Aurore Education D'Une Jeune Femme -Acte 3-
Je ne sais plus qui je suis, je ne sais pas ce que je fais. Je suis dans une brume , ma poitrine oppressée, mon regard flou passe de ses yeux au vide. Je prends une petite veste courte en cuir et chausse mes bottines lui offrant, sans mapercevoir, sans comprendre, la vision fugace de mon intimité. Mes pensées fusent. Quest ce que je fais
Cet homme mécrase de sa seule présence, lui qui vient de me pénétrer, lui qui vient de me faire crier de
. de plaisirs
mais quelle honte..Son regard sur moi me donne des frissons
mélange dinquiétude , dincompréhension, de peur.
Je ne me comprends plus, pourquoi je dis rien, pourquoi je fais ce quil me demande. Cest pas moi ca .. Pourtant quand il me prends le bras pour mentraîner vers l ascenseur, je le suis. Un frisson sur mon échine me glace quand ma porte se ferme. Je marche à ses cotés , dans le parking de limmeuble , serrant mes bras contre mon ventre. Il mouvre la porte de sa voiture, je monte. Je nose même pas le regarder mais je sens son regard sur moi, mes cuisses nues, ma robe trop courte, mon blouson intégralement fermé comme si je voulais me protéger. Il démarre, on roule, je contrôle plus ma respiration. Je prends conscience en cet instant, que je suis sale, mon vagin encore souillée, mes poils collés et entre mes cuisses découvertes , les traces visibles sèches dun mélange de ma mouille et de son sperme. La honte m empourpre les joues, je regarde défiler le paysage..
Patrick : ca va Aurore ?
Moi : où va ton Monsieur .. où on va ?
Patrick : Tu regrettes ce que tu viens de me donner Aurore ?
Moi : je sais pas, je sais plus Monsieur..
Il pose sa main sur ma cuisse nue, je sursaute.
Patrick : détends toi
. je t emmène faire une petite sortie, pour te découvrir encore. Tes parents rentrent demain ?
Moi : oui
oui Monsieur..
Patrick : Nous allons pas très loin Aurore mais au retour tu aura une décision à prendre.
Je cherche son regard, je le sonde mais je prononce aucun mot. Nous roulons depuis une demi heure peut être et après avoir longé des bois, il tourne dans un chemin forestier au bout duquel se trouve un parking. Quelques voitures sont garées là , certaines semblent vides mais dans deux, il me semble voir quil y a quelquun dedans. Mon cur recommence à frapper fort ma poitrine, mes mains sont moites. Patrick descend et vient mouvrir la porte.
Patrick : Viens Aurore, nous allons marcher un peu ..
Je mextrait de la voiture, à cet instant , je vois son regard, un rictus à ses lèvres, dans le mouvement ma robe courte ne lui dissimule rien, une fois de plus de mon entre cuisses, je lui expose outrageusement ma pilosité intime . langoisse est forte, il fait nuit mais une certaine clarté, dinstinct je me colle à lui ,épaule contre épaule, cherchant à me faire petite. Il se glisse dans mon dos, se collant à moi mais je me colle à lui aussi par angoisse. Il fait glisser la fermeture de mon blouson. Ma respiration forte fait se mouvoir ma poitrine à peine recouverte par le léger tissus. Jai du mal à maîtriser les mouvements de ma glotte. Je suis toute petite contre lui, sa tête me coiffe. Ses mains viennent flatter mes tétons par dessus le tissus, je frissonne. Une lumière dans une voiture, la portière souvre, un homme dun certain âge en descend et marche lentement vers nous..Le second beaucoup plus jeune ne tarde pas a faire de même. Ils marchent vers nous. Jai le sentiment de vouloir être avaler par le corps de Patrick pour disparaître.. Ils sont a quelques pas de nous.
Patrick : Stop les gars
.
Je me trouvais face à eux , mincrustant contre Patrick.. Il déboutonne le haut de ma robe, ma respiration va me faire exploser.. Mes seins se libèrent, quil att aussitôt à pleine mains, les malaxant, mes tétons deviennent dune sensibilité extrême, Lhomme le plus âgé extrait son sexe bandé aussitôt copié par le plus jeune dans le mème état.
Moi : on . On rentre Monsieur
Patrick : hoo non Aurore, pas de suite non, viens ..
Je ne comprends pas mon ressentie, la présence de Patrick à mes cotés est plus que rassurante pourtant, un mélange de crainte, de honte, me sentir fragile, accessible, visible me procurent mille sensations partagées. Je revois ces deux sexes et surtout les regards de ces deux hommes sur moi. On marche sur un petit sentier, le bras de Patrick autour de ma taille, mes seins libres ballottent un peu, je sens le frais entre mes cuisses à peine dissimuler par le bas de ma robe. Je sens une présence derrière nous, deux jeunes nous suivent. Mon cur saccélère, on marche encore un peu, japerçois dans la pénombre , trois ou quatre personnes, ils semblent former un cercle. On se rapproche, mon cur va exploser.
Lhomme : tu promènes ta fille ?
Patrick : oui on peut dire ca..
Ses mots me transpercent.
Lhomme : tu la prête ?
Patrick : Non. Elle est là pour regarder.
Lhomme : Dommage ( son regard pervers est transperçant).
La femme doit avoir une quarantaine dannée, des formes généreuses, un très grosse poitrine se balançant à chacun de ses mouvements, des cuisses épaisses, des fesses grosses.
Lhomme : cest ma femme.
Patrick : Ha .. très jolie
Je ne comprends pas ma réaction à entendre ces mots. Je suis piquée, je viens de ressentir un sentiment de jalousie. Ce sentiment me perturbe. Je narrive pas à détacher mon regards de la bouche de cette femme qui avale littéralement les sexes offerts presque convulsivement. Jai des contraction dans mon vagin. Lhomme qui est avalé, se contracte, tient fermement la tête de la femme contre son bas ventre, elle suffoque en recevant ce que je pense.. hooooo.. lhomme pousse un râle sonore alors quun liquide blanchâtre s échappe de la commissure des lèvres de cette femme.
Patrick mentraîne dans la pénombre, nous nous éloignons, je ne réfléchie plus, abattue, je ne comprends plus ce qui marrive, je le suis totalement désorientée, perdue, dans un état dabattement.
Nous longeons le chemin quand japerçois sur ma droite, les deux jeunes qui nous suivaient. Ils doivent avoir mon âge. Ils nont plus de pantalons, lun est appuyé contre un arbre , cambré, lautre lui tiens les hanches et le pénètre. Jobserve la scène en continuant à marcher toujours collée à Patrick. Japerçois le sexe qui se balance entre les cuisses de celui qui est cambré, il pousse des cris qui me glace. Celui qui se trouve derrière maperçoit et me sourit en donnant des grands coups de reins. Nous les dépassons et nous continuons sans sarrêter. Nous arrivons au parking, il me semble que il y a beaucoup moins de voiture, je me prends à penser que nous navons pas vu tant de personne que ça et qu il devait y avoir dautres endroits où des choses se sont passées.
Patrick mouvre la portière, je monte sans chercher à dissimuler quoique ce soi, je le lui expose mon sexe libre, ma vulve ouverte, je massois pas, je meffondre sur le siège.
Le regard de Patrick sur moi en cet instant , je comprends quune chose va se passer. Il reste debout devant ma portière, défait son ceinturon, baisse sa fermeture éclaire et extrait de son pantalon son sexe bandé. Dune taille sans aucune mesure avec ce que jai pu voir ou apercevoir ce soir. Le sien est
proportionnelle a sa prestance, limite bestial, nervuré, épais, large à sa base, son gland énorme, son méat ouvert laissant séchapper un liquide translucide, ses testicules . Whouaaa..
Aucun mot nest échangé, juste des regards, je me saisi de ses fesses pour le rapprocher de moi. Ma langue se dépose sur son gland que je lèche doucement, glissant sur cette verge tendue pour la caresser. Goûtant du bout de mes lèvres sont odeurs, sa texture. Mes lèvres souvrent pour lengloutir mes mains toujours sur ses fesses musclées. Mes vas et viens, lui arrachent des râles, j en suis satisfaite, flattée, je ne peux engloutir guerre plus que son gland et un peu de sa hampe mais je mapplique à avoir une pression de mes lèvres constantes. Je suis assise face à lui, cuisses ouvertes, mon sexe coule, mon vagin gonflé ouvert. Japerçois deux ombres arrivées à coté de Patrick. Je reconnais la femme et son mari.
Lhomme : hummm tu te fais sucer par ta fille c est excellent.
La femme : hooooo c est sa fille..
je sens comme des décharges électriques dans mon corps.
La femme : hoooo quelle belle queue..
Je ne serai expliquer le pourquoi du comment, mais jai pensé à cet instant : oui et cest ma queue à moi en essayant de lavaler encore plus . Je pose une main sur sa hampe et je commence à le branler en mème temps que ma bouche lavale. Mon regard plongé dans le sien je passe à celui de la femme puis de lhomme. Mon autre main sest posée entres mes cuisses. Me masturbant doucement, je sens ma mouille couler sur le siège. Patrick grogne de plaisirs, je suis contente. Mes doigts me procurent de leffet, ça monte. Je commence à percevoir les prémices avant coureur quand Patrick se raidit. Le premier jet puissant me surprend, Il passe directement dans ma glotte, le deuxième me donne des haut-le-cur-, le vomissement nest pas loin, mes yeux pleurent. Encore des jets, ma cavité buccale se remplit, je ne bouge plus gardant son gland en moi, sentant son liquide onctueux tapisser mes joues internes , jai les yeux fermé, des ondes puissantes parcourent mon corps témoin de ma propre jouissance, jengloutis un peu, sentant cette semence épaisse glissée dans ma gorge et la sentant couler dans mon sophage. Il me semble que ça sarrête pas de sortir de son gland, remplissant encore ma bouche. Ca coule à la commissure de mes lèvres, ça coule sur ma gorge, glisse entre mes seins et continu sur mon ventre. Jengloutis encore nosant pas faire autrement. Ma main sur ses fesses je le sens se décontracter, puis il retire son gland de ma bouche, laissant séchapper encore du sperme qui va rejoindre mon ventre après mavoir couler entre mes seins.
La femme avait ses yeux dilatés et lhomme souriait mais pas un mot, un silence total.
Le sourire de Patrick comble mon orgueil, je rentre mes jambes et Patrick ferme la portière.
Il échange quelques mots avec le couple mais je nentends rien , je suis
vidée.
Assise dans la voiture, je ne cherche mème pas à cacher mes seins ni mon sexe, ma robe courte ouverte.
Sur le chemin du retour Patrick me demande de reboutonner un peu ma robe, ce que je fais dés quil me le demande. Je suis collante, poisseuse, une forte odeur de mâle sur moi, son goût encore en bouche. Absolument pas en mesure danalyser ce quil vient de se passer, je suis ébranlée, pantelante. On ne dit rien, je regarde le paysage défiler. La ville de Versailles la nuit et encore de lactivité. Notre bâtiment, il sengage dans le parking souterrain. Patrick mouvre la portière et me donne sa main pour maider à descendre. Une angoisse menvahit de peur de croiser quelquun. Sa main sur mon épaule, nous marchons côte à côte. Lascenseur et toujours cette angoisse persistante, notre palier. Nous entrons chez moi, Patrick me suit. Le miroir de lentrée me renvoi mon image, notre image. Jallais masseoir dans le canapé mais Patrick me demande de leau, jenlève mon blouson et je le rejoins Il fait signe avec sa main de masseoir à ses cotés. Nous buvons longuement tous les deux, la bouteille deau y passe.
Il me passe une main dans mes cheveux, il est doux.
Patrick : Ca va Aurore ?
Je me laisse caresser par sa main et ma tête se pose sur son épaule.
Moi : oui
oui ca va Monsieur.
Je perçois toute sa masse, toute sa force, je me sens si petite contre lui. Je tourne mes yeux vers lui , je ne sais comment expliquer ça mais jai une envie irrésistible quil me sert dans ses bras.
Lui, lhomme ours de 52 ans. Mon message subliminale a du être perçu car à cet instant il mattire bien contre lui et me prend dans ses bras. Nos deux visages face à face, je respire plus, je veux oui je le veux. Mais fais le idiot . Nos lèvres seffleurent, je ne résiste plus, je mabandonne à son baiser, sa langue cherchant la mienne et la mienne cherchant la sienne. Je le dévore dun baiser fougueux, dun baiser onctueux. Je fonds littéralement contre son torse puissant. Je cherche à maintenir se baiser éternellement, ce baiser séternise, je suis sienne.
Ses mains sur mes joues, ses yeux dans mes yeux.
Patrick : Cest une belle soirée nest ce pas ?
Moi : oui Monsieur..
Patrick : Il y en aura beaucoup dautres
. Mais pas forcement là où je t ai emmené où
. si tu nes pas gentille
je voulais juste vérifier une chose.
Moi :
oui
oui Monsieur.
Mon cur bat fort. De ses mains il lisse mes cheveux, les tirent en arrière, me regarde.
Patrick : Fait toi une queue de cheval Aurore, une tresse, ça te vient bien..
Moi : Oui Monsieur. ( je suis dans ses bras, je suis bien oui je suis bien, mon petit cur bat)
Patrick : Montres moi ta chambre Aurore ..
Je suis un peu surprise par ça demande mais je laccompagne, je lui tiens la main. Un peu gênée quil découvre mon univers intime, il regarde partout, il sourit, je reste à ses cotés , collée à lui comme une sangsue. Mon petit lit de 90 encore défait, des vêtements un peu partout. Je ne porte que ma robe très déboutonnée qui menace de laisser séchapper mes seins à chaque instant, mes tétons pointent au travers du tissus et quand je marche ou si jécarte un peu trop mes jambes, ma vulve libre peut se révéler.
Il ouvre ma penderie et passe en revue mes habits suspendus. Il sort une jupe portefeuille quil place sur moi, me regarde, sourit, la range. Deux robes quil regarde avec insistance. Une jupe fluide assez courte sur une étagère quil sort, la regarde et la range. Il ouvre les tiroirs de ma commode, je rougit, il regarde mes petites culottes et mes soutiens gorge. Jai encore beaucoup de petites culottes en coton. Des chaussettes, des bas en laine. Oui je nai que 18 ans..
Il sassoit sur mon lit, mattire debout devant lui, me flatte mes hanches de ses mains et déboutonne doucement les dernier boutons, ma robe souvre en mème temps que la chaleur sur mes joues mempourpre, que mon ventre se contracte, que mon cerveau vacille.. de ses deux mains sur mes fesses , il mattire à lui, dépose un baisé sur mon ventre. Ses mains malaxent mes fesses, quil ouvre et ferme, je sens mon vagin réagir de même.
Patrick : tu sens lhomme Aurore..
Ces mots me remémorent le déroulement de la soirée, ces sexes dhommes bandés, leurs râles, leurs abandons sur moi.
Ces doigts, entre mes fesses, caressent ma fente, mon petit sillon, son majeur glisse aisément dans mon vagin qui laccueille et en cet instant je ne suis que fontaine. Je sens son souffle chaud et sa langue titille mon clitoris durci. Il me prend entre ses dents et me mordille, je vais exploser. C est la première fois quune bouche se pose ici. Sa langue rejoins les deux doigts qui me fouillent, mouvrent. Je fonds. Sa langue joue avec mon sexe, sinsinue, me lape, je ne suis que gémissement. Alors que sa langue sinsinue dans ma cavité intime, son index caresse le sillon de mes fesses et stop lorsquil ressens les petits détails de .. de .. mon petit trou. Son doigt malaxe mon illet alors qu il boit mon abandon. La pression de sa main, colle encore plus ma vulve sur sa bouche et je ressens l intrusion de son doigt qui force le passage vers mon intestin, je sens mon muscle se relâcher et accepter se doigt alors que ma jouissance se déverse sur sa langue, dans sa bouche, je tremble. Je joui.
Il se lève , se déshabille. Je mallonge. Je le vois nu pour la première fois, son corps lourd, son ventre, son torse, ses jambes musclés couverts de poils. Cest un ours, avec entre les jambes son sexe érigé, épais, noueux doù jailli son gland majestueux mais effrayant par sa grosseur. Ses énormes testicules me font encore frémir. Je me sens si petite , si frêle, si fragile face à la puissance quil dégage. Lorsquil sagenouille sur mon lit, jai limpression quon va tout casser tellement il saffaisse, grince, craque. Ses yeux noirs me fixent, je me pince les lèvres. Mes jambes sont si fines entres lui, ma peau si blanche lorsquil les place sur ses épaules. Son sexe dur sur mon bas ventre que le contraste de sa grosseur sur moi me fait trembler..
IL se penche sur moi, nos lèvres se touchent, nos langues se mélange.
Patrick : Tu es mienne Aurore, tu me sera dévouée, obéissante .
Aucun son nest sortie de ma bouche qui souvrait proportionnellement à sa pénétration forte et continue. Mes chairs souvraient exagérément pour recevoir le membre de cet homme que je peux sentir millimètre par millimètre étirer et élargir mes muqueuses.
Mon petit lit craquait, prêt à se délabrer par ça stature imposante, lui qui me pénétrait de son sexe énorme, mes cuisses largement entrouvertes pour le recevoir. Quand ma bouche a pu laisser sortir un son, cétait quun râle fort et puissant . Il se maintenait sur ses avants bras pour me donner des mouvement de reins régulier et fort. Son torse puissant me couvrant littéralement. Il me retourna comme un fétu de paille sans que son sexe ne quitte mon vagin hypertrophié, jétais sur lui, empalée par sa verge épaisse, mes cuisses très ouvertes sur son corps massif, je montais, descendais en poussant des petits cris , voyant mes chairs saillantes à chaque retrait offrant à son regard tous les détail de la perforation . Je ne suis que jouissance et orgasmes forts à voir ma mouille séchapper par flots , ses mains sur mes seins à les malaxer, tirer sur mes tétons érigés. Il sest assis sur le bord du lit sans encore que ma vulve ne quitte son sceptre, mes bras sur ses épaules, autour de son coup, je criai , après quelques instants il sest levé, mes jambes autour de ses hanches, à poursuivre ses coups de reins puissants, ses mains sur mes fesses. Son visage tendue, j ai sentie ses contractions en mème temps que mes convulsions. Il sest figé au plus profond de moi, ça verge tellement serrée en moi que j en ai senti les prémices du torrent qui allait se déverser, jai senti les premiers jets violents de son sperme qui minonde avant quil se retire dun bruit de ventouse, il me mit à genoux et dune pression sur mon épaule porta ma bouche à hauteur de son sexe. J ai eu juste le temps douvrir mes lèvres, davaler son gland pour sentir son bouillon écumeux me remplir la bouche. Je sentais son sperme séchapper de ma vulve et me remplir mon sophage.
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