Le Ternimal
Cétait ma troisième rentrée à linternat du lycée Voltaire. Quand mes parents avaient déménagé, trois ans plus tôt, je navais pas voulu quitter mon école et tous mes amis. Ils ont accepté que je devienne pensionnaire au lycée, ce qui, dune certaine manière me donnait plus de liberté. En effet, on était très peu surveillé, sans doute parce que nous étions les plus grands (les plus jeunes ont quinze ans) et quil ny avait jamais eu de gros problèmes de discipline : nous étions une quarantaine à y vivre.
Jarrivai donc en terminale et pris place dans ma chambre. Mathieu, le garçon avec qui je partageais ma chambre lan dernier, avait décroché son bac en juin ; je devais donc avoir un nouveau colocataire pour cette année. Daprès ce que mavaient dit les surveillants, il sappelait Loïc et il entrait en première. Cétait sa première année en internat et au lycée, personne ne le connaissait réellement.
Je repris rapidement mes marques et décidai de prendre une douche pour me détendre avant de rejoindre tout le monde dans la salle commune. Les chambres étaient équipées dun lavabo et de toilettes. Le premier était directement dans la chambre, seules les toilettes étaient dans une petite pièce à part. Les douches étaient sur le pallier. Je me ceignis dune serviette et déambulai jusquau bout du couloir. Sur le chemin, je croisai Nico, un autre mec de terminale, qui revenait des douches en boxer, ce qui laissait entrevoir un joli paquet. On sembrassa, nos corps seffleurèrent. On parla un instant de nos vacances, puis jentrai dans les douches.
Les petits espaces étaient séparés par des murs sélevant à moitié, comme dans un vestiaire sportif, si bien que lon prenait sa douche devant tout le monde. Deux élèves de seconde se savonnaient en discutant : la douche est avant tout un espace convivial puisque quand on en prend une, on voit encore le buste de ses voisins et que quand on y entre, on voit tout des corps de nos camarades.
Je saluai les deux garçons et on discuta de tout et de rien pendant dix minutes. Ils se demandaient sils allaient avoir de chouettes profs et sils nallaient pas avoir trop de travail.
Je les rassurai promptement : la seconde nest pas si terrible. On se sécha et on reprit le chemin de nos chambres, la leur étant à côté de la mienne.
Quand je poussai ma porte, je vis que Loïc était arrivé. Il était en train de vider sa valise. Je le saluai et me présentai en lui souhaitant la bienvenue. Je dois bien dire quil était assez mignon, mais quil avait lair super timide. Je me dis que cétait à cause de ma tenue et je mhabillai rapidement avant de lui proposer de faire le tour du propriétaire. Je lui montrai la salle commune, la salle détude, la salle à manger et les douches. Il parut assez surpris de constater que tout le monde pouvait voir tout le monde, mais je lui expliquai quon sy faisait très vite et que de toute façon, on était entre mecs.
On mangea tous ensemble et je présentai Loïc à mes amis. La soirée fut excellente : il était drôle et avait beaucoup desprit. Je le trouvais de plus en plus mignon ; il avait un charme ravageur. Pourtant, il donnait limpression de ne pas sen rendre compte.
A minuit, nous montâmes dans nos chambres, comme le voulait le règlement. Mais là, rien ne nous empêchait de discuter encore un peu. Alors que je me déshabillais pour me coucher et que je me mettais nu dans mes draps, comme dhabitude, je vis que Loïc ne savait pas trop sil devait faire de même. Après un moment dhésitation, il dit quil allait prendre une douche parce quil était éreinté et stressé par cette première journée. Cest vrai que ce nest pas facile darriver dans un groupe déjà formé et de devoir sy insérer. Je lui dis que je dormirais probablement quand il reviendrait et je lui souhaitai une bonne nuit.
Je mendormis en effet très rapidement et je nentendis pas Loïc revenir dans la chambre.
Je me caressais doucement, pour ne pas réveiller Loïc qui était à un mètre de moi, nos deux lits étant séparés par une petite table de nuit. Assis dans mon lit, je le regardais dormir, parcourais du regard ses épaules solides, son dos musclé et ses fesses qui se dessinaient parfaitement sous le drap. Il bougea et jarrêtai de me toucher pour faire semblant de somnoler un peu. A la forme que prirent ses couvertures, je vis quil bandait aussi. Et si je ne faisais rien pour cacher mon érection, il mit son drap autour de la taille avant de se diriger vers les toilettes. Son torse aussi était bien fait, très musclé et imberbe.
Quand il sortit des toilettes, il bandait toujours. Au moins ne sétait-il pas soulagé seul. Je sortis enfin de mon lit, toujours avec ma gaule. Je pris mon temps pour choisir mes affaires et mhabiller. Jallai dabord me raser, toujours nu. Après quelques minutes, je débandai et arrivai à me calmer. Ca ferait sans doute moins peur à Loïc qui semblait toujours très gêné. Mais il sy ferait : je nallais pas changer mes habitudes de vie sous prétexte quil navait jamais vu un mec à poil et quil était gêné par une bite et un cul quil avait aussi. Je me retournai et mhabillai comme si de rien nétait, tout en discutant avec lui. Il sétait habillé en me tournant le dos, ce qui fait que je nai pu voir que ses fesses dans la glace. Nous nous rendîmes ensuite dans la salle à manger pour prendre notre petit déjeuner.
On se retrouva le soir, après notre première journée de cours. On partagea nos expériences, il me parlait des gens quil avait rencontrés. Comme personne navait encore beaucoup de choses à faire pour les cours, organisa un match de foot. Loïc fut intégré dans mon équipe et le match se déroula sans problème. Il jouait très bien et grâce à ses deux buts, on gagna cette manche.
On prit ensuite la direction de douches, grisées par la victoire. Il ny avait bien sûr pas de place pour tout le monde en même temps, ce qui fait que nous dûmes attendre un peu. Je mis donc ma serviette autour de la taille ; Loïc fit de même et on alla faire la file avec les autres mecs. Loïc fut félicité par tous pour son jeu. Une place se libéra et je lui dis dy aller. Il enleva sa serviette et on put tous voir son splendide corps. Il continuait de discuter avec nous, tout en se savonnant ; la victoire semblait lui avoir ôté toute pudeur. Sa queue nétait pas très grande : huit centimètres maximum au repos, mais elle était bien dessinée. Sans quil sen rende vraiment compte, sa queue commença à gonfler. Moi aussi, je commençais à être excité.
Après un rapide coup dil dans lassemblée, je vis que nous nétions pas les seuls à bander et que certains qui sessuyaient déjà avaient la queue complètement dressée. Cest donc sans pudeur que jallai dans la douche voisine de cette de Loïc. Ma queue était plus grande que la sienne et je commençai à bander. De toute façon, ça arrivait souvent et personne ne posait jamais de questions. Les mecs sont faits comme ça, on ny peut rien. Comment retenir une érection quand on a quinze ou même dix-huit ans ?
Loïc se sécha et quitta les douches pour rejoindre notre chambre. Quand jentrai à mon tour, je vis quil était sur son lit, en train de se branler. Il lâcha immédiatement sa queue. Je lui dis quil ne fallait surtout pas sarrêter pour moi et que tout le monde ici se branlait devant son camarade de chambre ! Jôtai ma serviette et commençai à me branler devant lui. Je mallongeai sur mon lit en ne le perdant pas du regard. Il avait recommencé à se toucher, mais il fermait les yeux. Je jouis assez vite : javais une espèce de Dieu qui se touchait devant moi et ça faisait deux jours que je mabstenais. Je pris ensuite la direction du lavabo, pour me nettoyer. Loïc jouit deux minutes après et vint se placer à côté de moi, pour se rincer aussi.
Après avoir fait disparaître toute trace de sperme de nos corps, on était de nouveau tous les deux à plat. Loïc regardait fixement nos deux engins :
- Elle est quand même petite, la mienne, me dit-il.
- Tu sais, à partir du moment où elle fonctionne bien
- Cest con de complexer là-dessus, mais la tienne est quand même beaucoup plus longue et plus grosse. Elle fait quoi ? 12 cm de long et 5 de large au repos ? Et quand tu bandes un bon
18/8 ?
- Je ne sais pas, je nai jamais vraiment mesuré
Mais ça doit être quelque chose comme ça.
Je mentais : je savais très bien que ma queue était très grande pour mon âge et que ça avait déjà impressionné quelques mecs dici moins chanceux. Quand jétais très excité, elle pouvait atteindre les 20 cm. Il me dit que ça lintéressait de savoir. Il me tendit une règle et je mesurai : elle fait, au repos, 12 cm sur 6. Loïc fixait ses yeux sur ce sexe qui lintriguait beaucoup et lui faisait envie. On shabilla enfin pour prendre le repas du soir.
Le soir, je montai plus tôt dans la chambre : javais envie dêtre un peu seul et de lire un livre.
Il faisait chaud et je me mis nu sur mes couvertures. Loïc monta à minuit, avec tout le monde.
Notre branlette lui avait montré quil ny avait rien de mal à être nu et il ôta tout de suite ses vêtements pour se brosser les dents. Il se retourna avec la gaule. Il était vraiment bien foutu et très poilu sur les jambes et le pubis. Je lui dit que cétait sans doute à cause de tout ses poils quil trouvait sa bite petite. Il était daccord, mais il ne se voyait pas avec la toison rasée. Je lui dis quil suffisait de couper un peu et que je pouvais lui montrer sil le voulait. Javais dit cela sur le ton de la plaisanterie, mais il accepta ! Je pris des ciseaux et lui dit de venir près de moi.
Je magenouillai et pris sa bite en main. Je taillais dans ses poils pour tout lui dégager. Au final, on voyait mieux sa queue et je bandais aussi. Quand je me relevai, nos queues se mêlèrent et nos torses se touchèrent. On resta un instant collés, puis il me remercia. Il se mit sur son lit et sastiqua. Je décidai de dormir tout de suite. Il fit du bruit cinq minutes et gicla dans un mouchoir avant de sendormir.
Le lendemain, il ne bandait pas. Ma gaule du matin est très vite passée, avant même que je ne sorte de mon lit. Jallai me raser puis prendre une douche. Loïc ne se gênait plus : il bandait dans sa serviette quand il est entré dans le local déjà embué, il lôta et nhésitait plus à se toucher sous le jet deau. Ca en inspira quelques-uns (leur queue qui se relevait en témoignait). La branlette générale nallait pas tarder. Des élèves qui attendaient de prendre leur douche enlevèrent leurs caleçons et commencèrent à se toucher. Tous ceux qui étaient sous les douches bandaient. Nico, qui en avait marre dattendre, vint dans ma douche et me pria den sortir, voyant que javais fini de me laver. Je me penchai pour reprendre mon shampoing et je sentis sa queue raide sur mes fesses. Je ne dis rien et sorti. Je me finis en me séchant ; tout le monde se branlait, cétait orgiaque. Loïc débandait dans sa douche en se rinçant les cheveux. Je lattendis pour rentrer dans notre chambre : le spectacle était magnifique.
Sur le retour, je lui dis de ne pas provoquer ça tous les matins, parce quon pourrait se faire repérer. Les surveillants se doutaient de nos joutes et les toléraient, si cela ne devenait pas systématique. Il comprit très bien et promit de se soulager avant daller aux douches.
Une journée passa. Le soir, Loïc bandait de nouveau comme un âne. Il me demanda la permission de se branler ! Je ne pouvais pas le lui refuser, mais je ne pouvais pas non plus mempêcher de lui poser une question :
- Tu as toujours des envies aussi fortes, tout le temps ?
- En fait, chez moi, je nai jamais loccasion dêtre à poil ! Je nai que des surs à la maison et je dois partager ma chambre avec la plus petite qui a 12 ans. Je ne peux jamais me branler comme ça. En plus, tous les mecs de mon ancienne école étaient très à laise avec leur corps et à la piscine, ils se baladaient tous à poil, comme ici dans les douches, et pas un ne bandait.
Moi je gardais toujours mon maillot, de peur que ma queue ne se réveille ! Donc cest neuf pour moi de pouvoir faire tout ça
- Tu veux dire que tu ne tes jamais branlé avec dautres mecs ?
- Non, jamais. Quand javais huit ans, jétais chez mes cousins qui en avaient 15. Ce sont des jumeaux et on dormait tous les trois dans la même chambre parce que leur appartement nétait pas très grand. Ils se sont mis à poil le soir et il y en avait un des deux qui bandait. Je ne savais pas ce que cétait, tu penses
Ils mont dit que je devais bien regarder comment on sen servait. Ils se sont branlé tous les deux sur mon lit, à côté de moi, et ils ont giclé à 20 cm de moi. Cest la seule fois, avant que jarrive ici, que lon se branlait devant moi.
- Ok, donc tu ratts le retard ! Cest bien naturel et personne ici ne te reprochera de te faire du bien. Surtout pas moi ! Alors quand tu veux te branler, pas besoin de te gêner, même si je ne taccompagne pas à chaque fois.
Comme il bandait toujours, je lui dis de se soulager et que jallais dormir.
Le lendemain, je sentis une main sur moi. Cétait Loïc qui me tâtait les couilles et me dressait la bite. Je fis semblant de continuer à dormir et il commença à me branler. Quand elle fut un peu rigide, il posa ses lèvres dessus. Je ne pus retenir un soupir ; il faisait ça très doucement et extrêmement bien. Maintenant quil savait que jétais réveillé, il me branla un peu plus vite et un peu plus fort, jusquà me faire jouir. Il membrassait les couilles régulièrement, en gobait une de temps en temps. Je ne pensais quau plaisir que je prenais !
Quand jeus joui, il se coucha à côté de moi, tout contre moi, son sexe tendu contre ma jambe.
Je pris à mon tour sa queue dans ma main et lastiquai. Pendant ce temps, il mexpliquait dans le creux de loreille que la véritable beauté était à ses yeux le corps dun homme et que cétait ceux-là quil aimait. Et dire que je navais rien vu venir
Le soir même, nous collâmes nos deux lits et nous fîmes lamour. Le même rituel se répéta chaque soir jusquà la fin de lannée : nous nous mettions à poil après la soirée dans la salle commune, nous collions nos deux lits et nous dormions lun dans lautre.
Cette année en terminale fut la plus belle de mon parcours scolaire ! Je réussis mon bac sans problème et Loïc vint passer un mois de vacances avec moi chez mes parents. Mais cest une autre histoire
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