Mon Boulanger
Un jeune boulanger d'environ vingt cinq ans s'est installé il y a quelques mois dans mon quartier. Très mignon, d'une bonne allure physique qui faisait tourner les yeux de ses dames (et des miens), il avait tout pour plaire. En bon commerçant, il avait toujours le mot pour plaisanter et il nen manquait pas.
Nous avons fini par faire connaissance au bout de quelques semaines et à sympathiser. J'appris qu'il était célibataire. Le trouvant très à mon goût, je me mis en tête de le séduire, sachant qu'il y avait foule à la porte.
Il appréciait la façon que j'avais de lui faire du charme, et se pris au jeu de me le rendre gentiment, mais me fit comprendre pourtant que je ne lintéressais pas.
Cela n'empêcha pas Laurent (c'est son prénom) de me fréquenter, et de la relation courtoise se transforma en amitié.
Il y a quelque jours, un samedi soir, Laurent m'appela sur mon portable pour me demander si il pouvait venir me voir, ce que j'acceptais avec plaisir. Il arriva peut après, tout sourire et content de ne pas se sentir seul. Il m'avoua qu'il se sentait un peu déprimé ses derniers jours et ne rentra pas trop dans les détails.
Tout en parlant, je lui servis une bière qu'il aimait particulièrement et m'assis près de lui, tout en buvant la mienne. Je le regardais en espérant malgré tout de pouvoir me le faire.
A un moment, il posa sa tête contre mon épaule et je me mis à lui caresser ses cheveux, très doux. Il se sentit bien et m'invita à continuer. Tendrement, je lui déposai un baiser sur son front. Il murmura à mon oreille, tendrement : " j'ai envie de toi".
Nos bières furent rapidement posées sur une table et je le pris dans mes bras. Laurent devint tendre, comme jamais je ne l'avais vu avant. Nos bouches se collèrent l'une à l'autre. Il embrassait comme un dieu, c'était merveilleux.
Nous nous caressâmes un moment, et nous nous déshabillâmes mutuellement.
Je l'emmenais dans ma chambre, pour que nous puissions nous aimer tranquillement. Je m'allongeais sur mon dos. Il se mit à me caresser mon ventre, pris mon sexe dans une de ses mains pour jouer avec avant de se mettre à me sucer.
Mon Dieu, il me suçait divinement bien. Je n'en revenais pas. Il s'y prit tellement bien qu'il me fit jouir trop vite. Il remonta rapidement sa tête contre la mienne et nous nous embrassions rapidement. Il me fit pivoter et je me retrouvai sur lui. Il me caressa mon dos, tandis que mon sexe labourait doucement et tendrement son bas ventre et que nous nous embrassions à la passion.
Il me fit comprendre qu'il voulait que je le prenne. Il passa ses jambes autour de mon coup, et mon sexe trouva son petit trou bien serré, avec son aide. Je le pénétrais doucement, craignant qu'il ai mal. Il m'avoua que c'était sa première sodomie. Je le pris doucement, avec lenteur. Et quand son plaisir arriva, je rentrais en lui de plus en plus fort. Il cria qu'il aimait ca, qu'il m'aimait, et que c'était vraiment trop bon.
Je jouis alors rapidement en lui, lui lançant dans son trou quatre grandes giclées de sperme, avant de m'effondrer à côté de lui. Il m'embrassa de nouveau, tendrement, avant de s'allonger de nouveau sur moi. Jécartais de nouveau mes jambes et je sentais qu'il bandait de nouveau.
Je lui caressais de nouveau son dos, lui murmura des mots doux à son oreille et l'embrassais de nouveau. Tout son corps sur le mien m'excitait et m'enivrait. Il me prit comme si j'étais une femme, et il jouit sur mon ventre.
Nous étions heureux. Il posa sa tête contre la mienne, me remercia de ce bon moment. Je le gardais un bon moment ainsi, ne voulant pas le perdre.
Il passa toute la nuit à mes côtés, et me refis l'amour deux autres fois durant cette nuit, en me prenant la dernière fois dans mes fesses.
Avant qu'il ne parte à son fourneau le lendemain matin, il m'embrassa une dernière fois tendrement en me remerciant de cette nuit. J'aurais bien voulu le garder plus longtemps, mais je sais qu'il préfère ces dames à moi. Même si parfois, il revient me voir quand il se sent un peu trop seul.
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