Son Dépucelage Par Jonathan

Je connaissais Jonathan depuis le collège. Toutes les filles craquaient pour ce grand blond mais lui préférait les garçons. Pendant les vacances d'été il vint chez moi.
J'aimais bien passer mes vacances avec lui, il était marrant et très sportif, aussi pouvions-nous aller souvent faire de grandes randonnées à vélo. Cette année là nous avions décidé de faire un peu de camping. Le soir, nous partagions la même tente. Nous n'étions pas du tout pudique et partagions le même duvet.
Un soir, je le surpris tout émotionné. Gêné, il se glissa vite sous le duvet. De mon côté, j'avais un peu d'appréhension à le rejoindre, mais m'y glissait finalement. Jonathan ne disait rien. Je lui dit que j'avais remarqué son émoi. Il me répondit gêné qu'il ne se contrôlais pas. Je ris en lui disant que ce n'était pas grave. Il me dit qu'il était rassuré mais que ça ne redescendait pas. Je ris car je commençais également à gonfler. Je le lui dis. Il rit à son tour. Il est vrai que la situation était cocasse.
Je ne sais pas comment nous en sommes venus à ça mais nous avons décidé de nous satisfaire chacun de notre côté. Nous avons donc ouvert le duvet et commencé à nous masturber. Jonathan me dit que si je voulais, il pouvait me sucer, il avait l'habitude. D'abord, gêné, j'acceptais, j'adorais la fellation avec mes copines. Pourtant lorsqu'il me prit dans sa bouche ce fut bizarre. Mais il suçait bien le bougre, et il me prenait parfois les testicules dans la bouche. Il utilisait beaucoup de salives.
Si bien qu'elle commençait à s'écouler le long de ma raie. Il s'aventura vers mon périnée pour éviter de tremper le duvet. C'était trop bon. Puis, il darda sa langue sur ma rosette ce qui me donna des frissons. Je lui dis qu'il allait un peu loin. Il revint vers ma verge. Entre temps, il avait laissé un doigt qui me massait en bas. J'étais contrarié mais ne dit rien. Il massait si bien par de petits mouvenements circulaires qu'il prit possession de mon anus.

Je lui dis d'arrêter, il s'excusa et retira son doigt. Puis, il recommença à descendre avec sa langue.
Cette fois, il ne se gênait plus et suçait copieusement mon anus. J'étais gêné, mais ce n'était pas du tout désagréable. Même lorsqu'il commença à darder sa langue dans mon trou. Il me bouffait carrément le cu le salop. Je lui dit d'arrêter. Il remonta vers ma verge, un sourire malicieux aux lèvres. Je bandais comme un âne. « Tu aimes ça mon cochon. » Et oui j'étais aux anges bien obligé de l'admettre tant ma trique dépassait tous les records. Comme je ne répondais pas, il en a profité pour m'enfoncer un doigt sans ménagement dans mon anus. Il l'avait si bien préparé qu'il est rentré tout seul. Je n'osais rien dire. Il ne l'enleva donc pas et au contraire commença de petites rotations dans mon trou. C'était là encore divin. Petit à petit il élargissait l'ouverture. Il savait effectivement y faire.
Il poussa soudain un profond soupir, prit son élan en posant ses mains sur ma poitrine puis vint empaler son sexe dans mon anus. J'étais possédé par un homme. A nouveau aucun son ne sortait de ma bouche. Il me sourit, son visage était très proche du mien, si bien qu'il m'embrassa. Il embrassait aussi bien qu'il suçait. Je commençais à me détendre. Il fit passer mes jambes sur ses bras, se redressa et commença des petits va et vient. En même temps, il me branlait et ma verge redevenait bien dure. « Tu vois, tu as l'air d'aimer, dès la première fois en plus ». Il accéléra et se sont ses mouvements du bassins qui me firent jouir sur mon ventre.
Il sourit puis accéléra encore et éjacula, cette fois en moi. « désolé dit-il , mais t'en fais pas je suis clean ». Je m'en foutais, mais finalement à raison, cela fait maintenant 20 ans que nous sommes ensemble...