Jeux Dans Le Noir

Je connaissais Suzanne depuis peu. Nous avions bien accrochés au cours d'une soirée avec des amis.
Elle m'avait rappelé et je devais la retrouver chez elle pour une surprise.

Je sonnais à l'interphone, puis pris l'ascenseur pour monter les 10 étages. Elle habitait une tour de la ville. La porte était entrouverte sur le palier. Aucune lumière ne filtrait depuis l'entrebâillement. J'entrais et constatais qu'effectivement la pièce était entièrement plongée dans le noir.

Je toussotais quand j'entendis sa voix depuis le milieu de la pièce me demander de fermer la porte. Je m'exécutais. Elle me dit ensuite d'avancer tout droit depuis la porte en direction du milieu de la pièce. Je trouvais cela amusant. On m'avait préparé une surprise ? Ce n'était pourtant ni ma fête; ni mon anniversaire.

Arrivé au milieu de la pièce, enfin, ce que je pensais être le milieu de la pièce puisqu'on n'y voyait rien, elle me dit de m'agenouiller. Je fis ce qu'on me demandait. Puis j'entendis des bruits de pas. Il s'agissait de bruits de pieds nus. Elle s'approcha de moi et me défis ma veste. Elle me dit de me mettre à l'aise. Puis, je la sentis faire le tour et se mettre face à moi. Je ne la voyais pas.

Soudain, je sentis une bouffée de poils devant ma tête. Elle me dit de lui faire la bise. C'était bien ce que je pensais, je fis la bise à son pubis. Je pouvais sentir son excitation. L'odeur de sa mouille était forte mais délicieuse. Je cherchais à l'enserrer dans mes bras mais elle me demanda de me déshabiller d'abord. C'était très étrange. Nous apprîmes à nous connaître dans le noir. La caresser, la couvrir de baiser dans le noir était très excitant.

Quand je passais ma langue sur ses tétons, des frissons la parcouraient et la chair de poule durcissait ses deux petits globes. Après un certain, elle prit mon sexe pour le sucer. Elle avait l'air de bien aimer. Très vite, il fut trempé de salives et lorsque n'en pouvant plus je cherchais à la prendre, il s'enfonça sans mal dans sa chatte brûlante.

Je jouis très vite. Mais elle me dit qu'elle adorait ses moments d'excitation intenses quasi frénétiques. Sentir le souffle court, les va et viens rapides et les halètements d'un mec suffisait quasiment à la faire jouir. Nous étions vraiment faits pour nous entendre...