Gisèle4
P Les jours qui suivirent, je la vis nerveuse. Je me rendais bien compte qu'elle n'attendait que le coup de téléphone de ses récents amants
. Il ne vint pas
.
G Mon époux m'avait devinée je crus naïvement que tous les samedis, la folle sarabande recommencerait. Hélas pour ce week-end-ci pas de nouvelle. Le lundi soir je me précipitais sur le site habituel. Une nouvelle galerie s'était ajoutée aux autres. Je fus jalouse de cette Nadine, cette blonde (sûrement décolorée) dont les photos venaient s'ajouter à celles déjà publiées. Je dois dire quand même que cette femme faisait encore plus fort que moi avec six partenaires. Je m'en rendais bien compte
avec dépit. Il faudrait que je me hisse à son niveau. Ce ne serait pas chose aisée car les quelques lignes accompagnant cette nouvelle série promettait d'autre séries encore plus hard sous-entendant qu'elle pouvait pratiquer des choses pires encore. Deux jours plus tard, vers l'heure devenue "habituelle" le téléphone retentit. Mon cur fit un bond. Fabrice était au téléphone
"Salut ma poule ! Je te passe un petit coup de fil. On est désolé on ne pourra pas te rendre une petite visite samedi
. On verra une prochaine fois ! En attendant passe-moi ton mari !"
Déconfite je passais l'appareil.
P "Salut ! Tu connais la rue G. et le sex-shop qui s'y trouve ? Ok ! On t'a fait réserver un gode pour Gisèle. Je suis sûr qu'elle n'a jamais été dans ce genre de magasin. Ça va lui plaire ! Tu vas l'emmener l'acheter et qu'elle ne mette pas de culotte, ce sera encore mieux. Quand vous y serez et que vous serez avec le vendeur, il s'appelle Hassan, appelle moi sans faute
sinon
." Et il raccrocha !
Je fis part à ma pauvre épouse un peu affectée, mais tentant de donner le change en faisant semblant d'échapper à un supplice, de cette conversation qu'elle accueillie sans enthousiasme.
G Bof ! J'avais vu à la télévision ce genre d'endroit. Du moins je le croyais. Je n'y voyais pas d'intérêts particuliers mais encore une fois nous n'avions pas trop le choix.
P "Vous êtes bien Hassan ?"
"Oui que puis-je faire pour vous ?"
"Euh !.... voilà
je
nous
je crois que nous connaissons une même personne !".
"Oui ?"
"Vous connaissez bien Fabrice ?"
"Oui bien sûr !"
"Nous sommes Gisèle et Philippe, vous aurait-il parlé de
quelque chose de
euh réservé pour nous ?"
"Ah oui ! Je vois
en effet j'ai quelque chose de réservé pour vous. Enfin, c'est surtout pour Madame
quoique
."
De dessous son comptoir, il sorti un sac dans lequel il fouilla pour en ressortir un vibromasseur tellement bien réalisé que l'on aurait cru un vrai. Enfin, un vrai mais d'une taille inusitée. Un truc d'environ trente centimètres sur quatre ou cinq de diamètre. Dévisageant Gisèle il lui lança :
"Mes compliments Madame
."
Sans répondre elle baissa les yeux. Je me préparais à lui demander combien je devais lorsqu'il me dit :
"Attendez, ce n'est pas tout, il y a aussi un plug anal !"
Posément je le vis sortir une sorte de double cône d'une bonne dizaine de centimètres.
"Vous n'oubliez pas quelque chose ?"
Zut ! Dans ma précipitation de quitter le lieu, j'avais presque oublié le coup de fil que je devais donner à Fabrice. Je l'appelais
Ce qu'il m'ordonna me fit frémir
sur sa demande je passais le combiné au vendeur. Son sourire, à lui, augmenta au fil de sa conversation
.
G J'avais vu le vendeur, cet Hassan sortir un sac et en exhiber un gros vibromasseur en me regardant de façon entendue. En un éclair, je pensais que, de cet ustensile, j'en aurais certainement à en faire la démonstration devant mes jeunes amants. J'avoue que cette idée me fit chaud
chaud et humide au niveau de bas ventre. Et puis il y avait eu l'autre truc, ce plug
destiné à me garnir le fondement. Derrière moi je sentais la présence des deux hommes du magasin. Intéressés, ils s'étaient rapprochés. Je vis Philippe prendre son portable. Je me souvins
il lui fallait appeler Fabrice de ce lieu. Pendant sa conversation je le vis se décomposer. Quand il passa l'appareil au vendeur, il était blême. Il se tourna vers moi et balbutia :
"Ils veulent
Ils veulent que
que tu mettes le plug
maintenant
. Enfin, ils veulent ce que soit lui qui te le mette
et que
et que tu partes avec
."
Ce fut à mon tour de rougir et de blêmir
ici
devant tout le monde
ce
cet
homme allait me
.
Il interrompit mes pensées chancelantes et désignant mon époux du regard, dit:
"Il t'as dit ? Ok ! Alors approche !"
Je m'approchais du comptoir ou il m'invita à m'accouder, fesses tournées vers l'intérieur du magasin. Il fit le tour et prenant le bas de ma jupe, il se mit à la remonter le long de mes jambes. Il ne s'arrêta que quand je fus troussée jusqu'à la taille.
"Quel joli petit cul ! Tu ne dois pas t'ennuyer !"
Les deux types qui s'étaient, bien entendu, rapproché renchérirent de leurs commentaires grivois.
"Mouilles-lui la rondelle !" Commanda-t-il à mon mari. Je senti son doigt mouillé de salive me l'étaler sur l'anus. Quand le vendeur jugea cela suffisant il se saisit du fameux plugs pour me l'introduire dans l'anus. Je sentis ma collerette s'ouvrir autour du cône tandis qu'il poussait délicatement pendant que mon conduit absorbait le sextoy. Je percevais l'écartèlement de mon anus. Le début se passa bien mais la base du cône refusait de passer.
"Craches lui sur le cul" demanda-t-il à Philippe.
La salive coula le long de ma raie. . S'en servant comme lubrifiant, il repris ses activités. Je sentais ma rondelle se distendre tandis que le vendeur progressait dans mon rectum. Avec la salive, il arriva à me l'enfoncer plus loin, mais la partie la plus large ne passait pas. Les deux clients assistaient au spectacle et l'encourageaient. Le vendeur me conseilla de se détendre tout en faisant aller et venir le plug entre mes fesses. A chaque fois, il gagnait quelques millimètres
. Et d'un coup mon anneau céda, je criais
. La partie la plus large était passée et mon anus s'était refermé sur la base. Sans me laisser le temps de souffler, il me le fit aller et venir pour bien le mettre en place. A chaque fois je sentais les plis de son illet se distendre autour du plastique.
Il conclut par un "Voilà" satisfait. Prestement je me remis droite, ma jupe me cacha
ouf ! Il me fallait bien le reconnaître. Cette exhibition m'avait formidablement allumée. Mon sexe était littéralement trempé et mes seins durcis me faisaient presque mal. Avec une ironie non voilée, le vendeur me demanda si je souhaitais autre chose. Je répondis par des "non
non
" mal assurés. Il me proposa de descendre continuer mon "exhib" dans son sous-sol ou de visionner un film avec les deux clients qui visiblement en auraient été ravis.
Le fait de m'asseoir sur mon siège me le fit rentre un peu plus loin et que dire des secousses du trajet
des secousses et des revêtements pavés de certaines rues
huummm
.
Arrivés chez nous c'est presque à regret que j'ôtais cette improbable garniture. J'eus beaucoup de mal à m'endormir, pestant intérieurement contre Philippe que le spectacle n'avait pas rendu plus assidu que de coutume malgré mes avances. Pour trouver le sommeil, je dus me lever me masturber
quelle tristesse.
Morosité
aussi, de ce triste week-end d'une platitude infinie
. Le soleil, MON soleil se leva le mardi soir. Comme je le guettais tous les soirs le téléphone retentit. Pourvu que ce ne soit pas un quelconque téléprospecteur. Non !... c'était bien ce que j'attendais, celui que j'attendais
l'ignoble Fabrice.
"Salut ma Cocotte ! Ah ça fait plaisir de t'entendre ! Avec les autres, on se disait, tiens si ce samedi on passait voir Gisèle ? Bonne idée, non ?"
"Euh, je
je n'ai peut être pas le choix ?"
"Ben
évidemment non ! Donc on va venir t'enfiler puisque t'aime ça !... et puisque tu as été super bonne l'autre jour on va te récompenser
on va venir avec des copains. Cette fois il faudra que tu sois hyper salope, hein, compris ?"
"Oui, oui Fabrice."
"Question tenue comme l'autre jour, ou pire si tu peux
. On viendra vers deux heures pour un bel après midi et une belle soirée de baise, comme cela on aura tout notre temps pour te faire tout ce qu'on a envie. Ok ?"
"Euh
oui, oui
ok !"
"Ha j'allais oublier. Hassan m'a dit que tu prenais bien les plugs
tu demanderas à ton mari de te mettre le tien avant qu'on arrive. Je suis sûr que ça va l'amuser et puis comme ça la place sera faite. Allez, à samedi, bye-bye Pupute !"
Je me retrouvais le combiné à la main, stupide sans le moindre interlocuteur au bout de la ligne, à la fois affligée et ravie
.
P A mon interrogation muette Gisèle répondit :
"Samedi
samedi prochain
à quatorze heures
." Avec une lueur indéfinissable dans les yeux, elle ajouta "Ils viendront avec des copains à eux
.". Je prévoyais un peu ce qui allait ce passer. Sur les galeries de photos, j'avais vu jusqu'à six types "s'occuper" d'une seule femme. Gisèle me donna le coup de grâce en précisant : "Avant qu'ils arrivent il faudra que tu me mettes le truc dans le derrière". Dire que par timidité ou honte, je ne lui avais même pas proposé cela avant
décidément
.
G Mercredi
bon, passons
jeudi
une chaleur interne commença à m'envahir de partout. Je reconnu cette sensation. Si bien que je rentrais directement et rapidement à mon domicile. Le jeudi, Philippe avait son cours de dessin et rentrait beaucoup plus tard. Prise d'une inspiration subite
non !... en fait j'y avais pensé tout l'après midi. Je me mis nue et enfilais mes talons hauts. Je pris le plug rangé dans ma table de chevet et me mis en devoir de le sucer consciencieusement. Une fois qu'il fut bien lisant de salive, je me mis à quatre pattes devant le miroir de la penderie, fesse tournée vers lui. D'une main je gardais mon équilibre et de l'autre je mis l'objet en contact avec ma corolle plissée et je poussais
. Il me fallut m'y reprendre à trois ou quatre reprises, donc le ressortir et le re-sucer pour que je sois pénétrée. Je me relevais et me mis à déambuler ainsi emplie dans toute la maison. J'essayais même de faire quelques tâches ménagères. Le cur n'y était pas et je les abandonnais bien vite. Par contre, je n'arrêtais pas de me lever de m'asseoir, histoire de ressentir un enfoncement supplémentaire à chaque fois
un délice. Prise d'une inspiration subite, cette fois c'est vrai, je montais à ma chambre chercher le vibromasseur, redescendit et m'installais sur un fauteuil. Je me plaçais comme je l'avais vu sur les sites pornos, jambes très ouvertes et passées par-dessus les accoudoirs du fauteuil. Je suçais un peu le sexe de plastique et me l'introduisit dans le vagin. Je mis le petit moteur en marche et le fit aller et venir doucement d'une main. De l'autre main, de temps à autre je faisais aussi ce même mouvement essayant de reproduire les sensations d'une double pénétration. Ce n'était pas pareil
je préférais les vraies
. Mais cela me procura quand même un bel orgasme.
Quand mon époux rentra, il trouva le dîner prêt et sa sage épouse à l'attendre gentiment
.
P Je trouvais que Gisèle avait un peu les traits tirés. Elle me rassura, elle avait été submergée de travail. En aucune façon elle ne se sentait malade. D'ailleurs, que se serait-il passé si elle l'avait été avec l'engagement et le rendez-vous prit deux jours après.
G Ce vendredi, je ne voulus pas faire comme la fois dernière. Cette fois je partis de chez moi sans aucun sous-vêtements (même en secours au cas où) et la journée de travail fut énormément longue et le temps ne passa pas vite. Paradoxalement, je dormis plutôt bien et me réveillais immédiatement avec la pensée de ce qui m'attendait. Je vaquais un peu en cette matinée de préparatif. Peu désireuse de voir mon matelas souillé, je plaçais une alaise sous drap de dessous et enlevais, drap de dessus et couette de sur mon lit. Le terrain était prêt. Nous voulions nous mettre à déjeuner de bonne heure. Je ne pus que grignoter un petit quelque chose. Mon estomac était noué. Mon appétit se situait ailleurs. J'avais faim d'autre chose, des suites que ma disponibilité allait engendrer et des outrages qu'allaient me faire subir exagérément mes jeunes amants et leurs copains. D'avance j'étais soumise à leurs exigences les plus lubriques et Les plus éhontées. L'heure passait, il fallait que je songe à me préparer et surtout que je le fasse de façon à ce qu'il n'y ait pas d'ambiguïté. Mon look devait être à la hauteur de leurs appétits et aussi en rapport avec mes envies. L'autre fois j'avais mis ma bouche en valeur en la faisant très claire par rapport à mon teint. Cette fois elle serait rouge
rouge sang avec des paupières gris bleu, gris ardoise soulignées de blanc sous les sourcils juste au dessus de la banane encore plu sombre et du noir de l'entourage de mes yeux. Vite je passais mon porte-jarretelles et choisis cette fois des bas noirs à couture. J'espérais que leurs doigts suivraient ces coutures, invites tracées sur mes cuisses comme un guide vers des endroits qui ne demandaient qu'à être explorés. Un petit coup d'il sur mon image
bien ! Voilà, j'avais terminé. En me considérant, tout bien pesé, je m'aperçus que je faisais vraiment très salope ainsi maquillée, peut être encore plus que l'autre fois. Ma foi
tant mieux
si cela devait les exciter un peu plus, ce ne serait que tout bénéfice pour moi. Toutefois pour me plier parfaitement aux ordres reçus, il me fallait accomplir une dernière
formalité
le plug ! Je pris donc l'objet, bien rangé dans ma table de chevet et m'en saisis afin de le donner à Philippe pour qu'il l'emploie selon son usage prévu. Une fois redescendue, je pus constater à nouveau que, même à lui, je faisais de l'effet. Une femme épilée, uniquement vêtue d'un porte-jarretelles et de bas sur des talons hauts, maquillée à outrance et un sex-toy à la main, qui aurait pu résister ? Je lui tendis, lui tournais le dos et m'accoudais à la table de salle à manger. Je lui demandais de préparer d'abord avec un doigt. Il me saliva bien l'anus puis avec délicatesse (trop ?) immisça très lentement une phalange pour entreprendre l'apprivoisement de l'entrée de mes reins. Malgré son peu d'expérience, il parvint à me la détendre. Je lui soufflais "vas-y !" pour lui signale que j'étais prête. A la fois d'un mouvement d'avant en arrière et tournant en même temps, il commença à m'investir comme il l'avait vu faire par Hassan. La partie la plus large n'était toujours pas rentrée. Là aussi il fit comme l'autre fois me mouilla de nouveau et se remit à l'ouvrage. Je l'encourageais d'un "vas-y pousse
pousse !" autoritaire. Je le sentis hésiter, sans doute la peur de me faire mal
. Puis il s'exécuta. Je poussais un cri quand la partie renflée brisa la résistance de mon muscle anal. "Mais non
mais non tu ne m'as pas fait mal !"
.
P Et dire que de moi-même je ne lui avais jamais fait une pareille chose. Elle avait l'air de tellement aimer que je comprenais qu'elle puisse raffoler de tels débordements. Cependant le fait que les autres nous contraignent par ce qui est convenu d'un chantage ne me plaisait pas. Je me demandais souvent jusqu'où cela pourrait aller. Finalement nous étions pris à notre propre jeu, même si Gisèle y trouvait plus que la satisfaction. Après que lui ait introduit l'instrument, elle se redressa, ondula du bassin comme pour mieux qu'il prenne sa place et ses aises. Elle fit quelque pas, puis reprenant sa pose accoudée, de supplia par-dessus son épaule nue :
"Je t'en prie
s'il te plait
fais le aller et venir !"
Tout orgueil ravalé, je fis comme elle le demandait tout en sachant que je lui préparais l'orifice pour que d'autres en nt.
G Le plug, avec la manipulation exercée par Philippe, entrait et sortait plus facilement. J'étais donc accoutumée
parée à me faire enculer par Fabrice
et ses amis. D'ailleurs, d'ailleurs
il était presque l'heure et ils n'étaient jamais en retard
.
Effectivement, mais la sonnette me fit sursauter quand même. Après une fraction de seconde d'égarement, j'allais ouvrir. En ouvrant la porte, je vis qu'en plus de Fabrice et de ses trois comparses habituels, il y avait deux autres jeunes hommes. Six
ils seraient six !
Un "Salut pupute !" me fit clairement entendre que le ton était à nouveau donné. Me désignant au deux nouveaux, Fabrice fit remarquer :
"Regardez-moi cette chiennasse ! Regardez-moi comme elle s'est faite salope pour vous accueillir ! Toi ma grosse, tu n'as pas finit d'en prendre !"
Évidemment tout le monde renchérit !
Ils me commandèrent de servir à boire, toujours histoire de me voir déambuler devant eux. J'en aperçus un donner comme de coutume l'appareil numérique à Philippe. Dans quelques jours ma galerie serait enrichie et je pourrais visualiser les images de ma déchéance
.
Comme vous pouvez le penser, je fus priée de me tourner coté pile vers eux et d'écarter mes fesses pour leur faire constater que leurs directives avaient bien été suivies. Ils se rendirent compte qu'elles avaient été suivies à la lettre
et ce fut l'occasion, encore une fois d'avanies et de quolibets supplémentaires. Quand j'eus enfin fini de servir à boire, des mains plus que baladeuses m'avaient retardée, je fus conviée à faire une turlutte de bienvenue aux deux nouveaux. Près de trois semaines que je n'avais pas eu un sexe dans la bouche. Je m'en emparais vivement et les tétais voracement. Je les gobais, léchais, engloutissais leurs grosses couilles, une paire velue et l'autre glabre, je finis même sans que l'on m'en fasse la demande à les réunir pour les absorber toutes les deux en même temps malgré que le dénommé, Sébastien, celui qui était épilé, fut particulièrement bien monté. Je n'en navais jamais vu de comme cela. Il me sembla supérieur à Fabrice.. de peu
. Mes jeux de langue, lèvres mais aussi glotte finirent par récolter leurs fruits. Enfin c'est plutôt moi qui récoltais dans ma bouche les rasades épaisses de leur jus épais et poisseux. Devant cette scène, les autres bandaient comme des bêtes. Promptement je fus relevée, tournée et il me fallut m'asseoir sur (ou autour) de la queue de l'un d'entre eux qui était sur le canapé. Comme mon plug était toujours en place et qu'aucun n'avaient pris la peine de le retirer, c'est par la chatte que je m'empalais pour ce double pénétration mixte, homme et plastique. Face à moi
trois pines
une dans chaque main et une dans la bouche qui ne tardèrent pas à permuter ou à se rejoindre entre mes lèvres distendues. Celui qui me prenait me faisait aller et venir tout au long de sa verge tout en crispant ses doigts dans la chair de ma taille ou en se tenant agrippé parfois rudement à mes seins qui n'en demandaient pas tant. Au bout d'un moment de ces activités impétueuses dont je n'arrivais que difficilement à suivre le rythme, on me demanda de me retirer le plug. A n'en pas douter, mon derrière allait bientôt changer de partenaire
. Effectivement, il me fut indiqué que je devais "changer de trou". Toujours une queue dans la bouche, je me maintins l'anus ouvert et prit les choses (du moins le sexe de mon partenaire) en main pour le guider dans mon cul. Il n'y avait rien à dire. Le plastique ne constiait jamais qu'un pis aller, une roue de secours. Rien ne vaudrait se faire sodomiser par une belle, grosse bite
.
Entrevoyant un accès désormais inutilisé, Fabrice me repoussa sur mon enculeur et se mit en devoir de me bourrer la craquette à son tour. Les choses commençaient assez fort
d'autant que les deux derniers se mirent debout sur mon canapé (quel culot, mais ils n'en étaient pas à çà prêt) de chaque coté du groupe pour que je puisse, tournant la tête de droite et de gauche continuer malgré tout à les piper. En fait ma bouche ne fut libérée que pour hululer ma jouissance tellement attendue, tellement contenue
.
P Je trouvais que cela avait commencé fort vraiment trop fort. Visiblement, ils étaient chauds bouillants. J'avais du mal à suive tout que ma pauvre (?) femme subissait dans le viseur de mon appareil. Vu le début, je me demandais comment tout allait finir. Tant bien que mal, je photographiais, en plan de situation, en gros de sa bouche occupée par un gros sexe, de son visage extatique déformé par la jouissance, de ses orifices ou s'enfonçaient profondément les verges. Je tentais de saisir les instants où jaillissaient les jets de sperme qui allaient souiller son beau visage. Bien sûr cela me faisait de l'effet
quelque seconde d'érection
puis plus rien. Mon plaisir était somme toute très cérébral. Il n'y avait que comme cela que je me sentais excité. De la voir
de la voir s'offrir ainsi sans réserve. Je ne m'y trompais plus, elle n'avait rien d'une victime si jamais elle le fut. Elle était très consentante et franchement coopérative
. Quand ils eurent tous jouis d'elle (et elle deux fois), ils l'embarquèrent à l'étage pour passer aux choses sérieuses
.
G Ce fut simple, très simple. Ils firent deux groupes de trois et tirèrent au sort quel groupe passerait en premier
me passerait dessus en premier bien entendu ! Je fus donc ainsi prise par les deux groupes successivement et dans les groupes par les trois jeunes hommes simultanément. Ils se conduisirent en parfait petit salaud, ne m'épargnant ni les changements de position, ni les changements de poste. Ils me laissèrent en sueur, pantelante de jouissance. Je ne savais plus combien de fois j'avais pris du plaisir. Ils redescendirent boire un coup pendant que je devais me rendre de nouveau "potable" pour "une nouvelle séance de baise".
P Ils étaient redescendus, je les suivis. Ils allèrent au réfrigérateur sans aucun complexe se servirent de la bière que j'y avais entreposé. Je les entendis la mort dans l'âme commenter les prouesses sexuelles de ma femme en des termes particulièrement odieux et crapuleux. Tout en se tripotant les bas morceaux, signe de leurs envies renaissantes, ils échangeaient des propos on ne peut plus salaces et orduriers sur Gisèle mais aussi sur d'autres femmes auxquelles ils la comparaient. Ils riaient beaucoup et la bière coulait
. Quand Gisèle redescendit, ils étaient de nouveau bien en forme.
"Aaah tu en as mis du temps !" s'exclama l'un d'eux.
"Ouais mais ça valait la peine !" compléta une autre. Le premier reprit :
"Allez ! Excite-nous ! Dis nous que t'es une pute et que t'en veux !
Tétanisé, je vis Gisèle bouger ses épaules sensuellement à l'effet de faire remuer ses seins lourds tout en dardant une langue, que je jugeais obscène, telle une invite muette, comme si leur état ne suffisait pas. Pire que tout, je l'entendis proférer :
"Oui vous avez raison
je suis une pute
une salope
oui, une grosse salope qui aime se faire enfiler par des jeunes
. Oui je suis votre putain
traitez moi comme des salauds, comme des porcs
. Je vous veux tous !"
"Ça ce nest pas une mauvaise idée" reprit l'un d'eux, énorme peut être
.
De toute façon c'est lui que je vis rafler la nappe de la table de salle à manger et apparemment sans aucune gêne, la jeter au sol, puis s'y allonger sur le dos. Il imposa à "sa truie" quelle vienne "s'emmancher" sur lui "par le cul". Je vis Gisèle s'accroupir au dessus du mâle et lentement se baisser entourant son énorme pieu de son boyau culier. Dès qu'elle fut bien enfilée, il la tira vers l'arrière pour la faire allonger sur lui dos contre son torse. Un deuxième assaillant se mit au dessus d'eux et s'agenouilla fesses sur l'estomac de Gisèle et
sexe entre ses seins dont il s'empara. Le troisième lui releva les jambes et s'étant placé entre les cuisses du premier s'introduisit dans son vagin. La tête de mon épouse fut décalée un peu en arrière pendant à la renverse sur l'épaule de ce Sébastien. Ce fut le démoniaque Fabrice qui présenta son vit à sa bouche. Les deux autres
ils lui prirent chacun une main qu'ils refermèrent sur leur sexe emprisonnant cette main masturbatrice pour qu'elle ne laisse pas s'échapper leur sceptre. Gisèle, ma femme, mon épouse
était prise par six hommes
.
G De la folie, de la pure folie
il n'était plus question que je puisse faire un petit quelque chose. Il fallait que je me laisse faire, que je me laisse baiser
la chatte, le cul et la bouche
sans compter le reste mes mains et mes pauvres seins que je sentais déformés par la prise farouche de l'autre. Comme ils l'auraient dit dans leur langage imagé, cette fois je sentis vraiment je n'étais plus qu'un vide-couille
. Même ma, non, mes jouissances, puisque j'en éprouvais deux ou trois, étaient étouffée par la bite de ce vicieux de Fabrice. Je faillis même vomir à plusieurs reprise tant il m'enfonçait loin sa queue dans la gorge et l'y laissant pendant que les autres me secouaient. Le summum fut lorsque mes amants sentirent leur orgasme arriver. Ils commencèrent l'un après l'autre à me besogner impitoyablement. Petit à petit ils me firent don de leur foutre dans mes trois orifices pour ceux qui s'y trouvaient, sur mes seins et aussi sur mon visage pour ceux qui se branlaient dans mes mains. Cette fois, c'était vrai j'en étais couverte. Ils durent m'aider à me relever et m'asseoir. Tétanisée par ce qui venait de se passer je crois que je serais restée couchée sur le sol sans leur aide
.
Ils décrétèrent que c'était l'heure du repas et Philippe dut faire chauffer les pizzas et ouvrir à nouveau des bières. Toujours assises sur des genoux accueillants mais scélérats, cette fois je m'alimentais un peu. J'avais bien besoin de reprendre des forces.
P La fin du repas approchait, je dus leur faire un café. Visiblement il n'en avait pas fini. D'ailleurs, comme la dernière fois l'un d'eux visita le bac à légume et n'y trouvant rien de correspondant à sa recherche m'en fit le reproche :
"Pauvre type ! Tu ne pouvais prévoir
je ne sais pas moi
une carotte, une courgette
mieux un concombre... que je puisse le mettre dans le cul de ta bourgeoise ! Penses-y pour la prochaine fois ! En attendant
."
Je le vis regarder autour de lui. Son il s'éclaira. Il fit lever Gisèle de sur les genoux de son acolyte pour qu'elle s'allonge de dos sur la table de la cuisine jambe relevée. Saisissant une bouteille de bière à moitié pleine il lui planta dans le vagin.
G En riant le type m'avait enfoncé la bouteille de bière dans la chatte en s'exclamant :
"Je suis sûr que tu t'es jamais fait rincer la babasse à la bière !"
Vu ce qui m'avait déjà bien limé le minou, la bouteille n'eut pas de mal à entrer. Le plus surprenant fut la présence à cet endroit surchauffé d'un liquide un peu frais et pétillant
. Quand il m'eut "rincée" et suffisamment masturbé il retira la bouteille et à leur grande joie à tous, le liquide coula
. Ils "conseillèrent" Philippe de ne pas louper les photos de cette cascade insolite.
J'entendis l'un d'eux demander à mon mari :
"
non ?"
"
"
"Hè je te cause ! Ta femme
je t'ai demandé ! C'est quand même une belle salope, réponds !"
"Euh oui, oui, c'est
c'est une salope ?"
"Et voila ! Même son mari dit que c'est une salope ! A son âge ! Pas vrai les mecs ! Elle devrait être punie pour ça
. Même que c'est son mari qui devrait la punir, hein Ducon !"
P Devant mon absence de participation à cet escalade verbale, ils emmenèrent Gisèle au salon, la fient mettre à quatre patte sur la table basse et me demandèrent de lui administrer une fessée. Bien entendu je refusais.
G "Fais ce qu'on te dit ou c'est toi qui dérouille !"
Philippe me souffla à l'oreille :
"Je suis désolé
" et une petite claque s'abattit sur mon postérieur, puis une autre, puis une autre, puis
.
"Crétin ! C'est pas comme ça qu'il faut faire !"
Cette fois ce fut une vraie claque qui me fut donnée. En fait ils se relayèrent pour m'infliger une cuisante fessée qui ne cessa que lorsque mes fesses furent cramoisie et brûlantes. Pendant cette correction il y en avait toujours un qui me donner son sexe à sucer pour mes gémissements et aussi parfaire son érection, la débauche allait reprendre.
P A la fin de sa "punition" ils lui posèrent une question :
"Trois fois deux ?"
"Six !" répondit-elle.
Ils lui demandèrent de se mettre à genoux et deux hommes vinrent se faire sucer, le plus souvent en même temps. Elle le fit avec une servilité
écurante
allant jusqu'à leur introduire à chacun un doigt dans l'anus qu'elle agitait pour les galvaniser encore plus. Ils ne se calmèrent qu'une fois qu'ils eurent joui.
G J'étais encore en train de déglutir quand Sébastien, assis sur canapé, me demanda devenir me mettre sur lui. Sa grosse bite pointait vers le plafond. À mon interrogation muette, il répondit :
"La chatte !".
Je grimpais et m'empalais face à lui. Huuuummmm !... lui, sa queue c'était quelque chose ! Dure comme de l'airain et douce comme de la soie, ce manche, malgré tout ce que j'avais subit ce soir, elle me semblait encore divine. Je me mis paisiblement, mais lascivement à monter et descendre. Il m'arrêta peu de temps après et me ceintura les reins de ses bras, écrasant mes seins contre son torse et m'obligeant à me cambrer outrageusement. Je ne compris pas le pourquoi de cet excès de fermeté. Je connaissais leurs penchants pour les doubles pénétrations et puis je commençais, avec bonheur, à y prendre goût immodérément moi aussi. Alors ?... ils navaient qu'à me prier de me mettre dans la position adéquate. Comme prévu je senti un autre contre mon dos.
"Tu es un peu trop bas !" lui indiquais-je, pensant qu'il avait raté mon anus. Il ne répondit pas et continua son manège. Je répétais mon indication.
"Fiches lui la paix ! C'est pas dans le fion qu'il veut te la mettre !" intervint Sébastien.
De fait, l'autre ne cherchait pas tout à fait l'entrée de mes reins pourtant accessible et disponible. Tout bonnement, il essayait de glisser son membre contre celui de Sébastien
qui se trouvait déjà bien au chaud dans ma moule. Le pire est que lentement, il y parvenait petit à petit. Je l'implorais tout d'abord de ne rien en faire puis devant leur obstination je cessais de résister puisqu'ils ne se montraient pas trop brusques. En définitive, il finit bien par rejoindre son complice et m'envahir lui aussi. Un tout petit temps, pour l'acclimatation et hop, avec lenteur ils se mirent en mouvement pour me posséder à deux en même temps.
P Je me pris à trouver cela vraiment méprisable
. Ma femme, la mienne
n'avait pratiquement rien fait pour échapper à cette double invasion de son sexe. Qu'elle me trompe, bon !... avec plusieurs partenaires, bon aussi ! Mais là
de la voir gémir et se trémousser sur cette double tringle, je crois qu'elle se déconsidérait à mes yeux. Ils avaient raison, elle comportait comme une véritable roulure. Je veux bien, soit, nous étions contraints par chantage à ce qu'elle cède à ces types. Mais de là se livrer de cette façon
. Surtout, surtout
, et je pense qu'elle n'y avait pas songé dans le feu de l'action, qu'il lui avait dit "trois fois deux"
. Or, elle en avait eu deux dans la bouche, pour le moment deux lui ravageait le vagin
donc, les deux autres
logiquement
.
G Il me sembla que cela durait un temps infini, mais d'une volupté perverse étonnante. Ils me limèrent avec attention et je hurlais littéralement de jouissance quand je les sentis grossir en moi, signe d'une éjaculation imminente. Elle fut double abondante, brûlante, terrifiante. Tétanisée par mon propre orgasme je restais inerte dans les bras de Sébastien. A la réflexion, je me demande même si je n'eus pas un moment d'absence. C'est un peu indolente et éteinte que je me retrouvais assise sur les genoux de Alexis. Il me fit vite comprendre que lui aussi "voulait m'en remettre un petit coup". Jouant les grand seigneurs, il voulu me faire croire qu'il souhaitait épargner ma craquette après ses efforts précédents, comme si mon derrière avait été épargné depuis leur arrivée
.
Bref, tant bien que mal, en flageolant un peu, je réussis à m'auto sodomiser en m'asseyant sur lui. Comme on me l'avait déjà fait, il m'attirant bien sur lui comme pour me caler contre son torse. Fabrice entra dans mon champ de vision, bite à la main. S'adressant à deux autres il leur dit :
"Il faut peut-être que vous me la teniez un peu !"
Pourquoi ? Pourquoi être tenue ? Depuis le début de l'après midi, je navais pas arrêté d'être prise en sandwich
. Deux d'entre eux me prirent chacun une jambe, me les relevèrent tout en les écartant bien. Le phallus que j'avais en moi m'empêchait, seul, de glisser. J'entendis Philippe protester :
"Vous n'allez quand même pas
."
"Toi !... ta gueule et fais des photos !" lui fut-il vertement répondu.
Je ne saisis le sens de ce dialogue que quand je sentis la trique de Fabrice buter contre mon périnée et qu'au lieu de remonter vers mon sexe, elle glissait vers le bas
.. J'eus beau crier un "nooooon pas les deux !" aussi inutile que superflu, la messe était dite, la sanction était exécutoire, j'allais me faire "casser le cul". Je n'eux qu'une idée en tête
me décontracter pour éviter d'être déchirée. Je sentais lentement, trop lentement mon muscle anal s'apprivoiser et l'autre pousser
pousser
. J'avais vu une fois sur Internet cette scène et aussi une fois en photo dans l'une de leur galerie et je m'étais demandé comme cela se pouvait être possible. Je n'allais pas tarder à le savoir et je me mis à louer d'une part mes enculeurs précédents et d'autre part la fabuleuse adaptation du corps humain. Par la suite, puisque j'aurais l'occasion de prendre beaucoup plus gros pile et face ou d'être également fistée aussi bien devant que derrière, je repenserais souvent à cette affolante première fois ou ils m'avaient véritablement transformée en trou à bite d'autant quAlexis avait lui aussi une grosse queue. Ils se conduirent en parfait petits saligauds, me léchant le visage, me pétrissant de partout, me roulant des patins de goinfre, me rudoyant les seins, et en plus me traitant de tout, de grosse pute, de vieille radasse, de salope, de femelle, de putain encore
et j'en passe et des meilleures ou des plus grossières
. Cette fois encastrés comme ils l'étaient en moi je navais qu'une alternative : l'abandon total pour qu'il jouisse de ce corps que je mettais à la disposition de leur perversité. Trop fatigué par la précédente possession, j'étais incapable de ressentir un orgasme supplémentaire. Tout me mon plaisir était dans ma tête de provoquer à mon âge un tel déferlement chez des jeunes et
fabuleux amants. Je les sentis fuser en moi et mon intestin se remplir de leur jus. Par contre ils se retirèrent avec prudence pour m'abandonner à la limite de la défaillance.
Tout en se rhabillant, je les entendis souhaiter que les photos soient réussies et que le mardi suivant elles seraient en ligne. Ils me prévinrent que le week-end prochain, ils n'étaient pas disponibles. L'un d'eux en guise de consolation et parfait goujat m'indiqua "qu'il en fallait pour tout le monde". De toute façon, une diète ne me ferait pas de mal, n'y à mes orifices béants et irrités.
P Elle eut du mal à s'asseoir tout le dimanche
. Pour tenter de lui éviter de renouveler ces expériences, j'essayais de trouver des solutions pour que cesse ce manège infernal. A chaque fois je me heurtais aux mêmes moues dubitatives et aux mêmes "que veux-tu y faire, il faut bien obéir" ou "qu'est ce que tu veux, il faut bien se résigner" ou encore ""qu'est ce que tu veux, il faut bien que j'y passe encore" assez peu convaincus. Pour l'avoir trop vu jouir, j'étais désormais certain qu'elle n'attendait plus que c'est séance
.
G Comme promis, le mardi en suivant je pus m'admirer. Enfin admirer est un peu fort disons que je pus découvrir avec des yeux exorbité ce qu'une bande de petit salaud avait fait subir à cette femme aux yeux à peine cachés et dont l'anonymat demeurait incertain
dantesque
j'eus honte de moi. Le week-end suivant fut consacré au repos. Dès le lundi le téléphone sonna. Immédiatement Philippe mis le haut parleur et j'entendis :
"Passes-moi ta petite salope de femme !"
Sans aucun doute c'était moi qu'il s'agissait et mon mari me passa l'appareil.
"Salut Pupute ! On a bien pensé à toi ce week-end. On a tiré une nouvelle cochonne ! Tu pourras voir demain en photo. Tu nous as manqué, elle ne t'arrivait pas à la cheville ! Aussi salope que toi
vous n'êtes pas nombreuses ! Bon, justement, je vais organiser une petite fête chez moi samedi prochain. Je compte sur toi
et le photographe
. Inutile que je demande si vous être libre n'est ce pas ? Notre
disons
arrangement tient toujours, vu ! On va se donner rendez-vous dans un petit bar (le X, de la rue Y). De la on ira chez moi. Ah oui !... pour la tenue
. As-tu un genre ciré noir ? (je n'en avais pas). Il t'en faudra un et dessous
rien comme l'autre jour, c'était parfait les bas, le look, le plug
il ne manquait rien
compris ! Répète !"
"Oui, oui j'ai compris. Juste des bas et un porte-jarretelles sous un imper noir"
"Et ?"
"Et un plug
"
"Dans le ?"
"Dans le cul
"Et ?"
"Et l'air d'une pute
"
"Voilà
quand tu veux
. Donc dix huit heures au (X)."
P Cela n'en finirait malheureusement jamais
toujours de nouvelles exigences dégradantes
.
G Cela n'en finirait heureusement jamais
toujours de nouvelles exigences alléchantes
.
Dans la foulée sitôt raccroché, je suivi le conseil et allait consulter le site habituel. Effectivement une nouvelle galerie, une dénommée Sarah
bof aux prises seulement avec un trio et un homme qui devait être le mari
pas de sandwich
le mari et la femme semblaient crispés
. Il faut bien l'avouer la palme de la pornographie était remporté par la blondasse, cette Nadine
. Je ne venais qu'en deuxième ou troisième position.
Le lendemain, je trouvais sans peine un imperméable en vinyle noir. Je rachetais des chaussures vernies noir à talons aiguilles de onze centimètres cette fois et aussi des bas. Inutile de préciser que les miens avait été archi-filés. Il en faudrait au moins une paire par soirée
. La semaine fila comme l'éclair. Le samedi, une fois douchée, je décidais de commencer par le plug. Mon ouverture la plus secrète (enfin pas pour tout le monde) allait indéniablement servir
alors plus elle serait domestiquée, mieux se serait. Sadiquement, je le reconnais, je demandais à Philippe de le mettre en place. Cette fois la palette fut de rose à violet pour mes paupières avec des yeux toujours très noir. Une épaisse couche d'un rouge carmin brillant acheva ma transformation. Bas noir à couture, mes nouveaux talons aiguille, le ciré et hop, nous fumes en routes. Vous dire l'impression du plug sur les cahots des rues de la ville
et de sa magnifiques grande place pavée
. Huuuummmm !
Philippe stoppa la voiture pas trop loin du bar indiqué mais quand même
. Seules celles qui ont marché sur talons de cette hauteur avec en plus ce type d'objet dans le derrière me comprendront. Quelques personnes au comptoir et dans la salle et je vis
. Je LES vis, je LA vis
. Fabrice était assis à une table avec un homme et une femme
LA femme
la femme des galeries
cette Nadine
.
Le pire était qu'elle portait le même genre de vêtement que moi et était aussi excessivement maquillée que moi. Fabrice me fit signe de venir m'asseoir à coté de lui avec Philippe à mes cotés. L'autre était de l'autre coté de Fabrice avec l'homme (sont mari aussi) à coté d'elle. Il nous présenta très brièvement : Roger, Philippe, Nadine, Gisèle
ce fut toutes les mondanités
.
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