Les Ordres De Ma Maîtresse (Suite1)

Je rentrais chez moi et me mis sous la douche toute habillée. Je laissais couler l’eau longtemps sur moi avant de me déshabiller et de me laver au savon.
Je sorti de ma douche et préparais un repas léger, lorsque la sonnette de mon appartement retentis.
Complètement hypnotisée par ce bruit de sonnette, je restais à regarder la porte de mon appartement sans aucune réaction. C’est la deuxième sonnerie qui me fit sursauter et je me dirigeais vers la porte d’un pas hésitant. Je n’attendais personne et je n’étais pas dans une tenue de recevoir des amies ou amis.
C’est qui ? Demandais-je
Ouvre salope ! Cria une voix !
Je compris que mon cauchemar n’était pas terminé. De peur qu’il n’ameute mes voisins, j’ouvris la porte et c’est deux noirs qui entrèrent en me poussant. L’un d’eux s’adossa à ma porte et l’autre fit rapidement le tour de mon appartement. Je remarquais que celui qui s’était adossé à la porte tenait un sac de sport dans sa main gauche et me regardait avec un sourire sadique. Et admiratif en même temps.
Je ne pouvais quitter des yeux ce grand noir qui semblait me déshabiller des yeux. Hypnotisée par son regard, je ne sentis pas l’autre arrivé derrière moi, prendre le nœud de la ceinture, de ma sortie de bain, de le détacher et de tirer vers lui ma sortie de bain qui s’envola dans la pièce.
Ne bouge surtout pas et laisse toi faire, chuchota le grand noir dans mon oreille.
Il prit mes deux bras et les rejoignis dans mon dos. Avec la ceinture de ma sortie de bain, il lia mes poignets ensemble et me lécha l’oreille droite en disant :
Je suis sur que, tu vas être bonne toi.
S’il… S’il vous plait… S’il vous plait, je suis fatiguée… revenez un autre jour… S’il vous plait…
Un autre jour ! Ma petite pute ! N’y compte même pas.
Monsieur Jean, le patron du café nous a demandé de faire une vrai petite pute pour lui, déclara le noir appuyé contre ma porte d’entrée, et vu le corps que tu as cela va être un vrai plaisir !
Le noir qui avait attaché mes poignets, se tenait toujours derrière moi et malaxait mes seins en tirant et pinçant mes tétons.

A plusieurs reprises, il me lécha le visage en disant que j’avais bon gout pour une pute blanche.
Au lieu de nous supplier de partir tu vas nous supplier de te baiser ok ! fit le noir dans mon dos
Je… je…
Il pinça fortement un de mes tétons et répéta sa phrase.
Supplie-nous de te baiser salope !
Aie ! S’il vous plait… Je… Non… Aie… Pitié !
Alors on attend !… dit l’autre noir.
Je… Je… je vous prie de bien vouloir…me… b..baiser.. ;
Mieux que ça ! Dit le noir derrière moi en pinçant de plus belle mon tétons déjà meurtri.
Aieee !... Je… Aie ! Baisez-moi… s’il vous plait !
C’est déjà mieux, mais je suis sur que tu peux mieux faire…
Ils me firent répéter à de nombreuses reprises des phrases vulgaires, pour les supplier de me baiser, de toutes les façons possibles.
Ce jeu dura plusieurs longues minutes, pendant lesquelles, je subis des pincements, des caresses et des pénétrations de doigt dans le vagin et le derrière. Puis chacun d’eux m’embrassa de façon baveuse, m’obligeant à avaler leur salive. Ils me firent sucer leurs doigts qui sortaient de mon vagin.
Lorsque ma bouche était libre, ils me faisaient les supplier de me baiser. C’était un véritable lavage de cerveau qu’ils m’imposaient. J’étais dans un état de jouissance au maximum, à cause de leurs caresses et des phrases de plus en plus vulgaires, qu’ils m’obligeaient à répéter sans cesse et de plus en plus fort.
Je fus entraînée dans ma chambre et couchée sur le dos au bord du lit. Mes jambes pendaient en dehors. Mes bras attachés dans le dos, me faisant offrir mon bassin, à eux.
Ils se déshabillèrent tous les deux et je pus voir avec un certain effroi, la taille de leur sexe qui n’était même pas encore en érection totale. Leur corps athlétique et noir me fit un effet bizarre, comme un mélange de peur et d’envie. Mais intestins n’étaient plus qu’un énorme nœud et ma gorge se serra de façon à avoir des difficultés à respirer.
Cependant que le plus grand des deux noirs se plaça entre mes cuisses largement écartées, le second m’obligea à ouvrir la bouche et y engouffra un bâillon-boule, qu’il s’empressa d’attacher derrière ma tête.

Tu en as de la chance, dit le grand noir entre mes cuisses, Tu me donnes tellement envie de te baisser que cela va être un vrai plaisir et puis t’as pas arrêté de nous supplier, alors on va te baiser toute la nuit.
T’inquiète pas petite pute ! Dit l’autre gars, on va bien s’amuser tous les trois ! Hein Abdou !
Le grand noir s’appelait donc Abdou ! Pensais-je dans mes brumes de jouissance. Il promenait son gland sur mes cuisses et ma fente forçant légèrement l’entrée. Il caressait mon clitoris bien dur avec le bout de son sexe qui devenait de plus en plus dur et grossissait encore plus.
Alors que, je me berçais de ses caresses, il s’enfonça, en moi, brusquement et violement. Je cru qu’il m’ouvrait en deux et j’eu l’impression d’avaler la boule qui se trouvais dans ma bouche tant le souffle me manqua lors de cette intrusion brusque.
Il commença à me limer comme un dingue faisant exploser mon taux d’adrénaline et m’obscurcissant complètement l’esprit. Tout mon corps supportait les assauts d’Abdou. Dans ma tête résonnait, le bruit du lit qui ce déplaçait à chaque pénétration de son sexe en moi. Puis, tout devint beau, la douleur et le rythme de la pénétration firent éclater en moi une onde géante de plaisir. La situation, mon corps lié et triturer par les mains de l’autre noir, plus les coups de rein monstrueux d’Abdou dans mon corps, firent en sorte de faire exploser un orgasme sans précédent. Je ne sus plus rien, mon cerveau ne pensait plus, seul ce monstrueux sexe qui coulissait en moi et qui me donnait tant de plaisir comptait pour moi. A ce moment précis, je cru que j’avais atteint le but de ma vie. Plus rien ne comptait, plus rien n’avait d’importance que ce sexe qui entrait et sortait à une allure folle dans mon corps.
Alors que le bout du sexe d’Abdou tapait contre mon col de l’utérus, faisant à chaque fois voir l’infinité de l’univers, Abdou ce retira complètement de moi, laissant un vide immense dans mon ventre.
A toi Salim ! Elle est à point.
S’écria Abdou.
Le temps de réaliser ce que mon cerveau venait d’enregistrer, le Salim en question se plaça entre mes cuisses et me pénétra sans aucune précaution. Je reçu ce deuxième sexe presque comme une offrande et ma jouissance reprit aussi vite que les allers et retours de Salim dans mon vagin.
Alors, commença pour moi la nuit la plus jouissive de ma courte vie d’adulte. Pendant un temps impossible à évaluer ils se relayèrent dans mon vagin, sans jamais jouir. Leur sexe étant lubrifié par mes sécrétions continuelles et abondantes.
Ce fut Salim qui conclu cette première partie en jouissant abondamment en moi. Il fut remplacé par Abdou qui mit plus de dix minutes à me limer comme un fou avant de me remplir lui aussi de son sperme tellement abondant que mon vagin déborda à chaque enfoncement.
Ils me laissèrent ainsi, à bout de souffle, toujours attachée et bâillonnée, sur le lit et lorsqu’enfin, je repris mes esprits et le contrôle de mes pensées, je pu distinguer aisément le bruit caractéristique de vaisselle, dans ma cuisine.
Je me rendis compte alors qu’en fait, ils étaient en train de vider mon frigo et mangeaient et buvaient ce qu’ils trouvaient.
Ce répits ne durant que le temps de se remplir l’estomac car, je les vis revenir, le sourire jusqu’aux oreilles, en me disant que, maintenant, ils allaient enfin me baiser comme, je le méritais.
C’est un vrai cinq étoiles chez toi fit Abdou.
Ouais ! Confirma Salim et maintenant qu’on à repris des forces on va pouvoir te prendre de tous les côtés, petite pute.
Instinctivement, je refermais, mes cuisses mais Abdou les ouvrirent sans aucune peine et prenant le couvre-lit, sur lequel j’étais couché, les jambes toujours hors du lit, il m’essuya l’intérieur des cuisses et ma vulve dégoulinante de leurs spermes. Il me retourna comme une crêpe et plaça son sexe contre mon anus.
Une angoisse et peur s’empara de moi croyant qu’il allait me pénétrer comme il avait fait dans mon vagin, mais son sexe redescendit jusqu’à l’entrée de ma vulve et me pénétra de quelques centimètres.
Il ressorti et replaça son gland sur mon anus mais, cette fois en poussant.
La poussée exercée sur mon anus fut continuelle et de plus en plus forte, ce qui fit ouvrir le passage et Abdou me rentra complètement son sexe en moi. La douleur de cette pénétration arqua mon corps et me souleva presque à 90° vers l’arrière. Mon cri étranglé par la boule-bâillon, ne fut qu’un grognement à peine audible mais, explosa dans ma tête. Abdou profita du redressement de mon torse pour m’attr les deux seins et me redresser complètement contre lui. Mon corps quitta la surface du lit, mes reins se creusèrent à cause de mes poignets liés dans mon dos et le poids de mon corps renforça l’enfoncement du sexe d’Abdou dans mon derrière.
Waouh ! S’écria Abdou dans l’oreille, elle est aussi étroite du cul que du vagin !
Tient la bien j’arrive, s’écria Salim en s’approchant de moi, son sexe tendu vers mon ventre.
Abdou resserra sa prise sur mes petits seins et Salim présenta son sexe tendu à l’entré de mon vagin. La pénétration de Salim, en moi, fut lente et douloureuse. Jamais je n’avais eu deux sexes en moi et l’impression de m’ouvrir en deux fit une fois de plus monter une jouissance incommensurable depuis mon ventre jusqu’au tréfonds de mon cerveau.
Au plus le sexe de Salim entrait en moi, au plus le sexe d’Abdou voulais ressortir. Alors il me lâcha brusquement les seins et attrapa mes cuisses pour les tirer vers lui. Mon corps bascula vers l’avant mais sur la poitrine de Salim, qui profita pour donner un formidable coup de rein et s’enfoncer complètement en moi. Nos deux pubis se touchèrent et ses poils durs et crépus, griffèrent le mien complètement rasé. Ma poitrine écrasée contre le torse de Salim me faisait ressentir toute la dureté de ses muscles pectoraux. J’étais coincée entre les deux noirs et mes pieds ne touchaient plus le sol. Salim mis ses mains entre le ventre d’Abdou et me fesses et tira vers lui, cependant qu’Abdou tirait mes cuisses vers son corps. Les deux pénétrations furent totale et sans que ni l’un ni l’autre ne bougèrent en moi, un orgasme titanesque, me submergea et mon corps fut secouer de spasme.
La salope ! S’écria Salim, elle jouit et on n’a même pas commencé.
T’inquiète, elle va voir ce que deux noirs peuvent faire avec leur queue.
Je ne peux décrire ce qui se passa ensuite. Le seul repère que mon cerveau retint c’est le va et vient des deux sexes en moi.
Ni le temps, ni la fatigue, ni même le plaisir ou la douleur ne laissèrent de trace en moi. Seul le ramonage ininterrompu des deux sexes en moi, marquèrent mon esprit.
Lorsque, je repris mes esprits, j’étais allongée, en chien de fusil, sur le lit et une douleur sourde mais supportable émanait de mon entre-jambe.
Le brouillard de mon esprit disparaissait lentement laissant derrière lui des limbes de plaisir et de jouissance.
Je vis avec effrois Abdou et Salim s’approcher de moi, leur sexe à l’horizontal comme s’ils n’avaient pas encore baisé.
Alors petite salope, prête pour la troisième partie ?
Grumf !... Grumf !...
On ne parle pas la bouche pleine ! Dit Salim en me donnant un claque sur les fesses.
T’as raison ! Pote ! Elle est mal élevée cette petite pute.
Ils se mirent à me détacher et ôter mon bâillon. Je voulu me redresser, mais aucune force ne me permirent de bouger. J’étais comme paralysée, vidée de toute énergie.
Ils me retournèrent et mirent ma tête au bord du lit. Puis, ils se mirent à me flageller le visage avec leur sexe tendu et dur.
Alors ! Salope ! Tu en veux encore ? Demande-le nous gentiment ! Dit Abdou
Ouais ! C’est ça ! demande-nous renchérit Salim
N’ayant aucune force pour lutter, mon esprit complètement perturber par ce que, je venais de subir et ne voulant pas trop souffrir, je leur dit les phrases qu’ils m’avaient fait répétée sans cesse au début et qui s’étaient imprimées dans mon cerveau.
S’il … vous… plait, Monsieur Abdou… baisez-moi ! Mettez… votre grosse… heu… queue en moi !
Ouais ! C’est bien ! Continue salope !
Remplissez-moi…heu…de votre…heu…. Sperme ! Mettez-moi…votre grosse queue dans mon cul !
Les phrases venaient toutes seules et avec de plus en plus de facilité pour mon cerveau et mon éducation. Je compris alors avec effroi, qu’ils m’avaient conditionnée l’esprit et que mes propres paroles m’excitaient réellement.
Je mouillais ! Je n’en cru pas mon corps mais, ce que je disais m’excitais au plus haut point. Leur sourire béat me confirma que, ce que je suppliais, leur plaisait.
Ok ! Ma salope ! Puisque tu le demandes, tu vas en avoir !
Ils me mirent à genoux, à côté du lit, mais comme je ne pouvais tenir droite, Salim me pris les bras et les mis en arrière sur le dessus du lit et me tint les poignets.
Abdou pris ma tête et poussa son sexe sur ma bouche. Il baisa ma bouche comme si c’était un vagin. Je ne sus même pas le sucer ou l’aspirer, Abdou n’en tenait pas compte. Il faisait de douloureux va et vient au fond de ma gorge, me faisant saliver abondamment. Bien sur, à peine la moitié de son sexe entrait dans ma bouche et touchait le fond de celle-ci. Abdou n’hésitant pas, à essayer d’aller plus profondément, avec comme conséquence de brusque envie de vomir.
Après un temps qui me sembla l’éternité, il se retira plaça son gland sur le bord de ma langue et se masturba de plus belle.
Ma bouche grande ouverte, la langue tirée à fond, je sentis avec une seconde de retard le moment de son éjaculation.
Le premier jet fut d’une telle violence qu’il s’engouffra directement dans ma gorge, il fut suit de deux autre tout aussi violent puis de quelques uns moins abondant et plus espacés.
Avale ! Salope fut les seules paroles d’Abdou
Ce que je fis évidemment, ensuite il me fit lécher son sexe et proposa à Salim de le remplacer.
Je reprenais seulement mon souffle que le sexe de Salim envahit ma bouche et ce fut reparti pour un tour.
Plus personne ne tenait mes poignets et je du m’accrocher au couvre-lit pour ne pas m’écrouler sur mes talons. Mes bras tiré en arrière commençaient à me faire mal, mais coincée comme je l’étais, je ne savais rien y faire. Ma nuque contre le bord du matelas, permettait à Salim, de me pénétrer la bouche, le plus loin possible. Mes mâchoires commencèrent à me faire mal et des larmes coulaient toutes seules de mes yeux. C’est alors que je sentis un objet dur et froid se placer contre ma vulve.
Ecarte ! Ordonna Abdou.
J’obéis immédiatement et l’objet commença à me pénétrer. Salim s’en donnait à cœur-joie dans ma bouche et je sentais cet objet s’enfoncer de plus en plus écartant de plus en plus fort mes parois vaginales. Une monté d’adrénaline se fit et en même temps ma gorge s’ouvrit sous la poussé de Salim. Son sexe s’enfonça dans ma gorge, dépassant allègrement ma luette et bloquant ma trachée artère, me coupant la respiration. Ma gorge sembla doublée de volume et l’envie de vomir disparu. Mon nez fut brusquement en contact avec les poils frisés de Salim et mon menton toucha ses testicules. Je compris, en un dixième de seconde que, l’entièreté de son sexe était en moi. C’est en même temps que l’objet qu’on introduisait en moi, fut brusquement absorbé, par mon vagin et que celui-ci se referma derrière l’objet.
Putain, je suis à fond dans sa gueule ! S’écria Salim
C’est aussi à ce point que, je sentis, une fois de plus, un orgasme monté à l’allure d’un tgv en furie. Sans doute excité, par le fait, d’être entièrement dans ma gorge, Salim, jouis brusquement et je sentis parfaitement les jets de sperme directement, dans mon œsophage.
Puis ce fut le voile noir de la jouissance et du manque d’air qui me fit perdre conscience.
Lorsque, je revins à moi, j’étais couché sur le sol de la chambre. Mon regard porta sur mon réveille-matin et mon cerveau enregistra, «4h15 »
Cela faisait plus de cinq heures que j’étais entre les mains d’Abdou et de son complice. Mon corps reprenant vie me fit comprendre que quelque chose me gênait entre les jambes et dans mon derrière.
Je soulevai la tête péniblement et vit l’origine de mes différentes douleurs. Une grosse corde me ceinturait la taille et passait également entre mes cuisses. Mais la corde ne rentrait pas entre mes lèvres vaginales et semblait plutôt retenir un objet en moi. Je sentis aussi un objet profondément retenu par la même corde, dans mon derrière. Je voulu sentir avec mes mains et me rendis compte que celles-ci étaient liées ensembles et reliées à un pied de mon lit.
Aaaah ! Enfin elle s’est réveillée, s’écria Abdou
C’est alors qu’une vibration se fit sentir dans mon corps mais, surtout dans mon derrière.
On va voir combien de temps il lui faut pour jouir fit Abdou en me montrant un petit objet dans sa main. Un fil électrique en sortait et descendait vers le sol.
Je compris qu’ils m’avaient enfilé avec un godemichet vibrant. Mais déjà mon cerveau enregistrait ce nouveau moyen d’excitation et une nouvelle montée d’adrénaline se fit.
Ouais ! Comme tu dis on va voir combien de temps elle tiendra et combien de jouissance, elle aura. Confirma Salim s’approchant de moi, me faisant rouler sur le dos et plaçant sa main sur la chose enfoncée dans mon vagin.
Alors que tout mon derrière vibrait au rythme du gode, lorsque Salim retira sa main, quelques chose sembla bouger dans mon vagin.
Un autre godemichet vibrant était maintenant en fonction dans mon vagin. Seulement celui-là semblait bouger dans mon vagin et non vibrer comme celui dans mon derrière.
Les deux noirs semblaient s’amuser de me voir me tordre dans tout les sens sous l’influence de leurs jouets en moi.
Abdou sembla même augmenter puis diminuer l’intensité des vibrations dans mon derrière. Bien sur, il ne fallut que quelques minutes de ce traitement pour que je me torde de plus belle sous des orgasmes multiples et allant en crescendo.
Une fois de plus, je perdis toute notion du temps et de la réalité, pour me réfugier dans une inconscience complète.
Je repris connaissance, avec un sentiment de vide complet et une vibration de mon corps. L’appartement était silencieux et la lumière du jour semblait se profiler derrière mes tentures.
J’étais toujours allongée sur le sol et les godemichets en moi et fonctionnant faiblement. Ne sentant pas encore mes bras et me croyant toujours attachée, je remuai les jambes lentement, pour écarter mes cuisses au maximum, persuadé que cela me ferait du bien.
Mes bras n’avaient pas changé de position et étaient toujours tendu vers l’arrière de ma tête. J’essayai de bouger un bras et fut agréablement surpris que ce dernier exécuta le mouvement demandé. Je mis ma main entre mes jambes pour sentir que les godemichets en moi étaient bien présents. Je cherchai à tâtons le nœud de la corde qui maintenait ces godes en moi.
Les salauds ! Pensais-je, ils ont fait le nœud dans mon dos.
Je me mis à plat ventre et cherchai le nœud. Je mis un temps infini pour le défaire et tout autant pour me détacher et enlever les godemichets, toujours en fonction, de mon corps. Je ressenti aussi avec un certain effroi que pendant que je retirais les godemichets en moi, une nouvelle excitation monta depuis mon ventre. Mais cessa dès que mon anus et vagin fut libérer de ces instruments.
M’asseyant en tailleur, je regardai la taille énorme des godemichets que je venais de sortir de mon corps et les sécrétions qui dégoulinaient, mélange probable de sperme et de ma propre mouille. Celui de mon derrière semblait le plus « sale » car il était maculé de taches brunâtres.
Regardant celui qui sortait de mon vagin, il semblait avoir été trempé dans un bol de sperme tellement il dégoulinait.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, es-ce que je devenais folle, mais ma langue sorti toute seule de ma bouche et je léchai avec un certain plaisir ce godemichet dégoulinant de sperme. Je me surpris à le nettoyer complètement et même à le remettre en moi pour y chercher encore du sperme stagnant dans mon vagin.
Des applaudissements retentirent dans mon dos, me faisant me retourner pour voir avec effroi, Abdou, Salim, tout deux rhabillés, et le patron du café qui applaudissaient le léchage du godemichet.
- Je constate qu’Abdou et Salim ont fait du bon travail, s’exclama le patron du bistrot, même au-delà de toute espérance.
- ….
- Puisque tu es prête, continua-t-il, tu viendras, ce soir, vers vingt heure, habillée d’une simple et courte robe. Rien en dessous ! Tâche d’être à l’heure !
Puis, tous les trois tournèrent les talons et quittèrent mon appartement.
- A ce soir crièrent en cœur Abdou et Salim.
Je compris à ce moment précis que j’allais devenir leur chose, leur pute et qu’ au lieu d’être complètement dégoutée des hommes et du sexe, je pensais déjà, avec envie, aux sexes qui allaient me faire jouir ce soir.
Je voulu me lever mais mes jambes ne purent supporter le poids de mon corps. Je me traînai vers mon lit et avec le peu de force qu’il me restait, je me hissai dessus et m’endormi tel quel.
Lorsque, je regardai mon réveille-matin, je vis 15h26 et je me sentis au mieux de ma forme. Seul une petite douleur à la gorge et à mon derrière, me restait comme séquelles de cette nuit de folie.
Je me douchais longuement, appréciant l’eau chaude sur mon corps, puis je m’habillai de façon provocante et sorti faire quelques courses, car Abdou et Salim avaient réellement vidé mon frigo.
A peine en rue, le regard des hommes et parfois même leurs réflexions, me firent mouiller comme pas possible.
Je passais, sans le faire exprès, devant le bistrot de Monsieur Jean et les clients, en terrasse, ne manquèrent pas à leur habitude de me « vanner » avec leurs propositions sexuelles.
Je fis mes courses et revint à mon appartement en évitant cette fois la rue du bistrot. Je plaçai mes courses au frigo et armoires et allumais mon ordi.
Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis m’installée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.

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