêtements ont été mis dans le coffre. Nous avons fait demi tout et sommes revenus vers le parking. Le jeune est descendu, il a pris discretement mes vetements et il est allé les déposer dans les toilettes sans que personne ne le voit. Puis il est revenu, ce n'est qu'à ce moment que le chef me dit : " C'est bon, tu peux descendre et reprendre ta route vers Marseille".

Mais voilà, j'ai du traverser le parking à poil pour aller vers les chiottes du parking. ET là les routiers m'ont aperçu et ils ont tous allumé leurs phares pour me mater. J'essayais de courir, mais le froid me tétanisait. Arrivé aux chiottes je pris mes vetements et après avoir enfilés le tout je me suis dirigé vers ma voiture qui était restée là.

En passant à côté d'un des routiers il me dit :"Alors grosse chaudasse black, les gendarmes t'ont bien niqué ; on se retrouve à quatre parking d'ici. Si tu n'es pas là au rendez-vous. Je fais passer sur internent les photos que j'ai prises quand tu traverse la parking à poil."

Quatre parkings plus loin, j'ai remis çà !

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